L’Algérie a capté l’essentiel de l’augmentation des importations européennes
TRENDSValda Trends 34 minutes agoL’Algérie a capté l’essentiel de l’augmentation des importations européennes

La part des pays de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA) dans les importations d’hydrocarbures de l’Union européenne (UE) est passée de 2,3 % au premier trimestre 2022 à 5,8 % au quatrième trimestre 2023. L’Algérie et l’Arabie saoudite ont accaparé la majeure partie de cette augmentation, selon le Fonds monétaire international (FMI).
L’Algérie a ainsi bénéficié de la reconfiguration des échanges commerciaux. Une reconfiguration « particulièrement visible parmi les pays exportateurs de pétrole et dans les exportations d’hydrocarbures, en raison de la réorientation, vers la région, d’une partie de la demande pétrolière et gazière de l’UE auparavant couverte par la Russie », précise le rapport qui expose également les perspectives de croissance.
Ainsi, dans les pays exportateurs de pétrole non membres du Conseil de coopération du Golfe (CCG), dont fait partie l’Algérie, les projections de croissance du FMI pour 2024 sont de 3,3%, soit 0,3% de plus que la prévision d’octobre 2023.
Le Fonds explique cet ajustement par « une production pétrolière plus élevée que prévu en République islamique d’Iran et en Libye et une augmentation des dépenses publiques en Algérie ». Mais cette croissance devrait ralentir, selon la même Source. « La croissance relativement stable en 2024-2025 dans les pays exportateurs de pétrole non membres du CCG devrait progressivement ralentir pour atteindre 2,3 % à moyen terme, principalement en Iran et en Libye. » Cela est dû à la baisse de la production d’hydrocarbures dans ces deux pays.
TRENDSValda Trends 34 minutes agoL’Algérie a capté l’essentiel de l’augmentation des importations européennes

La part des pays de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA) dans les importations d’hydrocarbures de l’Union européenne (UE) est passée de 2,3 % au premier trimestre 2022 à 5,8 % au quatrième trimestre 2023. L’Algérie et l’Arabie saoudite ont accaparé la majeure partie de cette augmentation, selon le Fonds monétaire international (FMI).
L’Algérie a ainsi bénéficié de la reconfiguration des échanges commerciaux. Une reconfiguration « particulièrement visible parmi les pays exportateurs de pétrole et dans les exportations d’hydrocarbures, en raison de la réorientation, vers la région, d’une partie de la demande pétrolière et gazière de l’UE auparavant couverte par la Russie », précise le rapport qui expose également les perspectives de croissance.
Ainsi, dans les pays exportateurs de pétrole non membres du Conseil de coopération du Golfe (CCG), dont fait partie l’Algérie, les projections de croissance du FMI pour 2024 sont de 3,3%, soit 0,3% de plus que la prévision d’octobre 2023.
Le Fonds explique cet ajustement par « une production pétrolière plus élevée que prévu en République islamique d’Iran et en Libye et une augmentation des dépenses publiques en Algérie ». Mais cette croissance devrait ralentir, selon la même Source. « La croissance relativement stable en 2024-2025 dans les pays exportateurs de pétrole non membres du CCG devrait progressivement ralentir pour atteindre 2,3 % à moyen terme, principalement en Iran et en Libye. » Cela est dû à la baisse de la production d’hydrocarbures dans ces deux pays.
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