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Le Maroc peut créer sa propre Silicon Valley

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  • Le Maroc peut créer sa propre Silicon Valley

    Casablanca : Le Maroc dispose de toutes les conditions requises pour la création d'une "Silicon Valley", une structure de fertilisation des idées innovatrices de progrès et de développement socio-économique, a souligné mercredi à Casablanca un spécialiste de l'Intelligence économique, Daniel Rouach.

    Animant une conférence organisée par le Cabinet de conseil et d'études AOB autour d'un Ftour débat, sur "la Veille Concurrentielle et les meilleures pratiques" au sein des entreprises, ce consultant international, spécialiste en matière de l'intelligence économique et professeur universitaire natif de Meknès, a indiqué qu'il avait entamé des procédures de concertation avec des responsables politiques, universitaires et dirigeants d'entreprises en vue de définir une notion globale de l'instauration d'une Silicon Valley au Royaume du Maroc.

    L'idée d'édifier cette pépinière a germé dans l'esprit du conférencier sur la base de l'observation du fait que le Maroc dispose d'idées géniales et ingénieuses malheureusement mal concoctées et exploitées, dans une époque où l'avenir appartient aux nations riches en capital d'idées génératrices de projets industriels et commerciaux compétitifs.

    Il a rappelé, à ce propos, que les Silicon Valley qui ont pu prouver leur efficacité en tant que pôles d'industries de pointe et d'incubation de projets se trouvent au sein des universités de prestige anglo-saxonnes notamment américaines.

    Dans la foulée de la présentation des contours de ce futur projet prometteur, le professeur Rouach a abordé le thème central de la conférence, à savoir la Veille Concurrentielle, soulignant l'impératif de développer au sein des entreprises marocaines l'esprit de culture d'intelligence, comme une approche pragmatique et fonctionnelle permettant à l'entreprise d'anticiper les changements brusques des contextes d'investissement et de production.

    Et d'expliquer que la veille concurrentielle en tant que concept opératoire permet aux opérateurs économiques de pister les démarches actives. Elle permet ainsi aux chefs d'entreprises de bien orienter leurs actions de développement et de déploiements vers d'autres secteurs d'activités et de détecter les fausses pistes et leurres, les diverses intrusions, le dépôt de brevets et découvrir les travaux de recherche des concurrents directs et indirects.

    Cet outil opératoire facilite également un travail méthodique et structurant conduisant à mieux connaître les techniques de vente et de distribution des concurrents et leur politique de communication.

    La veille concurrentielle doit s'arc-bouter sur la mise en place d'une cellule de veille technologique organisée autour du brevet et dotée des instruments efficients d'analyse et de mesure permettant de tenir un regard permanent sur les autres usagers de la route de l'innovation et de la technologie.

    Pour alléger le coût élevé d'un tel travail, le conférencier propose la mobilisation du top management, précisant à cet égard qu'il vaut mieux une équipe pluridisciplinaire qu'un isolé polyvalent.

    Pour relever le défi lancé par la guerre économique inhérente aux structures de la globalisation, Rouach met l'accent sur l'impératif d'analyser les tendances et signaux faibles manifestés par les sociétés concurrentes. Les analystes des signaux faibles chez le concurrent doivent s'appuyer dans leur travail sur la bibliométrie, c'est-à-dire l'application de méthodes statistiques d'analyse de l'information sur des ensembles de références bibliographiques.

    Cette approche avancée par le conférencier doit également être doublée par l'utilisation de la scientométrie qui se résume dans l'application de la bibliométrie à la qualification de l'effort de recherche scientifique.

    Le professeur Rouach résume enfin qu'une expression "noble" de la veille concurrentielle est le benchmarking qui consiste à prendre un concurrent ou un autre acteur de marché comme référence, afin de pouvoir mener des comparaisons rapprochées entre produits, services, ou méthodes de production.

  • #2
    Le Maroc dispose de toutes les conditions requises pour la création d'une "Silicon Valley", une structure de fertilisation des idées innovatrices de progrès et de développement socio-économique, a souligné mercredi à Casablanca un spécialiste de l'Intelligence économique, Daniel Rouach.
    c'est bien pour un pays analphabète!
    Mr NOUBAT

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    • #3
      gallek silicounne vali

      Le Maroc va généraliser l’enseignement obligatoire jusqu’à 15 ans

      --------------------------------------------------------------------------------

      Le Maroc va généraliser l’enseignement obligatoire jusqu’à l’âge de 15 ans dans le cadre d’un « programme d’urgence » 2009-2012 lancé jeudi par le roi Mohammed VI, a-t-on indiqué à Rabat de source officielle.
      Ce programme, dévoilé à l’occasion de la nouvelle rentrée scolaire, va insuffler à l’éducation une dynamique pour « accélérer la cadence de la réforme » de l’enseignement, a ajouté la même source.

      A travers ce plan, le Maroc vise à rattraper son retard par rapport à la Tunisie et à l’Algérie, où l’éducation pour tous s’élève à près de 97%, selon l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco).

      La promotion de l’enseignement dans le milieu rural est également concernée par ce programme dont la mise en oeuvre a été confiée à plusieurs ministères et offices nationaux.
      The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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      • #4
        c'est justement ce qui prouve de l'immense gisement humain dont recèle le pays, avec un taux d'analphabétisme (no comment) et d'un taux de scolarisation très protesté, il arrive a faire ce que les autres, avec ces difficultés en moins, ne peuvent pas se permettre d'atteindre

        l'incubation a commencé au Maroc avec l'univ al akhawayne, les autres nouvelles univ internationales ne seront surement pas en reste, il restera à transférer cela aux univ étatiques à travers des accords spécifiques (comme vous savez, ces incubations demandent de grands financements, et sans les grandes sommes qu'il faut payer aux univ americaines, ces dernières ne pouvaient espérer donner lieu à leur actuelle efficacité attestée)

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        • #5
          le maroc fait rien, la France et autres font.
          Mr NOUBAT

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          • #6
            [quote]Citation: Le Maroc dispose de toutes les conditions requises pour la création d'une "Silicon Valley", une structure de fertilisation des idées innovatrices de progrès et de développement socio-économique, a souligné mercredi à Casablanca un spécialiste de l'Intelligence économique, Daniel Rouach.
            c'est bien pour un pays analphabète!
            merci pour le compliment :22:

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            • #7
              Maroc : 43% sur 30 millions habitants ( Plan de 5% en 2015)

              et l'Algérie : 26,5 % sur 33,8 millions d'habitant.

              Alors noubat on ferme sa gueule c'est mieux !

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              • #8
                Rien que ça !
                Même l'Inde ou l'Irlande n'iront pas jusqu'à faire cette comparaison, les marocains sont optimistes, c'est bien....
                La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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                • #9
                  Maroc : 43% sur 30 millions habitants ( Plan de 5% en 2015)

                  et l'Algérie : 26,5 % sur 33,8 millions d'habitant.

                  Alors noubat on ferme sa gueule c'est mieux !

                  Diablo-colorado
                  ..................................


                  Pire , on fait rien à part jalouser les autres en essayant de montrer leurs lacunes et éluder leur force.

                  Pour certains , recourir aux autres pour copier leurs expériences et prospérer est une nouvelle forme de colonialisme

                  On préfère s'adosser aux murs ,suivre le cours du baril , et compter sur l'état providence et on nous parle de nif.

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                  • #10
                    On préfère s'adosser aux murs ,suivre le cours du baril , et compter sur l'état providence et on nous parle de nif.
                    C'est mieux que d'avoir une économie aux mains de la France.
                    La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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                    • #11
                      bah il ya des gens qui veulent resorber le chomage,et des gens qui pousse les jeune a choisir entre etre haraga ou terro.
                      si au maroc le taux d'analphabetisme et de 37% en 2008,bah il etait de 56% en 1999,alors c pas si mal .
                      vous critiquer le travail des autre alors que dans votre pays vous faite rien,au moin nous on essaye de construire le notre.

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                      • #12
                        j'aimerais dire: ne focalisez pas sur l'analphabétisme !!
                        car primo ce n'est pas le sujet et secundo le Maroc a un retard considérable, pas de doute là dessus, comme il a fait un effort tout aussi considérable ces dernières années à ce sujet, ce n'est qu'une question de temps, tout au plus une décade d'années et ça ne deviendra que de l'histoire

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                        • #13
                          tt le monde construit son pays à sa maniere , mais la maniere marocaine est seule au monde , elle s'apparente plus à qque chose qui s'apelle reverdebout qu'autre chose , le pire c'est qu'il ya des gens qui croient au surnaturel comme concurencer la chine et l'inde dans les NTIC et posseder l'un des plus fort taux d'analphabetisme du globe en meme temps
                          en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

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                          • #14
                            jamaloup

                            il y a effectivement une réelle chance et ceci n'est pas de l'utopie mais du réel !
                            l'inde est positionnée sur l'offshoring anglo-saxon (le plus important en volume)
                            mais concernant l'offshoring francophone le Maroc vient à peine de commencer et il en est déjà destination de choix

                            des grands groupes francophones ont signés pour les pôles ntic marocains et le chiffre d'affaires du secteur croit annuellement à deux chiffres, le succès n'est plus à démontrer

                            le Maroc ose même taper la porte de l'offshoring americain à travers l'ALE en vigueur (cf. voir la meme section pour un article dédié)

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                            • #15
                              Se comparer à l'INDE, il ne faut pas rêver.

                              L'INDE forme près de 400 000 ingénieurs par an.

                              C'est vrai qu'ils sont nombreux, mais quand même.
                              Est ce que tout le monde arabe forme autant ?.

                              Je ne le crois pas.

                              Au maroc, même le niveau de l'enseignement est inférieur par rapport aux autres pays du maghreb

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