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Ce jeudi, un partenariat stratégique a été signé entre le holding algérien ACS (Algeria Chemical Specialities) et la société italienne SIGIT, spécialisée dans la fabrication de composants en plastique et en caoutchouc destinés aux constructeurs automobiles. Cette alliance, annoncée par le ministère de l’Industrie, marque un tournant pour l’industrie automobile en Algérie, en particulier en ce qui concerne l’augmentation du taux d’intégration nationale.
L'accord vise à établir une nouvelle filière de production de fournitures en plastique et en caoutchouc en Algérie, par le biais de la filiale ENPC. L’objectif est clair : soutenir l’essor de l’industrie automobile locale en augmentant la production nationale et en réduisant la dépendance aux importations. Ce projet s'inscrit dans une démarche de renforcement de l'autosuffisance et de valorisation des ressources locales, avec un accent particulier sur la montée en gamme de la production.
Le ministère de l'Industrie a précisé dans un communiqué rendu public ce jeudi 27 février que cet accord représente une première étape importante pour l’industrie algérienne. En effet, un deuxième volet de ce partenariat prévoit la création d’une société mixte entre ACS et SIGIT, afin de diversifier encore davantage l’offre de pièces pour l’automobile. Ce développement ouvrira la voie à l’introduction de nouvelles marques et produits sur le marché local, tout en consolidant la place du pays dans la chaîne de valeur automobile mondiale.
L'Algérie va approvisionner Mercedes, Wolkswagen, Audi, Lamborghini et Stellantis
Par ailleurs, SIGIT, fort de ses 60 années d’expérience, a exprimé sa volonté de contribuer activement au développement de l’industrie locale, en transférant son expertise technique et en garantissant un contrôle de qualité de haut niveau. Le groupe italien a également annoncé son intention de transférer une partie de ses commandes étrangères vers l’Algérie, ce qui permettra de valoriser les exportations algériennes de produits destinés à des marques prestigieuses telles que Volkswagen, Mercedes, Lamborghini, Audi et Stellantis.
Ce transfert de savoir-faire et de technologie, au cœur de l’accord, est un élément central de la stratégie algérienne pour améliorer son taux d’intégration dans l’automobile. Le ministre de l’Industrie, Sifi Ghrieb, a souligné que cette initiative vise non seulement à dynamiser l’industrie nationale, mais aussi à créer de nouveaux emplois et à générer de la richesse à travers la montée en compétences des acteurs locaux. Cet accord entre l'Algérie et l'Italie représente ainsi un pas décisif vers la modernisation de l’industrie automobile algérienne, avec des retombées économiques et sociales majeures pour le pays.
Observ Algérie
L'accord vise à établir une nouvelle filière de production de fournitures en plastique et en caoutchouc en Algérie, par le biais de la filiale ENPC. L’objectif est clair : soutenir l’essor de l’industrie automobile locale en augmentant la production nationale et en réduisant la dépendance aux importations. Ce projet s'inscrit dans une démarche de renforcement de l'autosuffisance et de valorisation des ressources locales, avec un accent particulier sur la montée en gamme de la production.
Le ministère de l'Industrie a précisé dans un communiqué rendu public ce jeudi 27 février que cet accord représente une première étape importante pour l’industrie algérienne. En effet, un deuxième volet de ce partenariat prévoit la création d’une société mixte entre ACS et SIGIT, afin de diversifier encore davantage l’offre de pièces pour l’automobile. Ce développement ouvrira la voie à l’introduction de nouvelles marques et produits sur le marché local, tout en consolidant la place du pays dans la chaîne de valeur automobile mondiale.
L'Algérie va approvisionner Mercedes, Wolkswagen, Audi, Lamborghini et Stellantis
Par ailleurs, SIGIT, fort de ses 60 années d’expérience, a exprimé sa volonté de contribuer activement au développement de l’industrie locale, en transférant son expertise technique et en garantissant un contrôle de qualité de haut niveau. Le groupe italien a également annoncé son intention de transférer une partie de ses commandes étrangères vers l’Algérie, ce qui permettra de valoriser les exportations algériennes de produits destinés à des marques prestigieuses telles que Volkswagen, Mercedes, Lamborghini, Audi et Stellantis.
Ce transfert de savoir-faire et de technologie, au cœur de l’accord, est un élément central de la stratégie algérienne pour améliorer son taux d’intégration dans l’automobile. Le ministre de l’Industrie, Sifi Ghrieb, a souligné que cette initiative vise non seulement à dynamiser l’industrie nationale, mais aussi à créer de nouveaux emplois et à générer de la richesse à travers la montée en compétences des acteurs locaux. Cet accord entre l'Algérie et l'Italie représente ainsi un pas décisif vers la modernisation de l’industrie automobile algérienne, avec des retombées économiques et sociales majeures pour le pays.
Observ Algérie
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