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Comment la Chine veut faire du Maroc et ses FTA une plateforme industrielle vers les US et l'Europe

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  • Comment la Chine veut faire du Maroc et ses FTA une plateforme industrielle vers les US et l'Europe


  • #2
    En accueillant le chef du gouvernement et la délégation l’accompagnant, le Secrétaire du Parti communiste chinois (PCC) à Anhui, Liang Yanshun, n’a pas manqué de souligner l’intérêt «sans précédent» que portent les entreprises chinoises pour le Maroc, en particulier celles de la province d’Anhui, «motivées par le positionnement stratégique du Royaume comme plateforme stable de production compétitive et décarbonée».

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    • #3
      mra7ba b les chinois !!

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      • #4
        Un autre exemple pourquoi il faut etre persistent dans les strategies et patient en attendant le bon timing.

        La cité Tanger Tech est prete depuis années et est restée en stand by, maintenant les investissements chinois tombent l'un après l'autre parce que les infrastructures sont là, la charte des investissements est bien ficelée et les Free Trade Agreements avec l'Europe et les US leur permettent de fabriquer et exporter avec des avantages qu'ils n'ont pas en Chine.

        Comme disent les americains : Build it and they will come

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        • #5
          pourquoi ont arrive pas à faire comme le Maroc

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          • #6
            Retour en arrière :


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            • #7
              Pour atteindre l'Europe, la Chine vise ce pays


              La Nouvelle Tribune

              Face aux défis croissants posés par les tensions commerciales avec l’Occident, la Chine intensifie ses efforts pour maintenir son accès aux marchés européens et américains. Alors que les États-Unis et l’Union européenne renforcent leurs barrières tarifaires sur les importations chinoises, notamment dans le secteur des véhicules électriques et des batteries, Pékin cherche activement des alternatives pour contourner ces obstacles. Cette stratégie s’inscrit dans une dynamique plus large de redéfinition des chaînes d’approvisionnement mondiales, où la Chine tente de préserver sa position dominante dans les industries de pointe tout en s’adaptant aux nouvelles réalités géopolitiques et économiques.
              Le Maroc, nouvelle porte d’entrée vers l’Europe


              Dans cette quête de nouvelles routes commerciales, le Maroc émerge comme un partenaire stratégique pour la Chine. Le royaume chérifien, longtemps considéré comme une simple curiosité par les entreprises chinoises, attire désormais des investissements massifs, notamment dans le secteur des batteries électriques. Cette évolution marque un tournant dans les relations sino-marocaines, propulsant le pays nord-africain au rang de plateforme privilégiée pour les ambitions chinoises en Europe et en Amérique.

              L’attrait du Maroc pour les investisseurs chinois repose sur plusieurs facteurs clés. Ses accords de libre-échange avec l’Union européenne et les États-Unis offrent un accès privilégié à ces marchés convoités. De plus, le pays dispose de ressources minérales essentielles à la fabrication de batteries, telles que le cobalt, le cuivre et le phosphate. Cette combinaison unique positionne le Maroc comme un maillon crucial dans la stratégie chinoise de contournement des barrières commerciales occidentales.
              Un écosystème industriel en pleine expansion


              La convergence des intérêts chinois et marocains ne se limite pas au seul aspect commercial. Le Maroc, devenu en moins de quinze ans le premier producteur automobile d’Afrique, offre un écosystème industriel mature et une infrastructure logistique de premier plan. Le port de Tanger Med, situé à moins d’une heure des côtes espagnoles, permet d’expédier des marchandises vers l’Europe et les États-Unis dans des délais très compétitifs.

              Cette synergie entre les capacités industrielles marocaines et les technologies chinoises ouvre la voie à des projets ambitieux. Des entreprises chinoises comme CNGR et Gotion ont annoncé des investissements colossaux, de l’ordre de plusieurs milliards de dollars, dans la production de batteries électriques au Maroc. Ces initiatives pourraient transformer le paysage industriel du pays et renforcer sa position dans la chaîne de valeur mondiale des véhicules électriques.
              Vers une nouvelle ère de coopération sino-marocaine


              Au-delà des considérations économiques, la relation entre le Maroc et la Chine se renforce également sur le plan diplomatique. Les deux pays partagent des positions communes sur des questions internationales, telles que le respect de l’intégrité territoriale et la non-ingérence dans les affaires intérieures. Cette convergence de vues facilite une coopération plus étroite dans divers domaines, allant des infrastructures aux énergies renouvelables.

              Toutefois, cette nouvelle dynamique soulève des questions quant à l’équilibre des pouvoirs dans la région. L’influence croissante de la Chine au Maroc pourrait modifier les rapports de force traditionnels, notamment avec l’Europe et les États-Unis. Elle illustre également la capacité de Pékin à s’adapter rapidement aux changements du paysage économique mondial, en trouvant de nouveaux partenaires stratégiques pour maintenir sa compétitivité.

              Alors que le Maroc s’affirme comme un acteur clé dans la stratégie chinoise d’accès aux marchés occidentaux, il reste à voir comment cette relation évoluera face aux défis géopolitiques et économiques à venir.

              Ce partenariat en pleine expansion pourrait redessiner les contours du commerce international et de l’industrie automobile, tout en offrant au Maroc une opportunité unique de se positionner comme un hub industriel et technologique majeur à l’échelle mondiale.

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              • #8
                Cherchez pourquoi l'Algérie n'est toujours pas membre de l'OMC ..

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                • #9
                  Un pays mono-exportateur comme l'Algérie n'a pas intérêt à intégrer l'OMC.

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