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Les tests à bas régime de l’autoroute de l’eau qui reliera le bassin du Sebou à celui du Bouregreg ont débuté lundi à El Arjate en présence de plusieurs officiels.
C’est « presque » parti pour l’autoroute de l’eau qui servira in fine à approvisionner en eau potable les régions de Rabat et Casablanca-Settat. Ce lundi 28 août, des tests à bas régime ont été lancés au niveau d’El Arjate, où se situe l’interconnexion entre les bassins du Sebou et du Bouregreg, en présence d’ouvriers et d’ingénieurs ayant participé à ce chantier titanesque. Les deux bassins sont donc aujourd’hui effectivement reliés.
Cette opération d’interconnexion permettra l’approvisionnement des populations de Rabat et de Casablanca en eau potable pour un volume de 300 à 400 millions de mètres cubes annuellement et répondra aux stress hydrique auquel font face les deux plus grands agglomérations du royaume. Notons que le projet a été essentiellement réalisé par des entreprises marocaines, en l’occurrence la Société générale des travaux du Maroc (SGTM), de la Société nouvelle des conduites d’eau (SNCE), la Société de Travaux Agricoles Marocains (STAM) et de la Société maghrébine de génie civil et du Conseil ingénierie et développement, un bureau d’étude relevant du ministère de l’Équipement.
Rappelons par ailleurs le délai record à travers lequel ce chantier a été réalisé puisque selon les dires du ministre de l’eau Nizar Baraka, ce projet aura nécessité une année de travaux alors qu’il aurait pu nécessiter 4 années de chantier selon un timing normal.
Rappelons que récemment, Nizar Baraka avait pointé du doigt «un recul structurel des ressources hydriques en raison des changements climatiques et de la hausse des températures moyennes». «Les retenues des barrages ont atteint 4 milliards et 78 millions de mètres cubes avec un taux de remplissage ne dépassant pas les 30%, ce qui constitue une moyenne très maigre».
Outre ce mégaprojet, le ministère s’attèle à accélérer le rythme de réalisation des grands barrages déjà prévus en raccourcissant les délais d’achèvement entre 6 et 14 mois. Baraka a ainsi évoqué la programmation de la construction de 8 autres grands barrages entre 2023 et 2027, et le lancement d’appels d’offres pour réaliser les travaux de construction de 5 barrages moyens avec une capacité de stockage totale de 63 millions de mètres cubes.
La vie économique
C’est « presque » parti pour l’autoroute de l’eau qui servira in fine à approvisionner en eau potable les régions de Rabat et Casablanca-Settat. Ce lundi 28 août, des tests à bas régime ont été lancés au niveau d’El Arjate, où se situe l’interconnexion entre les bassins du Sebou et du Bouregreg, en présence d’ouvriers et d’ingénieurs ayant participé à ce chantier titanesque. Les deux bassins sont donc aujourd’hui effectivement reliés.
Cette opération d’interconnexion permettra l’approvisionnement des populations de Rabat et de Casablanca en eau potable pour un volume de 300 à 400 millions de mètres cubes annuellement et répondra aux stress hydrique auquel font face les deux plus grands agglomérations du royaume. Notons que le projet a été essentiellement réalisé par des entreprises marocaines, en l’occurrence la Société générale des travaux du Maroc (SGTM), de la Société nouvelle des conduites d’eau (SNCE), la Société de Travaux Agricoles Marocains (STAM) et de la Société maghrébine de génie civil et du Conseil ingénierie et développement, un bureau d’étude relevant du ministère de l’Équipement.
Rappelons par ailleurs le délai record à travers lequel ce chantier a été réalisé puisque selon les dires du ministre de l’eau Nizar Baraka, ce projet aura nécessité une année de travaux alors qu’il aurait pu nécessiter 4 années de chantier selon un timing normal.
Rappelons que récemment, Nizar Baraka avait pointé du doigt «un recul structurel des ressources hydriques en raison des changements climatiques et de la hausse des températures moyennes». «Les retenues des barrages ont atteint 4 milliards et 78 millions de mètres cubes avec un taux de remplissage ne dépassant pas les 30%, ce qui constitue une moyenne très maigre».
Outre ce mégaprojet, le ministère s’attèle à accélérer le rythme de réalisation des grands barrages déjà prévus en raccourcissant les délais d’achèvement entre 6 et 14 mois. Baraka a ainsi évoqué la programmation de la construction de 8 autres grands barrages entre 2023 et 2027, et le lancement d’appels d’offres pour réaliser les travaux de construction de 5 barrages moyens avec une capacité de stockage totale de 63 millions de mètres cubes.
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