Appel à la révision du code des investissements :
L’expert économiste et président de l’association nationale pour le développement de l’économie de marché, Abderrahmane Mebtoul, a révélé que l’Algérie n’était pas en mesure d’interdire aux investisseurs étrangers qui ont établi des projets conformes au code des investissements en vigueur, de transférer leurs bénéfices vers l’étranger ou de transférer les montants initiaux introduits en Algérie de façon légale pour financer ces projets, en application de la loi de 2001 amendée en 2006 par le ministre de l’industrie et des participations Hamid Temmar.
Abderrahmane Mebtoul a expliqué que le gouvernement algérien ne peut empêcher les sociétés internationales disposant de filiales en Algérie de vendre leurs biens ou d’effectuer des opérations de fusion ou d’absorption, ajoutant que le seul moyen dont dispose l’état algérien dans ces cas c’est le recours à la bourse et le rachat des actions de ces sociétés.
La décision d’Ouyahia n’est pas une rétractation mais un redressement
Notre interlocuteur a appelé le gouvernement à réviser rapidement la loi actuelle sur l’investissement dans le souci de mettre un terme à la spoliation des biens de l’état, indiquant que l’Algérie sera incapable d’assurer une couverture suffisante de ses importations et des bénéfices que les sociétés étrangères demanderont à sortir annuellement de l’Algérie à partir de 2010 alors que les importations atteindront 40 milliards de dollars et que les recettes annuelles transférées par les sociétés étrangères seront à 10 milliards de dollars.
Abderrahmane Mebtoul a mis en garde contre les conséquences désastreuses de l’accroissement des sommes qui sortent chaque année du pays et qui sont évaluées à 80 milliards de dollars pour 2013. Cette situation conduira l’état algérien à la faillite si le PIB n’est pas augmenté à 260 milliards de dollars au minimum, d’ici à cette date.
A ce moment, l’Algérie sera contrainte de recourir aux réserves de change et aux hydrocarbures pour s’acquitter des sommes dues aux sociétés étrangères
(c) Echourouk
L’expert économiste et président de l’association nationale pour le développement de l’économie de marché, Abderrahmane Mebtoul, a révélé que l’Algérie n’était pas en mesure d’interdire aux investisseurs étrangers qui ont établi des projets conformes au code des investissements en vigueur, de transférer leurs bénéfices vers l’étranger ou de transférer les montants initiaux introduits en Algérie de façon légale pour financer ces projets, en application de la loi de 2001 amendée en 2006 par le ministre de l’industrie et des participations Hamid Temmar.
Abderrahmane Mebtoul a expliqué que le gouvernement algérien ne peut empêcher les sociétés internationales disposant de filiales en Algérie de vendre leurs biens ou d’effectuer des opérations de fusion ou d’absorption, ajoutant que le seul moyen dont dispose l’état algérien dans ces cas c’est le recours à la bourse et le rachat des actions de ces sociétés.
La décision d’Ouyahia n’est pas une rétractation mais un redressement
Notre interlocuteur a appelé le gouvernement à réviser rapidement la loi actuelle sur l’investissement dans le souci de mettre un terme à la spoliation des biens de l’état, indiquant que l’Algérie sera incapable d’assurer une couverture suffisante de ses importations et des bénéfices que les sociétés étrangères demanderont à sortir annuellement de l’Algérie à partir de 2010 alors que les importations atteindront 40 milliards de dollars et que les recettes annuelles transférées par les sociétés étrangères seront à 10 milliards de dollars.
Abderrahmane Mebtoul a mis en garde contre les conséquences désastreuses de l’accroissement des sommes qui sortent chaque année du pays et qui sont évaluées à 80 milliards de dollars pour 2013. Cette situation conduira l’état algérien à la faillite si le PIB n’est pas augmenté à 260 milliards de dollars au minimum, d’ici à cette date.
A ce moment, l’Algérie sera contrainte de recourir aux réserves de change et aux hydrocarbures pour s’acquitter des sommes dues aux sociétés étrangères
(c) Echourouk
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