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M le président : qui gére les Fonds de régulation ?

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  • #31
    Que tout jeune d’Algérie associe son nom

    C’est la revendication de toutes les familles qui vivent au dessous du seuil de pauvreté

    Le peuple a droit incontestable sur la transparence dans la gestion de toutes les richesses nationales sans exception, car c’est la propriété d’un peuple et non d’un seul homme ou d’une classe ..

    Que tout jeune d’Algérie associe son nom a une lettre qui reprend cette revendication pour une réponse claire et nette de la part du Président de la République
    Mais aussi une lettre de soutien avec une « condition »

    Si le Président se décide à dire LA VERITE et être CONTRE les pressions des instituions internationales (FMI. BM. OMC..) qui veulent fixer toutes les démarches de notre économie nationale
    Des démarches qui ne doivent servire que les intérêts des multinationales et des pays riches
    Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

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    • #32
      Merci pour l'info l'ami.

      Je contacterais M OUAZEN qui est le plus proche géographiquement et politiquement de moi.

      A suivre ......

      Bonne journée l'ami
      “If you think education is expensive, try ignorance”
      Derek Bok

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      • #33
        stan tes questions sont legitimes mais je crois qu elles resteront sans reponses car tu demande de la transparence qui n a jamais existé chez nos dirigeants
        tout le monde sait tres bien que ces sommes dont tu parles sont detournées , il suffit de lire les raports des instances internationales sur la corruption en algerie... on a une note de 3 sur 10......

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        • #34
          stan tes questions sont legitimes mais je crois qu elles resteront sans reponses car tu demande de la transparence qui n a jamais existé chez nos dirigeants
          tout le monde sait tres bien que ces sommes dont tu parles sont detournées , il suffit de lire les raports des instances internationales sur la corruption en algerie... on a une note de 3 sur 10......
          Allah yahdik.

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          • #35
            Autant d opacité sur ce fond ne peut que susciter des doutes légitimes -le marche est parti a la hausse pour un bon bout de temps et perso nous sommes proche du sommet de l asymptote et donc il n ya aucune crainte a un retour ou le baril etait cede a 10 usd-les grands petroleurs invitent meme les societes occidentales a se preparer a des solutions energetiques-sic-alternatives.mais je te comprends bien qu il faut mettre ce frr a l abri(en fond de tresors us que diancre ou voulez vous qu il soit place) vu la rapacite de certains de nos gouvernants- mais il est temps de dire a ton manitou d etudier un budget a 30 usd et de l axer en priorite vers l agriculture il s entend en amont et en aval de la filiere-

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            • #36
              marin,

              De quoi tu parles "bons de tresor US"? Le FRR est un fond en dinars Algeriens. Les reserves en devises sont des fonds en $ Americains. Ou sont ces fameux bons du tresor US dans le FRR?

              Les pays qui stock massivement des avoirs US à tour de bras sont ceux qui exportent sur le marché US massivement. Comprendre donc en premiere place la Chine et le Japon. L'Algerie ne fait pas une specialité de placements de bons du trésor US pour financer la guerre en Irak. Tout juste si on nous accuse pas de payer les salaires des marines avec le budget nationale contre la volonté du peuple. On nage en plein delire là enfin. On vient d'apprendre à economiser des dollars tels quels pour ne pas avoir à emprunter à l'avenir. Et il s'en trouve pour nous declarer criminels pour de tels actes. Pour rappel si jamais la Chine céde ses avoirs en $, elle provoquera l'effondrement de cette monnaie. Fin 2004 elle possedait des reserves de 500 milliards de $. Un signal de vente de la part de la Chine et le dollar baisse au profit de l'Euro. Un signal d'achat et il grimpe. Les Americains à Wall Street continuent de penser que c'est Alan Greenspan qui controle le dollar, pendant ce temps Zhou Xiaochuan fait ce qu'il veut a la tete de la banque centrale Chinoise. La Chine n'est pas le Japon... pas facile de la faire reevaluer sa monnaie. Mais Jane's accusera t'elle la chine de financer la guerre en Irak? Diable non: il existe encore des bougnoules sur cette terre pour servir à cela non?! Pendant ce temps là l'Algerie vend son petrole en $ comme tout le monde et accumule donc des reserves en dollars. Elle en depense certains et en economise d'autres. Ou est le mal à cela? Ou est le financement de la guerre en Irak? Et surtout a tu une autre option a proposer?

              P.S: Evite les expressions du style "va dire à ton manitou". Chacun se respecte et la discussion sera cool.

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              • #37
                ne le prend pas au premier degre j ai cru comprendre qu ouyahia etait ton patron (idelogique cela va s en dire)et loin de moi l idee de t insulter au contraire je trouve tes interventions digne de foi et meme que je lis avidement mais cela n empeche que la gestion de cette manne est opaque .depuis quand le dinar est une monnaie convertible ce fond ne nous cachons pas le voile est bien place sur le marche financier et un etat qui connait ses interets le place en bon de tresors americains nous ne sommes pas plus bete que les chinois.maintenant ces fonds investits habit oula kraht(sansmechancete)bush en fait ce qu il en veut.

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                • #38
                  Salut marin,

                  Je pensais que tu parlais de Bouteflika en disant "ton manitou". Bon c'est vrai que j'ai voté pour lui, fait campagne pour lui, etc. mais bon "manitou" quand meme. Meme pour Ouyahia ca passe pas. manitou c'est Dieu yaw! lol... maaliche, no problem en tout les cas. Je pensais que t'etais serieux. Ravi de lire que ce n'etait pas au premier degré.

                  Pour le FRR je confirme que c'est un fond en dinars qui provient de la fiscalité en dinars du pays. C'est pour cela d'ailleurs qu'ils s'appellent "fond de regulation des recettes". Les recettes sont en dinars, et le jour ou elles chutent alors ce fond est censés les reguler. Voit tu, lorsque un baril est exporté à l'etranger la compagnie qui l'exporte (Sonatrach ou autre) est payée en devises. Ces devises sont envoyées dans le compte de la compagnie en Algerie. La compagnie convertit cette argent en dinars aupres de la Banque d'Algerie. La Banque d'Algerie garde donc les devises dans ses coffres, et donne des dinars en echange. La compagnie va ensuite payer la fiscalité petroliere de 80%, plus certaines autres taxes sur les 20% restants, et ce qu'il lui reste elle le convertit en devises et l'exporte comme benefices si c'est une boite etrangere. L'excés des recettes de fiscalité est mis dans le FRR. C'est un excés en dinars DZD. La banque d'Algerie elle ne place pas l'argent en devises à droite et à gauche sur sa propre decision. Elle a une balance en devises qu'elle gére donc. Entre les depots du aux exportations et les retraits du aux au importations + les autres transferts de devises, elle gere donc la balance en devises du pays. Ce stock est appellé "reserves en devises dures" et se situe à plus de 45 milliards de $ actuellement (vu les exportations qui grimpent). Avec les importantions galopantes ce stock peut diminuer aussi ne l'oublions pas. Les importateurs payent leur produit au niveau d'une banque Algerienne en dinars, laquelle banque va donner ces dinars a la banque d'algerie qui va puiser dans ce que l'on appelle les reserves en devises pour payer le fournisseur à l'etranger. Et c'est ainsi que la banque d'Algerie gere son stock de reserves en devises et en dinar, etablit ses statistiques sur la parité etc...

                  Le FRR est donc bel et bien un fond en dinars, qui appartient au trésor, c'est un avoir du trésor et qui est placé à la Banque d'Algerie. Les reserves en devises dures appartienent elles à la banque d'Algerie. Le tresor ne les posséde pas et ne peut pas les gerer ou en puiser de l'argent. Et au niveau de la banque d'Algerie nous n'avons pas encore atteint le stade d'independance que connait le trésor, ou le directeur de la banque d'Algerie peut decider et faire des placements en achetant des bons du tresor US ou autre bons etrangers avec l'argent des reserves. Les avoirs de la banque d'Algerie ne sont pas géré dans une logique de profit mais seulement de "stockage". Un jour on arrivera à ce niveau. Pour l'instant ce n'est pas le cas.

                  Voilà j'espere que ces explications seront utiles. Au plaisir.

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                  • #39
                    Merci Double 6 pour tes interventions pour, elles me satisfaisent en generale, j'ai une question cher double-six, apres la fin de cette annee budgetaire, et apres avoir fixer les lignes de l'annee prochaines, cet ecxes de fond, ou disont ce qui reste, apres tout les comptes, sera t'il publier quelque part? ou le citoyen sera t'il informer par quelqu'autre moyen? Merci.
                    Merci Stan pour le post, tres, interesant ce que j'ai lu.
                    We were all Born newbies... some grow up with the time and some just dont...

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                    • #40
                      pas de quoi UFOS, tout le mérite revient à double 6 pour son travail titanesque et trés complet d'explications et de vulgarisation de la gestion du budget algerien.

                      Amitiés
                      “If you think education is expensive, try ignorance”
                      Derek Bok

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                      • #41
                        Six tosix es tu la voix autorisee..lol..mais je t avoue que j ai du mal a croire a ta construction vulgarisatrice mais c est ton opinion et je respecte ton point de vue.ba stocke ou en suisse ou en algerie-ne me jures pas en algerie-tu me dis si j ai une option je vais te dire mon option balancer tout ce fond dans la construction de barrages hydrauliques et la preparation de l apres petrole c est la ou j investirais et tant pis pour le million de logements donnant l oppurtunite a chaque algerien de financer par ses propres deniers son toit.la priorite du pays c est d assurer par nos propres moyens l assiette de kaci puis d exporter l exedent .toute notre projection economique doit tendre vers ce noble ideal.

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                        • #42
                          CLin d'oeil à notre PRESIDENT triomphalement élu en 2004 et pour qui toute ma famille ,y compris moi ,a plébiscité pour une fois qu'on trouve un représentant algérien digne de notre peuple....C'est vrai que son palmarès est des plus PRESTIGIEUX....Voici un article du site confidentiel algérie qui en parle :

                          PARTIE I :

                          Abdelaziz Bouteflika :
                          Un homme de paix
                          et de réconciliation




                          Né le 2 mars 1937, à Oujda, au Maroc, Abdelaziz Bouteflika a adhéré très tôt au combat pour la cause nationale. Après avoir terminé ses études secondaires, en 1956, il rejoint l'Armée de Libération Nationale (ALN).

                          Si Abdelkader El-Mali dans les maquis de la Wilaya V historique :

                          Âgé à peine de 21 ans, il se retrouve chargé d'une double mission de contrôleur général de la wilaya V en 1957 et 1958. Officier en zone 4 et en zone 7 de la Wilaya V, il est ensuite attaché au PC de la wilaya V, puis, successivement, au PC du «COM Ouest», au PC de l'état- major «Ouest» et au PC de l'état- major général de l'ALN. En 1960, le Commandant Abdelaziz Bouteflika est affecté aux frontières méridionales du pays pour commander le «front du Mali » dont la création entrait dans le cadre des mesures visant à faire échec aux entreprises de division du pays de la part de la puissance coloniale; ce qui lui vaudra le nom de guerre de Si Abdelkader El Mali.

                          Aux prémisses d’une carrière politique prometteuse

                          En 1961, il entre clandestinement en France dans le cadre d'une mission de contact avec les leaders historiques de la Révolution détenus à Aulnoy.

                          En 1962, Abdelaziz Bouteflika est député à 1'Assemblée Constituante et devient, à 25 ans, ministre de la jeunesse, des sports et du tourisme du premier gouvernement de l'Algérie indépendante. Il est également membre de l’assemblée législative en 1963, avant d'être nommé, la même année, ministre des affaires étrangères

                          En 1964 il est élu par le congrès du front de Libération Nationale en qualité de membre de comité central et membre du bureau politique.

                          Abdelaziz Bouteflika prend une part active au réajustement révolutionnaire de juin 1965 qui verra l'instauration du Conseil de la Révolution - dont il est membre - sous la présidence de Houari Boumediène.

                          Abdelaziz Bouteflika, un fin diplomate

                          Après ce virage politique, il sera reconduit dans les fonctions de ministre des Affaires étrangères où il animera, jusqu'en 1979, une action diplomatique qui vaudra à l’Algérie un prestige, un rayonnement et une influence qui l’établiront comme un des leaders du tiers monde, et, à ce titre, comme interlocuteur recherché des grandes puissances.

                          C’est lui qui définira ainsi la ligne directrice dont la diplomatie algérienne ne se départira plus par la suite. Elle s’articulera autour de deux principes majeurs : respect du droit international et soutien aux causes justes à travers le monde.

                          A ce titre, Abdelaziz Bouteflika se distinguera singulièrement, pendant plus d'une décennie, par une politique étrangère qui mène aux grands succès de la diplomatie algérienne.

                          Il jouera un rôle dans le renforcement et l'unification des rangs arabes lors du sommet de Khartoum de 1967.

                          Lors de la guerre d'octobre 1973 contre Israël.

                          Dans la reconnaissance internationale des frontières de l'Algérie et l'instauration de relations de bon voisinage et de fraternité avec les pays limitrophes.


                          La mise en 'échec de l'embargo contre l'Algérie suite à la nationalisation des hydrocarbures.

                          Abdelaziz Bouteflika joue également un rôle important dans la consolidation des organisations du Tiers-monde et le renforcement de leur unité d'action.

                          A ce titre, on citera entre autres actions qu’il a menées avec brio :

                          - Son action lors de la conférence des 77 et du sommet africain, tenus respectivement en 1967 et 1968 à Alger.

                          - Il contribuera, dans une mesure qui reste encore à saisir, à faire l'Algérie un des leaders du mouvement des non-alignés.

                          - Il a été et demeure un fervent et infatigable défenseur des processus de décolonisation dans le monde.

                          - Sous son règne sur la diplomatie, l'Algérie est devenue le porte-parole du tiers-monde et particulièrement dans sa revendication pour un nouvel ordre économique international.

                          Par ailleurs, au cours de cette période-phare de l’Algérie, il sera élu à l'unanimité Président de la 29ème session de l'Assemblée générale des Nations Unies, en 1974.

                          Abdelaziz Bouteflika obtient la mise au ban par la communauté internationale du régime sud-africain de l'Apartheid.

                          Il fera également admettre, malgré les oppositions tous azimuts, le leader de l'Organisation de Libération de la Palestine, feu Yasser Arafat, qui prononcera un discours devant l'Assemblée Générale.

                          En 1975, Abdelaziz Bouteflika présidera la 7ème session extraordinaire consacrée à l'énergie et aux matières premières dont l'Algérie était l'un des initiateurs.

                          En 1975 également, Abdelaziz Bouteflika brillera par son talent dans la consécration d’un accord de paix entre Saddam Hussein de l’Irak et le du Chah d’Iran. Cet accord de paix, conclu à Alger, empêchera une guerre fratricide et imminente entre les deux pays

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                          • #43
                            PARTIE II

                            Début de la traversée du désert

                            A la mort du Président Boumédiène, en 1978, et en tant que plus proche compagnon du défunt, il prononce une oraison funèbre mémorable. Ce sera prémonitoire, puisqu’il devient, dès lors, la principale cible de la politique de «déboumédiènisation». Ce qui le contraindra à un exil de plus de 6 années.

                            Première tentative de se réconcilier avec les siens

                            Bouteflika esquissera un premier retour en Algérie, en janvier 1987. Il signera la «motion des 18» consécutive aux événements sanglants d'octobre 1988. Il prend part au congrès du FLN en 1989, et il sera élu membre du comité central.

                            Après l’arrêt du processus électoral, moult propositions lui seront faites pour le faire revenir aux affaires. Elles seront toutes vaines. Il a été pressenti pour occuper les fonctions de ministre conseiller du Haut Comité d'Etat, instance présidentielle transitoire mise en place entre 1992 et 1994. Ensuite, on lui proposera de devenir représentant permanent auprès de l'ONU. Abdelaziz Bouteflika les déclinera toutes, au même titre d’ailleurs que celle de 1994, relative à sa promotion aux fonctions de chef de l’Etat dans le cadre des modalités et des mécanismes de la transition.

                            Quatre années se sont écoulées avant qu’il ne décide enfin, en décembre l998, de se présenter, en tant que candidat indépendant, à l'élection présidentielle anticipée d’avril 1999. il sera élu haut la main Président de la République le 15 Avril 1999.

                            Abdelaziz Bouteflika président de la République

                            Fraîchement installée au Palais d’El-Mouardia, le président donne le ton en réaffirmant sa détermination à rétablir la sécurité, la paix et la stabilité, ses chevaux de bataille dans une campagne électorale des plus tumultueuses.

                            Sans perdre de temps et faisant preuve d’une efficacité redoutable sur le terrain, il lance un processus législatif de concorde civile, consacré, le 16 septembre 1999, par un référendum qui recueille plus de 98% de suffrages favorables.



                            Les grands travaux de Bouteflika


                            Au plan interne

                            Le rétablissement progressif de la sécurité permet au Président Bouteflika d’entamer, sur le plan intérieur, un vaste programme de refondation de l’Etat algérien, à travers la réforme des structures et des missions de l’Etat, du système judiciaire, du système éducatif ainsi qu’un train de mesures économiques audacieuses, comportant notamment une réforme du système bancaire destinée à rendre l’économie algérienne plus performante, ce qui permettra à l’Algérie d’entrer dans l’économie de marché, de renouer avec la croissance et de réaliser des taux de croissance particulièrement élevés.

                            Reconnaissance de Tamazight comme langue nationale et officielle

                            Le Président de la République décide également, durant son premier mandat, de la constitutionnalisation de Tamazight et sa consécration en tant que langue nationale.

                            Il entame, durant son nouveau mandat en cours, un processus laborieux et courageux, constitutionnalisation de la langue Amazigh comme deuxième langue officielle de la République.

                            Au plan international

                            Sous l’impulsion du Président Bouteflika, l'Algérie se réapproprie son rôle de leader. Elle joue un rôle actif sans cesse plus important au niveau continental dans le cadre de l’Union Africaine et du Nouveau Partenariat pour le Développement de l’Afrique (NEPAD), dont le chef de l’Etat est l’un des initiateurs.

                            Au niveau africain toujours, le président Bouteflika n’a pas cessé d’œuvrer à la paix entre l’Ethiopie et l’Erythrée. La signature, à Alger, en 2002 des accords de paix entre ces deux pays, sous les applaudissements de la communauté internationale avec à sa tête la secrétaire d’Etat américaine aux Affaires étrangères Mme Madeleine Albright présente à la cérémonie et l’Union européenne, sera une reconnaissance de plus pour le rôle clé joué par ce faiseur de paix dans la réconciliation interafricaine.

                            Au niveau méditerranéen, ensuite, l'Algérie a conclu sous la houlette du chef de l’Etat un Accord d’Association avec l’Union Européenne, le 22 avril 2001.

                            L’Algérie est devenue aussi un partenaire incontournable du G8, en prenant régulièrement part à ses Sommets, depuis l'an 2000. Tout comme c’est grâce à lui que l’Algérie a été reconnue comme partenaire-clé de l’organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) dans les affaires de sécurité dans le bassin méditerranéen, ainsi que son corollaire la lutte antiterroriste, notamment dans la région sahélo-saharienne. L’Algérie joue un rôle moteur dans le plan Pan-Sahel visant à assurer la paix et la sécurité et la lutte contre le terrorisme dans cette sous-région.

                            Parallèlement, le Président Bouteflika n’a de cesse de fournir des efforts pour rendre possible la poursuite de la construction de l'Union du Maghreb Arabe, sans pour autant se départir du sacro-saint principe du droit des peuples à l’autodétermination, notamment la cause sahraouie.

                            Au plan arabe, le sommet d’Alger de mars 2005, sera un tournant historique pour la Ligue Arabe dans son processus de modernisation et d’adaptation aux défis qui guettent le monde arabe. Le génie du président réussira à imposer une réforme dans les structures et les mentalités figées qui ont grevé le fonctionnement de cette organisation.

                            Avec sa reconduction pour un second mandat présidentiel, et fort des acquis indiscutables de son premier mandat, Abdelaziz Bouteflika convie le peuple algérien à un référendum sur son « projet de paix la réconciliation nationale », dont la tenue est prévue le 29 septembre prochain, et ce, afin de tourner définitivement la page noire du terrorisme en Algérie et de libérer toutes les énergies saines et productives du pays pour relever les défis du 3e millénaire.

                            Au passage, il convient de signaler les avancées réalisées par l’Algérie depuis peu grâce à la révision du code la famille, l’institutionnalisation de la lutte contre la corruption et la poursuite des réformes engagées.

                            Ceci n’est que l’ébauche d’une carrière vaste et riche d’un homme qui ne s’est jamais départi de son engagement pour la paix. Son action antérieure et son engagement actuel au plan interne et dans les principaux forums mondiaux, sont toujours articulés autour des adjectifs Paix et Réconciliation.

                            Des nations entières sont témoins de l’apport de cet homme à ce noble et juste combat planétaire. L’action de cet homme s’inscrit dans les jours et années à venir.

                            Commentaire


                            • #44
                              Salut uofis,

                              De rien kho. Je suis ravi d'avoir pu etre utile. En ce qui concerne la publication de la somme contenue dans le fond elle est publiée par l'organisme ou sont déposés ces fonds c.a.d la Banque d'Algérie, mais le ministre des finances tiens periodiquement aussi une conférence de presse ou il convoque les journalistes, leur transmet la somme et les charge de rapporter cette info, comme l'a fait El Watan dans le lien que j'ai mis. En general ces conferences de presse se tiennent dans le 2éme semestre de l'année à partir des mois de Mai/Juin. A part cela il y a les publications de la Banque d'Algérie bien sur. On peut y lire les infos sur le FRR telle que: "le FRR fut pourvu de 453,2 milliards de dinars en 2000"... "de 115,8 milliards de DA en 2001"... "de 26,5 milliards de dinars en 2002", etc... Chaque année la somme mise dans le FRR dépend des recettes et du budget. La difference est ce qui va dans le FRR.
                              Voici un exemple de telles publications de la Banque d'Algérie: www.bank-of-algeria.dz/Chapitre%20IV.doc

                              Et le reste des publications de la Banque d'Algérie: http://www.bank-of-algeria.dz/docs.htm

                              Au plaisir.

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                              • #45
                                @Chicanos

                                Merci pour ttes ces precisions mais ce nest pas du tt un probleme de personne.

                                je pense que le meilleur de nous tous ne lui arrivera pas a lacheville il n y a rien a prouver sa carriere est derrier lui mais aujourdhui cest un homme publique qui preside lagerie avec des collaborateurs et lensemble constitue un systeme qui vehicule une image.

                                tt ca peut dire que cest le systeme qui est eventuellement vise par les interrogations et pas Boutef en tant que personne.

                                ce quil manque a mon sens ds la fiche de Boutef le type de relation quil avait avec les differents membres des autres Wilayas de lancienne algerie.

                                A+
                                Le métier des parents, c'est de savoir se séparer de ses enfants

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