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Des voitures électriques aux avions, le Maroc fait feu de tout bois pour propulser son secteur industriel. Ryad Mezzour, ministre de l’Industrie et du Commerce a récemment révélé une initiative ambitieuse qui pourrait hisser le Royaume vers de nouveaux sommets. Lors d’une interview accordée à la chaîne « Al-Sharq Bloomberg », Mezzour a annoncé que le Maroc s’engageait dans la fabrication du premier avion entièrement produit dans le pays, et ce, dans un délai de six ans.
Mezzour a décrit le secteur de l’industrie aéronautique au Maroc comme étant « acceptable », précisant que le pays occupe la 20ème position mondialement dans le domaine aéronautique. Il a souligné avec enthousiasme la capacité du Royaume à produire n’importe quelle pièce d’avion, mettant en avant l’inauguration récente d’un site de production spécialisé dans la fabrication d’une pièce hautement sensible du moteur, une pièce qui est fabriquée dans seulement cinq pays dans le monde.
Le ministre a affirmé que « le Maroc possède une expertise solide dans le secteur aéronautique et a présenté la fabrication d’un avion complet comme un objectif d’avenir ». Il a annoncé que « cette barre fixée pourrait être atteinte avant l’année 2030, marquant ainsi une étape significative dans l’histoire industrielle du pays ».
Comparant le secteur de l’industrie aéronautique à celui de l’automobile à l’échelle mondiale, Mezzour a mis en avant sa complexité et la nécessité de compétences de haut niveau internationalement reconnues. Il a insisté sur le fait que « la réalisation de cet objectif positionnerait le Maroc comme un acteur incontournable dans le domaine industriel, capable de produire une gamme variée de produits complexes ».
De plus, le ministre de l’Industrie a mis en lumière « l’engagement du Maroc à renforcer ses partenariats internationaux selon le principe win-win, dépassant les simples frontières de l’exportation ». Il a rappelé les partenariats établis avec les pays émergents et en développement en Afrique, soulignant la confiance du Royaume dans les capacités du continent africain.
Mezzour a également abordé la vision industrielle globale du Maroc, axée sur la souveraineté et la réponse aux besoins des citoyens marocains. « Cette vision englobe des domaines tels que la sécurité alimentaire, sanitaire, la souveraineté énergétique et la transition vers les énergies renouvelables, une transition d’autant plus pertinente après les leçons tirées de la pandémie de la COVID-19 », réitère-t-il.
Dans ce sillage, il a ponctué l’importance des accords de libre-échange, les considérant comme « des bases d’intégration commerciale visant à renforcer la valeur ajoutée dans les pays africains partenaires ». Il a évoqué « les ambitions du Maroc d’augmenter les échanges intra-africains, passant de 15 % à 26 % au futur, grâce à une stratégie de coopération claire entre les pays côtiers et méditerranéens ».
Finalement, le ministre a évoqué les capacités actuelles du Maroc dans la production automobile, soulignant les perspectives d’augmentation des exportations et les investissements importants dans la production de batteries pour les voitures électriques. En conclusion, il a mis en avant « les efforts continus du Maroc dans la construction d’une chaîne de production intégrée, notamment dans le domaine des batteries et des investissements en cours pour garantir un avenir industriel prospère ». La vision du Maroc pour l’avenir industriel semble ambitieuse, plaçant le pays sur la voie d’une croissance économique soutenue et d’une position de hub régional dans les secteurs de l’industrie aéronautique et automobile.
hespress
Mezzour a décrit le secteur de l’industrie aéronautique au Maroc comme étant « acceptable », précisant que le pays occupe la 20ème position mondialement dans le domaine aéronautique. Il a souligné avec enthousiasme la capacité du Royaume à produire n’importe quelle pièce d’avion, mettant en avant l’inauguration récente d’un site de production spécialisé dans la fabrication d’une pièce hautement sensible du moteur, une pièce qui est fabriquée dans seulement cinq pays dans le monde.
Le ministre a affirmé que « le Maroc possède une expertise solide dans le secteur aéronautique et a présenté la fabrication d’un avion complet comme un objectif d’avenir ». Il a annoncé que « cette barre fixée pourrait être atteinte avant l’année 2030, marquant ainsi une étape significative dans l’histoire industrielle du pays ».
Comparant le secteur de l’industrie aéronautique à celui de l’automobile à l’échelle mondiale, Mezzour a mis en avant sa complexité et la nécessité de compétences de haut niveau internationalement reconnues. Il a insisté sur le fait que « la réalisation de cet objectif positionnerait le Maroc comme un acteur incontournable dans le domaine industriel, capable de produire une gamme variée de produits complexes ».
De plus, le ministre de l’Industrie a mis en lumière « l’engagement du Maroc à renforcer ses partenariats internationaux selon le principe win-win, dépassant les simples frontières de l’exportation ». Il a rappelé les partenariats établis avec les pays émergents et en développement en Afrique, soulignant la confiance du Royaume dans les capacités du continent africain.
Mezzour a également abordé la vision industrielle globale du Maroc, axée sur la souveraineté et la réponse aux besoins des citoyens marocains. « Cette vision englobe des domaines tels que la sécurité alimentaire, sanitaire, la souveraineté énergétique et la transition vers les énergies renouvelables, une transition d’autant plus pertinente après les leçons tirées de la pandémie de la COVID-19 », réitère-t-il.
Dans ce sillage, il a ponctué l’importance des accords de libre-échange, les considérant comme « des bases d’intégration commerciale visant à renforcer la valeur ajoutée dans les pays africains partenaires ». Il a évoqué « les ambitions du Maroc d’augmenter les échanges intra-africains, passant de 15 % à 26 % au futur, grâce à une stratégie de coopération claire entre les pays côtiers et méditerranéens ».
Finalement, le ministre a évoqué les capacités actuelles du Maroc dans la production automobile, soulignant les perspectives d’augmentation des exportations et les investissements importants dans la production de batteries pour les voitures électriques. En conclusion, il a mis en avant « les efforts continus du Maroc dans la construction d’une chaîne de production intégrée, notamment dans le domaine des batteries et des investissements en cours pour garantir un avenir industriel prospère ». La vision du Maroc pour l’avenir industriel semble ambitieuse, plaçant le pays sur la voie d’une croissance économique soutenue et d’une position de hub régional dans les secteurs de l’industrie aéronautique et automobile.
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