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à l'ooposé des états démocratiques où l'exécutif ainsi que toutes les personnalités influentes qui veillent au bon fonctionnement d'un choix politique sont élus par leur base et par conséquent par le citoyen, nous avons affaire, en Algérie, à des dirigeants qui semblent totalement découplés de la société. comme des extra-terrestres!
Plus le fossé entre dirigeants et dirigés est grand, plus le dialogue devient impossible.
les lois, les textes, les amendements et toutes les mesures prises
"en haut" font l'objet d'un simulacre de débat au coeur d'une assemblée fantôche et finissent quasiment toutes par être adoptées à l'unanimité.
comment faire décoller l'économie quand les acteurs, les opérateurs, la société civile ne sont pas associés aux débats, ateliers, forums et autres joutes de concertation devant déboucher sur des projets qui concernent dirigeants et dirigés?
pourquoi parler d'accords avec l'UE, d'adhésion à l'OMC sans associer des économistes et financiers issus de la société civile?
pourqoui subir les injonctions de la BM ou du FMI?
un tel choix, s'il venait à être appliqué est un choix stratégique qui nous concerne au même tître que les générations futures.
pourquoi priver le peuple de se prononcer, souverainement, sur le sujet?
l'Algérie a effectivement les ressources humaine, d'immenses richesses et les moyens financiers pour créer une dynamique, la dynamique à même de permettre un boom économique.
Oui, l'Algérie peut vraiment s'en sortir!
pour celà, il faudrait permettre à toutes ces compétences de s'exprimer démocratiquement, sereinement et en toute responsabilité sur des débats économiques, scientifiques, sociaux, culturels, identitaires qui les concernent en qualité d'Algériens jaloux de leur chère Algérie.
Plus le fossé entre dirigeants et dirigés est grand, plus le dialogue devient impossible.
les lois, les textes, les amendements et toutes les mesures prises
"en haut" font l'objet d'un simulacre de débat au coeur d'une assemblée fantôche et finissent quasiment toutes par être adoptées à l'unanimité.
comment faire décoller l'économie quand les acteurs, les opérateurs, la société civile ne sont pas associés aux débats, ateliers, forums et autres joutes de concertation devant déboucher sur des projets qui concernent dirigeants et dirigés?
pourquoi parler d'accords avec l'UE, d'adhésion à l'OMC sans associer des économistes et financiers issus de la société civile?
pourqoui subir les injonctions de la BM ou du FMI?
un tel choix, s'il venait à être appliqué est un choix stratégique qui nous concerne au même tître que les générations futures.
pourquoi priver le peuple de se prononcer, souverainement, sur le sujet?
l'Algérie a effectivement les ressources humaine, d'immenses richesses et les moyens financiers pour créer une dynamique, la dynamique à même de permettre un boom économique.
Oui, l'Algérie peut vraiment s'en sortir!
pour celà, il faudrait permettre à toutes ces compétences de s'exprimer démocratiquement, sereinement et en toute responsabilité sur des débats économiques, scientifiques, sociaux, culturels, identitaires qui les concernent en qualité d'Algériens jaloux de leur chère Algérie.
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