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La nouvelle taxe pourrait freiner les ventes automobiles en Algérie

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  • #16
    @Hben

    Va dormir, si non tu finira par l'insulter ...
    "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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    • #17
      bonne nuit harrachi et surtout ne nous insulte pas ni les autres sutomobilistes et l'etat demain sur la route

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      • #18
        je réponds tardivement a mendz qui m'a fustigé!
        faut arreter! le traport en commun en algérie est dans une totale anarchie, donc pour "faire sa journée de dure labeur" (pour faire augmenter la croissance) il faut pouvoir se déplacer facilement.
        Cette taxe va empécher certaines personnes ,qui étaient alors juste juste ,d'acquérir un véhicule! par contre ceux qui ont de la tune, ben 10 brik en plus; qu'est ce que c'est?!
        Bizzard mendz, moi dans tout ça je ne vois pas l'ombre d'une décision pour augmenter la croissance ou quoi que ce soit! C'est une énième injustice ; c'est tout
        Maintenant je peux me tromper et etre a coté de la plaque et que c'est une décision prise pour réduire lemission des gaz a effet de serre, et pour empecher les accidents! Mais j'en doute fortement
        On peut mesurer par là toute la démesure et l'irréalité de la pensée algérienne
        Et moi je dis : on peut mesurer par là toute la naiveté de la pensée algérienne
        Dernière modification par salumen, 07 août 2008, 23h52.

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        • #19
          au lieu d'inciter les gens a remettre leur ancienne toc en échange d'une nouvelle il penalisent les serieux qui veulent diminuer l'hécatombe.

          "" yahssidouna ennassa 3al matahoum ellahou min fadhlih""

          ils vibrent de joie lorsqu'un algerien meurt ou conduit une 2cv

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          • #20
            Envoyé par mendz
            Cette mesure est la meilleur mesure prise par un gouvernement soucieux des intérets du pays pour sanctionner tous ces rapaces qui ont trouvé dans le marché algérien, le meilleur filon pour écouler vite leur férraille et rapartier illico chez eux d'énnormes sommes en devise sans jamais penser ou chercher à faire l'éffort de batir une usine automobile en Algérie.
            Je croyais au début que c’était une mesure pour limiter le nombre de véhicules. Le gouvernement nous dit qu’elle est destinée à encourager le transport public. Réellement c’est une mesure contre les concessionnaires automobiles. Ces mêmes concessionnaires qui ont commencés à investir sérieusement dans le service après vente et la formation de leur personnel.

            Si on veut une industrie automobile en Algérie, il faut lever les blocages administratifs et inciter les investisseurs étrangers à s’installer chez nous. L’histoire des déboires de l’installation de Renault en Algérie au profit du Maroc est toujours d’actualité.

            L’argument de financer le transport public ne tient pas la route. Les caisses de l'Etat sont pleines à craquer. En plus, avant de s’attaquer au client final, il faut commencer par améliorer la collecte fiscale.

            Un autre effet négatif de cette mesure est celui de la relance du marché anarchique de l’automobile d’occasion. Déjà que le nombre d’accidents sur les routes est très élevé.

            Pour toute loi aussi impopulaire soit elle, il faut un minimum de respect et de communication envers les citoyens algériens dont le fossé ne cesse de se creuser avec ses gouvernants.
            Dernière modification par shadok, 08 août 2008, 09h57.
            Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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            • #21
              Dix bonnes raisons de critiquer M. Ouyahia

              par Abed Charef, QO

              M. Ahmed Ouyahia adore les taxes. Après avoir introduit la vignette automobile, il impose une nouvelle taxe sur les véhicules neufs.

              La décision est aussi cynique qu'un bureaucrate, aussi sèche qu'un fonctionnaire en fin de carrière. Elle révèle mieux M. Ahmed Ouyahia que son programme politique, programme qu'il s'est, du reste, abstenu de présenter et de faire voter à l'Assemblée nationale, comme le prévoit la Constitution.

              Présentée comme une mesure destinée à encourager le transport public, la décision d'imposer de nouvelles taxes pour l'achat de véhicules neufs, prise par le gouvernement en pleine canicule, est aussi improductive qu'inutile. Elle confirme aussi une tendance qui s'est installée dans le pays : le penchant des hauts responsables à prendre des décisions sans étude ni réflexion préalable sur les conditions à réunir et l'impact de leur choix. Pire encore, ces « études » se limitent souvent à de simples argumentaires destinés à justifier des choix parfois absurdes.

              La décision de M. Ouyahia présente au moins dix raisons d'être critiquée :

              1. La décision a été prise de manière brutale. Du jour au lendemain, le prix des véhicules augmentent de dix pour cent pour les moins chers, ce qui constitue une marge énorme. Dans la catégorie sociale intéressée, celle acheteurs des véhicules à 500.0000 dinars, cela représente deux à trois mois de salaire.

              2. Des décisions d'un tel impact sur le budget familial déstabilisent les ménages concernés, et discréditent le gouvernement qui les prend. Elles installent la méfiance envers les gouvernants, et contribuent à éliminer le peu de visibilité encore possible. Qui garantit que le même gouvernement ne prendra pas des décisions similaires sur le logement, sur le prix du carburant, celui du pain ou du lait, des prix dont le niveau actuel est contestable ? Ce manque de visibilité constitue un handicap central pour tout investisseur, qui a besoin de savoir où il va, à quel rythme y aller, et dans quelles conditions.

              3. Officiellement, l'argent collecté à la faveur de la nouvelle taxe serait destiné au financement du transport public. L'objectif est noble. Mais il contredit tout ce qui se fait par ailleurs. On ne peut affirmer vouloir relancer le transport public quand le principal projet du pays est une autoroute, quand tout équipement public est délabré, et quand un gouvernement n'arrive pas à faire démarrer un train : le nouvel autorail Alger-Chlef devant être mis en service cette semaine n'a pu prendre le départ. Quelle que soit la raison avancée, augmenter le prix de la voiture avant la mise en service du train et du bus est une erreur.

              4. Un gouvernement peut augmenter la fiscalité, à trois conditions : il doit avoir besoin de ces nouvelles ressources, avoir la capacité de les utiliser, annoncer au préalable, dans une campagne électorale, ses intentions en la matière. Le gouvernement algérien n'a pas besoin de recettes supplémentaires. Il a de l'argent à ne savoir qu'en faire, et les institutions susceptibles de transformer l'argent en richesses ou en bien-être n'existent pas. Au pire, le gouvernement va collecter ces nouvelles taxes pour les gaspiller, ou les transférer au profit d'une clientèle du pouvoir. Au mieux, il va les déposer en bons du trésor américain, et contribuer à alléger le déficit budgétaire des Etats-Unis.

              5. Le gouvernement affirme que la taxe sera répartie entre l'acquéreur du véhicule et le concessionnaire. L'affirmation est évidemment fausse. Le concessionnaire va simplement répercuter la valeur de la taxe sur le prix, et conserver intégralement sa marge bénéficiaire. Il va même gagner davantage : en introduisant la nouvelle taxe dans le prix, et en gardant la même marge bénéficiaire, il va gagner davantage !

              6. La décision vise a priori tous les véhicules, mais ce sont les voitures d'entrée de gamme qui sont visées. La nouvelle mesure n'aura aucun effet sur l'acquéreur d'un véhicule 4x4 à un demi-milliard. Par contre, les ménages à bas revenu devront faire des sacrifices supplémentaires pour accéder à la voiture.

              7. Le propriétaire d'un véhicule est surtaxé. Il paie la vignette, le droit de stationner, avec toutes les rues du pays qui sont squattées, et la nouvelle taxe.

              8. Le gouvernement est incapable d'améliorer la rentabilité fiscale, en s'attaquant à la fraude et à la corruption. Il préfère donc avoir recours aux méthodes primaires, les plus faciles : taxer à la source. L'abondance de ces taxes va détourner l'administration fiscale de l'effort qu'elle serait amenée à faire pour assurer une meilleure collecte des impôts.

              9. La nouvelle taxe aurait pour objectif d'inciter au lancement d'une industrie automobile en Algérie. L'argument est recevable, mais M. Ouyahia, au pouvoir depuis plus de dix ans, n'a pas réussi à convaincre les firmes automobiles à investir en Algérie. Pourquoi réussirait-il aujourd'hui après avoir échoué tant d'années ? Le gouvernement a-t-il seulement fait le nécessaire pour qu'une compagnie étrangère puisse acquérir un lot de terrain ?

              10. Le gouvernement avait une possibilité de pénaliser les propriétaires de véhicules en s'attaquant à un autre chantier, celui du prix des carburants, encore très bas si on les compare à ce qui se passe sur le marché international ou si on se réfère à la flambée du prix du pétrole. Mettre à niveau ces prix est une opération nécessaire, pour rationnaliser la consommation, lutter contre les trafics, notamment aux frontières, et amener l'économie algérienne aux standards internationaux. Corriger les prix des carburants exige toutefois des compensations, ce qui constitue une opération complexe, hors de portée de l'administration algérienne.
              La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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              • #22
                Voilà ce que disent nos voisins marocains sur nous :

                Au terme du 1er semestre de 2008, il s’est vendu en Algérie plus de 137.000 véhicules neufs. Alors qu’au Maroc, le marché a tout juste franchi la barre des 100.000 unités l’an dernier.
                Es ce que les Algériens sont plus riches ? plus productifs que les marocains pour se payer le luxe d'avoir un marché automobile qui explose ainsi ?? !!

                Et celà pour toute personne sensée est une abérreation qu'il faut cesser à tout prix car ça n'arrange que les intérets des concessionnaires étrangers rien de plus !

                Et pour freiner cette abérration, y a pas d'autre solution que de chercher un moyen d'augumenter les prix !!

                Et tant pis pour tout les réveurs algériens qui vont jusqu'à avoir le culot de penser que la voiture devrait devenir un droit pour eux.

                Je sais hélàs que le caractère égoiste prolifère largement au sein de notre société à tel point que tout le monde veut sa caisse, qu'il la conduit n'importe comment et anarchiquement, et tant pis pour la saturation du réseau de transport qui ne suit pas la cadence explosive des ventes de voiture malgrés tous les éfforts que l'Etat entreprend pour fluidifier celà, et tant pis pour l'agumentation vertigineuse des accidents de voiture qui est sans commune mesure avec les autres pays du meme niveau que nous.

                Donc si les concessionnaires veulent se faire du fric en Algérie, il faut qu'ils payent le prix pour celà et contribuent au développement du transport public s'ils ne veulent pas investir dans une industrie automobile, ce n'est que justice pour tous les désagréments causés à la vente massive de leur produits.

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                • #23
                  Oui, l’explosion du marché des véhicules pose des problèmes dans les grandes villes. Mais il ne faut pas porter le chapeau de la désorganisation et du laxisme du gouvernement aux concessionnaires automobiles. L’Etat doit prendre ses dispositions en matière d’aménagement du territoire et d’urbanisme. Une ville comme Alger n’a pas évolué avec le nombre d’habitants. Les constructions se font sans penser aux axes routiers ni aux parkings et ce n’est pas les trémies qui vont régler le problème. Le transport public a été livré au privé d'où l'anarchie qu'on connait actuellement. Le citoyen algérien se voit obliger d'utiliser la voiture.

                  Le gouvernement nous a pas dit comment il compte utiliser cette taxe au profit du transport public cédé en grande partie au privé ?!
                  Dernière modification par shadok, 08 août 2008, 16h51.
                  Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

                  Commentaire


                  • #24
                    Il faudrait qu'ils développent le transport public avant de prendre ce genre de décisions!
                    Les personnes mises en cause dans les accidents de la route sont en majorité les jeunes agés de 18 a 22 ans! MAis dites vous que ceux la sont trop jeune pour pouvoir se payer eux meme leur voiture!
                    donc c'est leur parents qui leur finance la voiture; sa fait que cette décision est un coup dépée dans l'eau.
                    Seulement pour l'algérien moyen, c'est une autre histoire, car c'est lui qui est visé par cette décision!
                    Cette décision va juste permettre daugmenter les voitures usées d'année en année par un non remplacement des voitures! et donc des accidents...

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                    • #25
                      Donc si les concessionnaires veulent se faire du fric en Algérie, il faut qu'ils payent le prix pour celà et contribuent au développement du transport public s'ils ne veulent pas investir dans une industrie automobile, ce n'est que justice pour tous les désagréments causés à la vente massive de leur produits.

                      Je suis d'accord, à terme cette taxe va pousser les constructeurs à construire sur place leur véhicule s'ils veulent leur part du "juteux marché algérien", c'est ce qui se fait partout, je peux comprendre que pour l'instant la pillule est dure à avaler pour le simple citoyen qui veut acheter une voiture, mais à terme c'est l'emploi et la richesse produite en Algérie qui va y gagner au lieu de "gaver" les grands conctructeurs sans contreparties..

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                      • #26
                        Ah la belle trouvaille , je m'y attendais wallah qu'il va nous empoisonner la vie dès son investiture, remarquez qu'il raisonne en tant que fonctionnaire qui touche 50 millions de centimes par mois c normal.
                        Au lieu de mettre de l'ordre dans les transports publics, entre autres sommer les agents pour un peu de respect envers l'usager, laver quotidiennement les bus, rénover et renforcer le parc existant, colmater les nids de poules, rendre plus fluide le trafic pour inciter les gens a utiliser, eh bien non il s'en prend aux pauvres citoyens dejà mis a mal par l'huile , le sucre etc etc !!!! c quoi ce ******
                        Allez zwina jubile, toi qui nous promettais monts et merveilles avec Da H'med.
                        Dernière modification par AbouSeif, 08 août 2008, 21h57.

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                        • #27
                          A quoi va servir cette mesurette à la noix? A rien, walou Nada, sauf à paralyser un secteur économique qu'est la concession auto, et priver les gens d'aquérir une voiture. Le gouvernement fait ça pour, dit-il financer les prix des transport en communs, et officieusement freiner l'explosion du marché qui à totalisé un import de plusieurs milliards de $!!
                          Un gouvernement digne de ce nom aurai vu en celà l'occasion de faire profiter le pays d'une occasion en or et faire donc une politique qui aménerait les constructeurs à investir dans le pays et ne plus considerer l'Algérie comme un pays consommateur des produits finis. Au lieu de celà le gouvernement continue dans les mesurettes irreflechis, et sans lendemain.
                          C'est avec des politiques reflechis et une vision qu'on gouverne et non avec des mesurettes à la c**.
                          Ils vont juste casser le marcher, et rien d'autre. No comment....:22:

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                          • #28
                            Eux ...

                            ... et leurs enfants, les voitures ils les reçoivent toutes faites, payées et entretenues par l'Etat, donc par notre argent a nous.

                            Nous nous devons payer et entretenir leurs voitures, et nous devons en prime cracher 2 ou 3 salaires de plus pour EUX afin d enous payer notre propre voiture avec notre propre argent.

                            Et il reste des gens pour soutenir une telle logique ... Tfouuuh ! C'est tout ce que je peux dire.
                            "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                            • #29
                              c ca harrachi chacun cherche son petit interet nos gouvernants cherchent leur interet et celui de leurs proches et le peuple cherche son interet et et tout ce qu'il veut c'est acheter des voitures sans se soucier de l'interet general. qu'est ce que tu veux des sousdeveloppes gouvernes par des soudeveloppes dans un pays sousdeveloppe..

                              ps: pas besoin de nous cracher de sus just par ce qu'on approuve une mesure sur des milliers pas gentil de ta part

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                              • #30
                                Arrête stp harrachi matfakkarniche fi ouledhoum, n'3al din....... aux dernières nouvelles la plupart de leurs rejetons ont pour argent de poche quelques chose comme trois fois le smic a gaspiller par jour

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