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En plus du lithium, le groupe Austroid via sa marque ENC veut se lancer dans la fabrication de bus et de camions en Algérie. Le projet a été présenté ce lundi 24 mars à Alger par une délégation de ladite société avec à sa tête son vice-président au ministre de l’Industrie Sifi Ghrieb, a indiqué un communiqué du département ministériel.
Au cours de la réunion, les représentants de l’entreprise ont exprimé « leur volonté d’investir en Algérie conformément à la feuille de route du ministère », a indiqué le communiqué.
Basé à Texas aux États-Unis, le groupe Austroid est lié à la Chine. À Alger, sa délégation a exprimé son plein engagement à réaliser un projet de qualité en phase avec la politique de l’Algérie en la matière, selon la même source.
L’Algérie manque de bus et de camions
Sifi Ghrieb a insisté sur « la nécessité d’exploiter le réseau national des fabricants de pièces de rechange pour augmenter le taux d’intégration locale » dans la fabrication automobile, et a souligné « l’importance d’accompagner les fabricants locaux en matière de formation, ainsi que dans les procédures de conformité ».
Le ministre de l’Industrie a demandé au groupe Austroid à « accélérer le parachèvement des procédures nécessaires avec les organismes compétents » pour le lancement de son projet de fabrication automobile en Algérie. Le ministère n’a donné aucun détail sur ce projet.
L’Algérie manque de bus, notamment pour faire face à la demande de renouvellement de son parc vieillissant. Avec l’arrêt des importations des véhicules, les bus neufs se sont raréfiés d’une façon inquiétante sur le marché automobile algérien qui manque aussi de camions pour la même raison.
Outre l’automobile, le groupe Austroid s’intéresse au lithium algérien. Dimanche, un projet d’investissement dans ce domaine a fait l’objet d’une réunion entre sa délégation et le PDG de l’Agence algérienne de promotion de l’investissement (AAPI), Omar Rekkache.
TSA
Au cours de la réunion, les représentants de l’entreprise ont exprimé « leur volonté d’investir en Algérie conformément à la feuille de route du ministère », a indiqué le communiqué.
Basé à Texas aux États-Unis, le groupe Austroid est lié à la Chine. À Alger, sa délégation a exprimé son plein engagement à réaliser un projet de qualité en phase avec la politique de l’Algérie en la matière, selon la même source.
L’Algérie manque de bus et de camions
Sifi Ghrieb a insisté sur « la nécessité d’exploiter le réseau national des fabricants de pièces de rechange pour augmenter le taux d’intégration locale » dans la fabrication automobile, et a souligné « l’importance d’accompagner les fabricants locaux en matière de formation, ainsi que dans les procédures de conformité ».
Le ministre de l’Industrie a demandé au groupe Austroid à « accélérer le parachèvement des procédures nécessaires avec les organismes compétents » pour le lancement de son projet de fabrication automobile en Algérie. Le ministère n’a donné aucun détail sur ce projet.
L’Algérie manque de bus, notamment pour faire face à la demande de renouvellement de son parc vieillissant. Avec l’arrêt des importations des véhicules, les bus neufs se sont raréfiés d’une façon inquiétante sur le marché automobile algérien qui manque aussi de camions pour la même raison.
Outre l’automobile, le groupe Austroid s’intéresse au lithium algérien. Dimanche, un projet d’investissement dans ce domaine a fait l’objet d’une réunion entre sa délégation et le PDG de l’Agence algérienne de promotion de l’investissement (AAPI), Omar Rekkache.
TSA
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