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Les dangers du déficit commercial au Maroc

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  • #16
    Les accords de libre échange et les délocalisations ont pour but justement de réduire ce déficit commercial. Ils visent tout simplement à hausser les exportations.
    Sauf que leurs effets (les délocalisations) ne se fait pas sentir du jour au lendemain (le temps que le projet se réalise : 3 à 4 ans ) et que parfois les accords sont mal exploités (surtout l accord avec les pays arabe).

    Mais c est la bonne stratégie à suivre. Il n y en a pas d'autres. On ne peut pas dévaluer la monnaie juste pour faire plaisir aux exportateurs. Il faut qu ils améliorent eux leur productivité et deviennent compétitives!
    je suis d'accord avec toi.
    Le maroc , tout comme l'algerie et la tunisie d'ailleurs ont tout a gagner d'accords de libre echange
    Ur yezmir yiwen ad yeffer itij s uyerbal

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    • #17
      Le problème c est que les importations marocaines elles ont augmenté beaucoup plus vite!
      (Tirées par l'effort d'investissement et par la consommation des ménages dont les revenues ont sensiblement augmentés.)
      c'est economiquement faux, les salaires doivent suivre la production ils peuvent pas augmenté plus que la production

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      • #18
        faux ils doivent suivre la prodcTIVITE pas la production

        c'est là ou intervient l'éducation et la fromation

        avec de illétrés la seule chose que nous pourrons exporter c'est du travail manuel

        plus il y a de cadres qualifiés plus la demande internationale pour le maroc en travail de valeur est importante et plus les alaires sont élevés
        .
        .
        ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
        Napoléon III

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        • #19
          Bon bref, le maroc est un pays emergent qui commence à montrer des signes, qui montre qu'il pourrait être une grande puissance economique réginale, mais il a besoin d encore perseverer pour améliorer sa situation.
          Ce n'est pas exactement l'avis, de ce matin, de notre amie Nadia Salah (elle force peut être, un peu sur les traits).
          Immobilisme

          Il y a un an tout juste, une banque américaine au nom imprononçable, Bear Stearns, avouait la faillite de fonds immobiliers logés chez elle. La crise des «subprimes» devenait alors publique.
          Ont suivi huit mois de mesures de politique économique tout à fait agiles.
          Autant connivence et incompétences s’étaient liguées pour conduire le système financier américain à sa perte, autant les décisions pour le sauvetage ont été de haute qualité, prises et appliquées avec promptitude et détermination. Et pourtant, elles impliquaient des changements complets de référent juridique, des virages à 180° dans la stratégie du «laisser-faire» et aussi des sommes colossales, comptées en dizaines de milliards de dollars à chaque opération.

          Quelle différence avec le Maroc! Il faut sept ans de discussions pour passer à l’heure d’été, quatre ans de tergiversations et deux ou trois accidents boursiers pour, enfin, autoriser le CDVM à publier une malheureuse circulaire, vingt-cinq ans pour un Code du travail même pas encore fini et déjà cruellement dépassé, quarante ans pour une politique énergétique… qui n’existe toujours pas.

          A ce niveau-là, ce n’est pas de la prudence, ni même de la nonchalance, c’est de l’immobilisme politique!
          Au centre de cela, le refus de changer quoi que ce soit au système de décision.

          C’est ainsi qu’au lieu de moderniser le Secrétariat général du gouvernement, une institution typique du XIXe siècle français, on s’est appliqué à renforcer ses pouvoirs de blocage. On s’obstine à faire remonter le moindre décret jusqu’au Conseil des ministres alors que deux Souverains se sont impliqués pour rénover la Royauté. On a re-concentré ces dix dernières années les pouvoirs d’ukases politiques chez les fonctionnaires des Finances alors qu’on avait mis quinze ans à rendre fluides les décisions budgétaires… Où que l’on se tourne, c’est partout ce paysage décisionnaire dépassé et hypercentralisé.

          Nadia SALAH
          Dernière modification par jawzia, 26 juin 2008, 10h07.

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          • #20
            Merci jawzia

            Merci jawzia de nous avoir un peu éclairer sur la VRAIE RÉALITÉ du royaume makhzénien, qui d'apres ses sbires c 'est devenu un royaume qui va bientot rivaliser avec le l'empire du soleil levant.
            Ces affidés du makhzen s,interessent souvent et meme toujours a ce qui se passe en algerie en lisant biensur la PRESSE ALGÉRIENNE , et ils se permettent de dire apres que cette preesse est muselée , quelle contradiction si ce n est leur désir de voir l algerie toujours dans les tourments.

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            • #21
              @jawzia

              je crois que nadia salah, a voulu forcer la main a ce gouvernement qui n'a peur que de perdre des electeurs...:22:

              Mais le problème du maroc est plus complexe, on ne peut changer tout un mode de fonctionnement bureaucratique, d'un jour au lendemain....Avec nos durs têtes de maghrébin

              Par exemple tout truc qui marche, a vu l'implication personnlle du roi, et on lui a crée des agences spéciales dédiés. Agence tanger-med, agence du bouregreg, agence pour le plan maroc vert..., une sorte d'etat dans l'etat qui ont tout les pouvoir, et surtout d'agir, et vite....

              Par exemple, pour le plan enérgétique du pays, c'est pas aussi simple que ça!! le maroc n'a ni l'energie, ni les CAPITAUX necessaire, pour faire un tas de centrales, chaque construction se fait à l'aide de prêts, et donc il faut les payer!! on ne peut pas se permettre de faire une grosse centrale, juste pour l'utiliser au cas où! c'est le gros défi de l'équilibre entre l'offre et la demande....

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              • #22
                et d'ailleurs, par rapport à la comparaison, tu peux voir qu'on est pas comparé à n'importe qui!! c'est la première puissance mondiale!!!
                Pendant la 2ème guerre mondiale, ce pays a passé en une année de:
                150 avions de chasse par an a plus de 14000!!
                un grand navire de guerre par semaine......
                c'est un pays qui a une force de frappe inégalé de par le monde

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                • #23
                  Le maroc importe du blé cette année.

                  le Maroc doit importer 40 pour cent de ses besoins en blé, c'est-à-dire 22 millions de quintaux", a indiqué Hasnaoui à Magharebia.

                  http://www.magharebia.com/cocoon/awi.../12/feature-01

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