L’Alliance solaire internationale (ISA) et le Danemark ont dévoilé un rapport sur l’état de préparation des pays africains au développement de l’hydrogène vert, mettant en avant le Maroc parmi les pays ciblés.
Présenté lors de la conférence de haut niveau sur les nouvelles technologies pour la transition énergétique propre, organisée par l’ISA en collaboration avec le ministère indien des énergies nouvelles et renouvelables, la Banque asiatique de développement et la Société internationale de l’énergie solaire, ce document évalue le potentiel de l’Égypte, du Maroc, de la Namibie et de l’Afrique du Sud.
Emil S. Lauritsen, responsable de la coopération sectorielle stratégique à l’ambassade du Danemark en Inde, a précisé que cette étude constitue le premier projet mené sous l’égide du mémorandum d’entente signé entre l’ISA et le Danemark pour un partenariat dans l’hydrogène vert. «L’objectif est d’évaluer la préparation des pays concernés en s’appuyant sur trois axes : les paramètres spécifiques à chaque nation, les besoins de financement et les mécanismes de mobilisation des capitaux», a-t-il expliqué.
L’évaluation intègre également une analyse des risques ainsi que des recommandations stratégiques pour structurer une économie de l’hydrogène vert. Dans ce cadre, le ministère des affaires étrangères du Danemark s’engage à soutenir l’ISA sur trois ans en apportant une expertise en matière de politique énergétique, de régulation et de développement de la chaîne de valeur de l’hydrogène.
Le Maroc, qui ambitionne de devenir un acteur clé dans la production et l’exportation d’hydrogène vert, figure parmi les pays étudiés pour leurs capacités à structurer un marché compétitif et à attirer des financements internationaux.
Barlamane
Présenté lors de la conférence de haut niveau sur les nouvelles technologies pour la transition énergétique propre, organisée par l’ISA en collaboration avec le ministère indien des énergies nouvelles et renouvelables, la Banque asiatique de développement et la Société internationale de l’énergie solaire, ce document évalue le potentiel de l’Égypte, du Maroc, de la Namibie et de l’Afrique du Sud.
Emil S. Lauritsen, responsable de la coopération sectorielle stratégique à l’ambassade du Danemark en Inde, a précisé que cette étude constitue le premier projet mené sous l’égide du mémorandum d’entente signé entre l’ISA et le Danemark pour un partenariat dans l’hydrogène vert. «L’objectif est d’évaluer la préparation des pays concernés en s’appuyant sur trois axes : les paramètres spécifiques à chaque nation, les besoins de financement et les mécanismes de mobilisation des capitaux», a-t-il expliqué.
L’évaluation intègre également une analyse des risques ainsi que des recommandations stratégiques pour structurer une économie de l’hydrogène vert. Dans ce cadre, le ministère des affaires étrangères du Danemark s’engage à soutenir l’ISA sur trois ans en apportant une expertise en matière de politique énergétique, de régulation et de développement de la chaîne de valeur de l’hydrogène.
Le Maroc, qui ambitionne de devenir un acteur clé dans la production et l’exportation d’hydrogène vert, figure parmi les pays étudiés pour leurs capacités à structurer un marché compétitif et à attirer des financements internationaux.
Barlamane