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Maroc, Immorente : deux nouveaux investissements pour 180 millions de DH dans l'industrie et la santé

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  • Maroc, Immorente : deux nouveaux investissements pour 180 millions de DH dans l'industrie et la santé

    Immorente Invest mise 130 millions de DH dans l'extension d'une usine pour le compte de l'équipementier automobile Faurecia. La foncière investit en outre 50 millions de DH dans un OPCI santé portant des actifs d'Akdital. Ces deux opérations portent ses investissement globaux à près de 1,1 milliard de DH, dont une bonne moitié dans l'industrie.

    Immorente Invest poursuit la diversification de son portefeuille. La foncière du groupe de Adil Douiri investit ainsi près de 130 millions de DH dans l'extension d’une usine dans la zone d’accélération industrielle de Kénitra. Le projet, qui sera livré au quatrième trimestre 2024, couvrira près de 9.000 m².


    La construction de cette usine, confiée à TGCC, sera réalisée dans le cadre d’une opération built-to-suit pour le compte de l’équipementier automobile Faurecia, et ce à travers un contrat de location de longue durée, indique Immorente Invest dans un communiqué.
    Par ailleurs, l'entreprise cotée à la Bourse de Casablanca mise 50 millions de DH dans l’OPCI Syhati Immo pour accueillir un premier investissement dans le segment santé. Cet OPCI, spécialisé dans l’immobilier de santé, porte les murs de cliniques louées par Akdital et ses filiales à travers des baux de longue durée précise la même source. Ces deux nouveaux investissements viennent donc s’ajouter au parc immobilier existant, qui totalise environ 1,1 milliard de DH d'investissement, dont la majorité dans l'industrie (53%) et les bureaux (38%).

    lematin

  • #2
    La formation professionnelle et les écoles d’ingénieur vont avoir du pain sur la planche. Quant au système universitaire, s’ils veulent maintenir une force de travail adéquate et adaptée aux besoins de ces industriels qui ne cessent d’affluer, il va falloir une profonde réforme des programmes et des formations pour les adapter aux besoins.

    Quand je vois les réformes lancées et celles réalisées, je me dis que les deux seules qui restent sont celles de l’enseignement public et de la justice. Si la réforme de la justice peut attendre l’après coupe du monde, celle de l’enseignement public ne peut pas attendre.

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