Maroc : taux de croissance d'environ 6,8% prévu en 2009 [ 19/06/08 - 19H57 - AFP ]
Le Maroc prévoit pour 2009 un taux de croissance de 6,8% contre 6,1% cette année, a déclaré jeudi le ministre de l'Economie, Salaheddine Mezouar.
Le taux d'inflation devrait être maintenu à 3% et le déficit budgétaire autour de 3% également, a-t-il affirmé lors d'un conseil de gouvernement à Rabat.
La loi des finances de 2009 sera élaborée sur la base d'un prix du baril de pétrole à 120 dollars contre 75 dollars cette année, a ajouté M. Mezouar.
Les principales données économiques, a-t-il poursuivi, ont connu une "évolution positive" lors des premiers mois de 2008 et ce en dépit d'une production céréalière moyenne et une conjoncture économique internationale "difficile".
Le projet de loi de finances 2009, selon M. Mezouar, vise notamment à "accélérer le rythme de croissance, et à réduire les écarts sociaux et entre les régions".
L'économie nationale demeure "solide" en 2008 grâce aux "performances réalisées par les secteurs non-agricoles", comme le tourisme, le bâtiment et travaux publics et les industries de transformation, a poursuivi le ministre.
Lors de la saison 2007-2008, la production céréalière du Maroc a été inférieur à 60 millions de quintaux en raison du déficit pluviométrique.
En 2007, la facture pétrolière du royaume s'est élevée à 2,5 milliards de dollars.
Le Maroc prévoit pour 2009 un taux de croissance de 6,8% contre 6,1% cette année, a déclaré jeudi le ministre de l'Economie, Salaheddine Mezouar.
Le taux d'inflation devrait être maintenu à 3% et le déficit budgétaire autour de 3% également, a-t-il affirmé lors d'un conseil de gouvernement à Rabat.
La loi des finances de 2009 sera élaborée sur la base d'un prix du baril de pétrole à 120 dollars contre 75 dollars cette année, a ajouté M. Mezouar.
Les principales données économiques, a-t-il poursuivi, ont connu une "évolution positive" lors des premiers mois de 2008 et ce en dépit d'une production céréalière moyenne et une conjoncture économique internationale "difficile".
Le projet de loi de finances 2009, selon M. Mezouar, vise notamment à "accélérer le rythme de croissance, et à réduire les écarts sociaux et entre les régions".
L'économie nationale demeure "solide" en 2008 grâce aux "performances réalisées par les secteurs non-agricoles", comme le tourisme, le bâtiment et travaux publics et les industries de transformation, a poursuivi le ministre.
Lors de la saison 2007-2008, la production céréalière du Maroc a été inférieur à 60 millions de quintaux en raison du déficit pluviométrique.
En 2007, la facture pétrolière du royaume s'est élevée à 2,5 milliards de dollars.
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