Sonatrach appelée à rencontrer PT Pertamina
La compagnie pétrolière nationale d’Indonésie, PT Pertamina, négocie avec la Sonatrach une commande pour l’achat de 50.000 barils par jour pour satisfaire les besoins de ce pays, a annoncé hier à Jakarta un porte parole de cette société. Selon ce dernier, les pourparlers pour l’achat de pétrole brut sont toujours en cours mais aucune date n’a été fixée pour le début des importations du brut algérien. L’Indonésie est le premier producteur de brut de l’Asie du Sud-Est, mais sa production n’arrive plus à satisfaire la demande croissante de l’économie du pays, ce qui contraint PT Pertamina à chercher des fournisseurs en Asie et en Afrique. L’Indonésie, qui est devenue importateur net de pétrole depuis 2003, a annoncé récemment sont retrait de l'OPEP, signale-t-on.
Le renforcement des relations bilatérales dans le domaine de l'énergie entre les deux pays est devenu ces derniers mois une priorité de ce pays. Pas plutôt que la semaine passée, le ministre de l'Energie et des Mines, président en exercice de l'OPEP, Chakib Khelil, avait effectué une visite de quatre jours à Jakarta pour étudier avec son homologue indonésien, Yusgiantoro Purnomo l'état de coopération énergétique entre l'Algérie et l'Indonésie. Les deux ministres avaient examiné les perspectives de développement dans le domaine de l'énergie à travers l'identification des projets concrets à réaliser ensemble en Algérie, en Indonésie ou dans des pays tiers. A l’issue de cette rencontre, les deux ministres avaient invité leurs entreprises respectives, à savoir, Sonatrach et Pertamina, à se rencontrer pour étudier les opportunités de coopération entre elles. M. Khelil avait animé, lors de cette visite, une conférence sur le thème «les perspectives globales de l'énergie» devant l'association indonésienne de l'énergie. Il s’agissait des prix du pétrole, l'OPEP et les prévisions de l'évolution du marché pétrolier. Preuve de l’intérêt de l’Indonésie pour le pétrole algérien, M. Khelil avait été reçu par le président indonésien Susilo Bambang Yudhoyono.
Le Financier
La compagnie pétrolière nationale d’Indonésie, PT Pertamina, négocie avec la Sonatrach une commande pour l’achat de 50.000 barils par jour pour satisfaire les besoins de ce pays, a annoncé hier à Jakarta un porte parole de cette société. Selon ce dernier, les pourparlers pour l’achat de pétrole brut sont toujours en cours mais aucune date n’a été fixée pour le début des importations du brut algérien. L’Indonésie est le premier producteur de brut de l’Asie du Sud-Est, mais sa production n’arrive plus à satisfaire la demande croissante de l’économie du pays, ce qui contraint PT Pertamina à chercher des fournisseurs en Asie et en Afrique. L’Indonésie, qui est devenue importateur net de pétrole depuis 2003, a annoncé récemment sont retrait de l'OPEP, signale-t-on.
Le renforcement des relations bilatérales dans le domaine de l'énergie entre les deux pays est devenu ces derniers mois une priorité de ce pays. Pas plutôt que la semaine passée, le ministre de l'Energie et des Mines, président en exercice de l'OPEP, Chakib Khelil, avait effectué une visite de quatre jours à Jakarta pour étudier avec son homologue indonésien, Yusgiantoro Purnomo l'état de coopération énergétique entre l'Algérie et l'Indonésie. Les deux ministres avaient examiné les perspectives de développement dans le domaine de l'énergie à travers l'identification des projets concrets à réaliser ensemble en Algérie, en Indonésie ou dans des pays tiers. A l’issue de cette rencontre, les deux ministres avaient invité leurs entreprises respectives, à savoir, Sonatrach et Pertamina, à se rencontrer pour étudier les opportunités de coopération entre elles. M. Khelil avait animé, lors de cette visite, une conférence sur le thème «les perspectives globales de l'énergie» devant l'association indonésienne de l'énergie. Il s’agissait des prix du pétrole, l'OPEP et les prévisions de l'évolution du marché pétrolier. Preuve de l’intérêt de l’Indonésie pour le pétrole algérien, M. Khelil avait été reçu par le président indonésien Susilo Bambang Yudhoyono.
Le Financier
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