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L’évènement mérite d’être signalé: La compagnie nationale pétrolière a dépassé le seuil du milliard de mètres cubes de gaz naturel liquéfié produit depuis 1964.
L’évènement mérite d’être signalé: La compagnie nationale pétrolière a dépassé le seuil du milliard de mètres cubes de gaz naturel liquéfié produit depuis 1964. Sonatrach a enregistré le 13 septembre en cours une production cumulée de gaz naturel liquéfié (GNL) de plus d’un milliard de mètres cubes (m3) depuis le démarrage du premier complexe GNL en 1964, souligne un communiqué rendu public hier. La première entreprise d’Afrique attribue cette performance au vaste programme de rénovation des quatre complexes de Sonatrach qui a largement contribué à atteindre ce résultat. Ainsi, les productions cumulées depuis 1964 de ces 4 complexes de liquéfaction de GNL (GL4Z, GL1K, GL1Z ET GL2Z) ont atteint respectivement 83.500.343 m3, 218.677.511 m3, 331.305.502 m3 et 366.562.057 m3, soit une production cumulée de 1.000.045.413 m3. La production de GNL a débuté, rappelle Sonatrach, avec la construction en 1964 du premier complexe, le GL4Z, dénommé alors la Compagnie algérienne de méthane liquéfié (CAMEL).
Sonatrach ne compte pas s’arrêter en si bon chemin et ambitionne d’avoir une part de marché conséquente où l’on assiste à une croissance constante de la demande de GNL. Sonatrach veut mettre tous les atouts de son côté pour «consolider sa position de leader dans le bassin méditerranéen et dans l’Europe, tout en renforçant sa présence sur d’autres marchés internationaux, notamment américain et asiatique». Pour ce faire, d’énormes investissements seront consentis dans le cadre d’un important programme de développement qui devrait se traduire, entre autres, par la réalisation de deux grands projets de production GNL. Il s’agit de deux méga trains à Skikda et à Arzew, d’une capacité de production respectivement de 4,5 millions de tonnes par an et de 4,7 millions de tonnes par an.
L’Algérie occupe la quatrième position du classement des producteurs mondiaux de gaz naturel liquéfié (GNL), selon le magazine spécialisé bimensuel Pétrole et Gaz arabes. Elle est devancée par le Qatar, devenu l’année dernière le premier exportateur mondial de GNL avec 38,46 Gm3 suivi par la Malaisie et l’Indonésie. La même source précise dans sa dernière livraison que les fonds requis pour les investissements gaziers des pays du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord seraient de 221 milliards de dollars au cours de la période 2008-2012, contre près de 200 milliards pour les projets pétroliers et 71 milliards pour les projets électriques.
L’Algérie 4ème producteur mondial
La même source prédit une expansion rapide dans les prochaines années de l’industrie gazière dans les pays arabes. Contrairement au pétrole dont la production commence à donner des signes d’essoufflement, l’industrie gazière dans les pays arabes devrait poursuivre une expansion rapide dans les prochaines années. Les exportations gazières du Moyen-Orient et de l’Afrique du nord pourraient tripler dans les 20-25 ans à venir pour dépasser les 450 milliards de m3 (Gm3), compte tenu des projets envisagés et des besoins d’importation aussi bien de l’Europe que des Etats-Unis, de la Chine, du Japon et des pays du Sud-est asiatique.
Yasmine Idjer (Le Financier)
L’évènement mérite d’être signalé: La compagnie nationale pétrolière a dépassé le seuil du milliard de mètres cubes de gaz naturel liquéfié produit depuis 1964. Sonatrach a enregistré le 13 septembre en cours une production cumulée de gaz naturel liquéfié (GNL) de plus d’un milliard de mètres cubes (m3) depuis le démarrage du premier complexe GNL en 1964, souligne un communiqué rendu public hier. La première entreprise d’Afrique attribue cette performance au vaste programme de rénovation des quatre complexes de Sonatrach qui a largement contribué à atteindre ce résultat. Ainsi, les productions cumulées depuis 1964 de ces 4 complexes de liquéfaction de GNL (GL4Z, GL1K, GL1Z ET GL2Z) ont atteint respectivement 83.500.343 m3, 218.677.511 m3, 331.305.502 m3 et 366.562.057 m3, soit une production cumulée de 1.000.045.413 m3. La production de GNL a débuté, rappelle Sonatrach, avec la construction en 1964 du premier complexe, le GL4Z, dénommé alors la Compagnie algérienne de méthane liquéfié (CAMEL).
Sonatrach ne compte pas s’arrêter en si bon chemin et ambitionne d’avoir une part de marché conséquente où l’on assiste à une croissance constante de la demande de GNL. Sonatrach veut mettre tous les atouts de son côté pour «consolider sa position de leader dans le bassin méditerranéen et dans l’Europe, tout en renforçant sa présence sur d’autres marchés internationaux, notamment américain et asiatique». Pour ce faire, d’énormes investissements seront consentis dans le cadre d’un important programme de développement qui devrait se traduire, entre autres, par la réalisation de deux grands projets de production GNL. Il s’agit de deux méga trains à Skikda et à Arzew, d’une capacité de production respectivement de 4,5 millions de tonnes par an et de 4,7 millions de tonnes par an.
L’Algérie occupe la quatrième position du classement des producteurs mondiaux de gaz naturel liquéfié (GNL), selon le magazine spécialisé bimensuel Pétrole et Gaz arabes. Elle est devancée par le Qatar, devenu l’année dernière le premier exportateur mondial de GNL avec 38,46 Gm3 suivi par la Malaisie et l’Indonésie. La même source précise dans sa dernière livraison que les fonds requis pour les investissements gaziers des pays du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord seraient de 221 milliards de dollars au cours de la période 2008-2012, contre près de 200 milliards pour les projets pétroliers et 71 milliards pour les projets électriques.
L’Algérie 4ème producteur mondial
La même source prédit une expansion rapide dans les prochaines années de l’industrie gazière dans les pays arabes. Contrairement au pétrole dont la production commence à donner des signes d’essoufflement, l’industrie gazière dans les pays arabes devrait poursuivre une expansion rapide dans les prochaines années. Les exportations gazières du Moyen-Orient et de l’Afrique du nord pourraient tripler dans les 20-25 ans à venir pour dépasser les 450 milliards de m3 (Gm3), compte tenu des projets envisagés et des besoins d’importation aussi bien de l’Europe que des Etats-Unis, de la Chine, du Japon et des pays du Sud-est asiatique.
Yasmine Idjer (Le Financier)