Thierry Breton, fonctionnaire de carrière, est devenu millionnaire grâce à des fonds publics, sans jamais avoir créé d'entreprise. Faut-il vraiment nommer des fonctionnaires à la tête des entreprises publiques et semi-publiques ?
Ne serait-il pas plus judicieux de confier ces postes à des personnes ayant une expérience réelle de la gestion d'entreprise, ayant créé et dirigé des sociétés avec succès, plutôt qu'à des fonctionnaires ?
En France, on semble parfois appliquer une approche similaire à celle des anciens régimes soviétiques, en plaçant des apparatchiks à la tête des entreprises publiques.
On sait où cela a mené : pénuries, marché noir, files d'attente interminables, et finalement un effondrement du pays. Avec ces pratiques, la France peut-elle être comparée à un pays communiste ?
Des exemples comme Alcatel, le Crédit Lyonnais, Vivendi ou France Télécom, toutes gérées par des fonctionnaires, témoignent des échecs passés : certaines entreprises ont disparu, d'autres ont été sauvées in extremis par des financements publics, payés par les impôts des citoyens.
Ne serait-il pas plus judicieux de confier ces postes à des personnes ayant une expérience réelle de la gestion d'entreprise, ayant créé et dirigé des sociétés avec succès, plutôt qu'à des fonctionnaires ?
En France, on semble parfois appliquer une approche similaire à celle des anciens régimes soviétiques, en plaçant des apparatchiks à la tête des entreprises publiques.
On sait où cela a mené : pénuries, marché noir, files d'attente interminables, et finalement un effondrement du pays. Avec ces pratiques, la France peut-elle être comparée à un pays communiste ?
Des exemples comme Alcatel, le Crédit Lyonnais, Vivendi ou France Télécom, toutes gérées par des fonctionnaires, témoignent des échecs passés : certaines entreprises ont disparu, d'autres ont été sauvées in extremis par des financements publics, payés par les impôts des citoyens.
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