Annonce

Réduire
Aucune annonce.

formation pilote?

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • formation pilote?

    Bonjour,

    Y'a t-il une école en Algérie pour faire une formation de pilote d'avion?

    Si oui, quelles sont les conditions pour y accéder pour une nouveau bachelier?????


    Merci pour votre coopération.

  • #2
    qu'elle formation plilote (domaine mélitairet et comerçaile)

    pour le militaire je pense a oran éssayer de chercher sur le net
    ecole de tafrawi oran el sénia
    dz(0000/1111)dz

    Commentaire


    • #3
      Bonsoir
      Envoyé par mam
      Bonsoir Nacira, hadi ghiba .....souhaitant que tu te portes bien !
      Koulchi mebrouk et félicitations à ton neveu !! Pour répondre à ta question ,malheureusement je ne connais que des écoles militaires (celles de Rouiba et Bousmail entre autres )!Sinon pour devenir pilote dans l'aviation civile faut étudier aéronautique ou être ingénieur puis faire des formations à l'étranger (C'est selon la demande des compagnies) !!
      Envoyé par L'imprévisible
      Département Aéronautique (Pavillon du Département Aéronautique )
      Adresse : Universite de SAAD DAHLAB BP 270 BLIDA (09000) ALGERIE Faculte des Sciences de l'Ingénieur Département Aéronautique
      Secrétariat : Local
      Url : http://www.blida.net
      Il me semble qu'il faut un bac math avec mention minimum : bien.
      رحم الله امرأة اعتصرت عمرها في كأس لتسقي وليدها شهدا

      Commentaire


      • #4
        Comme Bachelier je pense pas, j'avais un ami dans le temps qui avait suivi une formation d'aiguilleur et il m'avait raconté qu'ils lui ont exigé à l'époque un niveau minimum de BAC + 2 , sans parler qu'il avait une connaissance solide travaillant à l'aéroport pour qu'il a pu bénéficier de cette formation, alors que dire de celle d'un pilote de ligne !

        Commentaire


        • #5
          L'institut de Blida est créé pour former des techniciens spécialisés dans l'aviation. Si le désir de votre neveu est de faire carrière de pilote, ce n'est pas là où il faut y aller.

          Il y a deux écoles de pilotage en Algérie: une publique et une autre privée.
          La première étant réservée pour la formation militaire (celle de Tefraoui à Essania) et une privée basée à Batna créée par un homme d'affaires de Batna.

          C'est vers cette dernière qu'il faut s'orienter.

          Commentaire


          • #6
            Merci, à tous

            Désolée, pour ne pas avoir vu vos réponse sur l'autre topic (je suis en vacance). Merci beaucoup pour vos réponses.
            Effectivement, c'est un peu dure d'accéder à l'école militaire d'aviation.

            Hormis une bonne moyenne, il faut un bon piston.

            L'impré, le lien de l'université de Bida ne s'ouvre pas. Donc impossible de les contacter.

            El Bahar, merci pour l'info
            une privée basée à Batna créée par un homme d'affaires de Batna
            Je ne savais pas que ça existe. Ca doit être chèr. Je vais essayer de les contacter.

            Commentaire


            • #7
              Bonjour

              Question ton neveu a obtenu quel baccalauréat avec quelle mention ?

              Actuellement deux grandes filières d'enseignements sont ouvertes au sein dudépartement, la filière Construction et maintenance aéronautique d'une part avec trois options qui sont Structure, Propulsion et Avionique, et la filière Navigation aérienne d'autre part.

              1. Cycle LMD


              Le département d’aéronautique de Blida a reçu, de la part de la Conférence Régionale du Centre CRC, l’homologation de six licences qui sont :
              • Propulsion avions
              • Structures avions
              • Avionique
              • Opérations aériennes
              • Installations
              • Exploitation Aéronautique


              2. Cycle classique

              Actuellement deux filières (Constructions aéronautiques et Navigation aérienne) fonctionnent pour les formations d'ingénieur.


              Pour les Techniciens Supérieurs seule la filière Construction avec ses trois options (Structure, Propulsion et Avionique) a été ouverte.

              2.1. Le cycle de Technicien Supérieur


              Il se déroule sur 3 années universitaires.




              Une première année ayant pour but d'homogénéiser les connaissances scientifiques des étudiants et de leur donner les outils indispensables à une formation en aéronautique. En plus les étudiants entament des modules portant sur les différentes spécialités proposées en option.


              Une deuxième année axée sur un enseignement des bases de l'aéronautique communes a toutes les options existantes.


              La troisième année est entièrement axée sur la spécialité choisie (propulsion, structure, avionique). Elle inclut en outre un stage en entreprise et l'élaboration d'un mémoire de fin d'étude sous la direction d'un enseignant ou d'un professionnel enseignant associé au Département.



              Après avoir satisfait à toutes ses obligations pédagogiques avec succès, l'étudiant se voit délivrer conformément aux lois en vigueur un Diplôme d'Études Universitaire Appliquées en Aéronautique (TECHNICIEN SUPÉRIEUR EN AÉRONAUTIQUE) avec mention de l'option suivie. Ces formations seront remplacées graduellement par les licences aéronautiques (système LMD).

              2.2. Le cycle des Ingénieurs d'état


              II est réservé aux titulaires d'excellents résultats au Tronc Commun Sciences Exactes et Technologie (après deux années d'études universitaires). Il se déroule en trois années de formation, un premier semestre constitue un tronc commun aéronautique. Le choix de la spécialité se fait dès le deuxième semestre de la première année. Les élèves - ingénieurs optent soit pour la filière " Construction aéronautique " soit pour la filière " navigation aérienne. Le nombre de postes ouverts par filière est actuellement réactualisé chaque année en fonction des tendances du marché de l'emploi.


              En troisième année, l'élève - ingénieur doit rédiger un mémoire de fin d'étude après un stage en entreprise (4 à 5 mois).

              2.3. La formation des Magisters

              Destinée aux titulaires d'un diplôme d'Ingénieur ou d'un titre reconnu équivalent, cette formation récente, permet de préparer grâce à un enseignement adéquat, aux activités d'enseignement et de recherche en entreprises spécialisées ou au Département d'Aéronautique.


              La première année est consacrée aux enseignements théoriques. Les années suivantes sont consacrées aux expérimentations et à la rédaction d'une thèse. Le sujet de thèse est préalablement soumis à l'approbation du Conseil Scientifique. Les sujets retenus porte sur des domaines variés tels que l'aérodynamique, la propulsion, acoustique, navigation aérienne, maintenance ou avionique.

              2.4. Doctorats d'état


              Pour ses besoins internes, le Département a ouvert depuis quelques années une formation de docteurs d'état en Aéronautique. Cette formation d'une durée moyenne de 4 ans concerne les enseignants titulaires d'un Diplôme de 3ème cycle ou d'un Magister. Elle porte pour l'instant sur des sujets en Aérodynamique, propulsion ou avionique. Une partie de la formation se déroule dans des laboratoires étrangers dans le cadre de thèses en co-direction ou en cotutelle.

              3. Cycle de formation à la carte


              Le département d'Aéronautique a cumulé une expérience de plusieurs années dans le domaine des prestations de service et des formations «à la carte», pour le compte d'entreprises du secteur économique, comme c'est le cas pour les compagnies Air Algérie, Tassili Air lines, l'Établissement National de la Navigation Aérienne (ENNA) et pour les diverses institutions intervenant dans le domaine de l'aéronautique d'une manière générale.


              Dans le cadre de ces formations, le département d'aéronautique de Blida a fait homologuer ses programmes de formations de contrôleurs aériens (TNAE : Technicien de la Navigation Aérienne et Exploitation) ainsi que ceux de la formation d'Agent Technique d'Exploitation (ATE) , par la Direction de l'Aviation Civile et de la Météorologie (DACM) du Ministère du transport.


              Les stagiaires ayant réussi à ces formations qualifiantes sont immédiatement opérationnels auprès de leurs compagnies respectives à l'issue de la formation.

              http://www.ency-education.com/aeronautics.html


              ../..
              Dernière modification par l'imprevisible, 07 juillet 2013, 08h32.
              “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

              Commentaire


              • #8
                Une petite suite

                Sinon voici un article qui parle de l'école qui est basée à Batna



                Ecole d'aviation de Batna : Icare au pays des Aurès

                El Watan : 03 - 08 - 2010

                Sur les allées Ben Boulaïd, au cœur de la capitale des Aurès, est née une école d'aviation, une expérience inédite en Algérie. C'est la seule en tout cas à avoir investi ce créneau, au moment où l'esprit d'entreprenariat demeure frileux en Algérie, les promoteurs refusant de s'engager en dehors des sentiers battus et des filons faciles.

                « Qui ne vole au sommet tombe au plus bas degré », disait Nicolas Boileau dans ses Satires qui ont dû inspirer Abdelmadjid Louaï, à la tête de l'école et pionnier de cette entreprise familiale qui fait le bonheur de ses acteurs, car il s'agit d'une aventure avant tout. Pour ceux qui ont vu Là-Haut, le film d'animation à succès sorti des studios Disney et primé par un Oscar, il est facile d'imaginer le personnage de Louaï. Refusant de prendre une retraite pourtant méritée, ce sexagénaire infatigable continue de parcourir les capitales occidentales à la recherche de bons contrats pour sa société. M. Louaï est à la tête d'Aurès Aviation depuis 10 ans. Un rêve d'enfance réalisé contre vents et marées, en dépit d'un terrain extrêmement difficile, sans visibilité aucune quant à un avenir économique viable.

                Créée en 2000, sous l'agrément portant le n°001 délivré par la Direction de l'aviation civile et de la météorologie (DACM), Aurès Aviation ne pouvait compter à ce moment-là que sur les moyens propres de la famille, l'expérience et par-dessus tout la passion de son fondateur. A l'âge de 20 ans, ce dernier fréquente déjà les aéroclubs de Cannes, où il décroche sa licence professionnelle de pilote d'avion. Cette expérience acquise en France lui permettra plus tard de former ses propres enfants, dont l'un est devenu instructeur et pilote de ligne, détenteur de l'ATPL (Air Transport Pilot Licence).

                La formation de pilote est la plus chère dans le monde, tous domaines confondus. L'Algérie, qui a pourtant fait de l'éducation et de la formation un canon stratégique dès l'indépendance, ne dispose pas de sa propre école et envoie son personnel naviguant se former dans des écoles étrangères, notamment en France, en Angleterre et, depuis quelques années, en Jordanie. Un investissement qui coûte énormément d'argent au Trésor algérien et bénéficie à des étrangers. C'est afin de pallier ce vide et investir un créneau vierge qu'Aurès Aviation a vu le jour. Une décennie après sa création, l'école s'est dotée d'un potentiel humain et matériel qui n'a rien à envier aux autres.


                Boycott à l'algérienne


                Se maintenir en vie avec toutes les difficultés rencontrées durant 10 ans est en soi un exploit. Pour résister, il a fallu partir sur des bases solides. Les fondations de la maison s'appuient en effet sur un encadrement de choix. Un personnel qualifié ayant plus de 20 ans d'expérience. « Des gens qui ont passé leur vie dans la famille aéronautique », affirme M. Louaï, qui nous présente Bounaâma Abdelmadjid, Mehdi Djamel et Mebrek Souhil, respectivement directeur technique, directeur de la formation, et directeur des études.

                Chacun d'eux cumule plus de 30 ans d'expérience et 22 000 heures de vol, poursuit-il, ce qui, chez les gens du métier, sont des références qui imposent le respect partout dans le monde. « Notre personnel est plus qualifié que celui de ces écoles (les écoles étrangères choisies par l'Etat pour former les Algériens, ndlr), je le dis en connaissance de cause. Ici, on a des instructeurs d'expérience, contrairement à l'étranger où tout le monde ne peut pas se le permettre », insiste M. Louaï. Cet atout, pourtant solide, n'a, semble-t-il, pas joué en faveur de l'investisseur.

                Les appareils acquis pour servir aux leçons de pilotage, les hangars loués auprès de la direction de l'aéroport Mustapha Ben Boulaïd de Batna et l'ensemble des moyens humains et matériels mobilisés pour offrir une formation conforme aux standards internationaux n'ont pas pu convaincre les tenants de la décision. Air Algérie, l'unique employeur de personnel naviguant, l'éphémère Khalifa Airways et l'Etat, propriétaire et tenant du monopole dans le domaine, ont continué à tourner le dos à l'offre nationale en favorisant des écoles étrangères, « alors que nous avons les mêmes moyens que les écoles étrangères comme Oxford en Angleterre ou les écoles française et arabes », commente encore M. Louaï.


                Que reproche-t-on à Aurès Aviation ? Mystère ! Car les raisons de ce boycottage qui ne dit pas son nom n'ont jamais été clairement exprimées. En 2006, l'école a assuré une présélection de 96 candidats pilotes pour le compte d'Air Algérie. Mais pour leur formation, la compagnie a préféré les envoyer ailleurs. Manque de confiance ? Ou alors y avait-il des enjeux qui poussaient la compagnie à donner son argent à d'autres ? Quelque temps après, Air Algérie a envoyé 135 pilotes sous d'autres cieux, notamment dans une école de Jordanie, pour « rafraîchissement », comme on dit dans le jargon des gens du métier (mise à niveau). Avec l'argent versé dans des comptes étrangers, une fortune, l'Etat aurait pu créer une école en Algérie. Grâce à cet argent, l'école jordanienne a acheté des avions. Beaucoup d'autres établissements bénéficiaires reconnaissent qu'ils existent grâce à l'argent de l'Algérie.


                Là-haut, l'aventure continue


                En l'espace d'une décennie, l'école peut s'enorgueillir d'avoir formé une centaine de pilotes privés et professionnels – dont six pour le corps de la Protection civile –, assuré la mise à niveau des pilotes de la DGSN ainsi que la remise à niveau et la revalidation de licence – 15 heures de vol, 10 heures de simulateur et 50 heures de théorie – de 135 pilotes repêchés par Air Algérie parmi les rescapés de Khalifa Airways.


                Des services qui ont valu des remerciements à l'école et qui font la fierté des instructeurs. « Aucune école au monde n'aurait pu réussir cela en 9 mois », souligne Mebrek Souhil, ajoutant : « On ne joue pas aux billes, ici, on a fait nos preuves. » Mais loin de dormir sur ses lauriers, l'école préfère avancer et se donner les moyens d'assurer de meilleures performances. Cet état d'esprit justifie des investissements encore plus lourds accomplis aujourd'hui pour agrandir l'école et la doter d'outils compétitifs. Environ 800 millions de dinars ont été mobilisés pour la construction d'une nouvelle école, dans la zone industrielle de Batna. Une infrastructure moderne offrant tous les moyens nécessaires pour l'accueil et la formation.


                C'est cette école qu'a visitée Amar Tou, ministre des Transports, en mars dernier. M. Tou a été impressionné par le simulateur de dernière génération (simule les avions à réaction et à hélices), flambant neuf, acquis par l'école, ce qui a sans doute motivé sa décision d'amener la DACM à orienter les formations vers Aurès Aviation en ne validant plus le personnel envoyé par les compagnies nationales à l'étranger. Une décision jugée révolutionnaire et stratégique, qui tombe à point nommé pour réduire les dépenses de l'Etat, du moment que celles-ci ne sont plus justifiées.

                Bien que réjoui par ce tournant, le staff de l'école prend le temps qu'il faut pour voir se traduire sur terrain cette décision. Sinon, l'école poursuit son effort de modernisation. Sa flotte devrait connaître un boom avec l'acquisition récente de 10 appareils et l'arrivée prochaine de 8 autres. Aurès Aviation prévoit aussi l'achat d'hélicoptères, dès réception de l'autorisation de la DACM. Sur les tablettes des stratèges de l'école, il est question aussi d'un projet de formation du personnel naviguant de cabine (PNC), la signature prochaine d'une convention avec l'université de Batna pour assurer la formation théorique des ingénieurs en maintenance aéronautique et l'élargissement de ses activités en offrant, à la carte, tout ce qui est formation en matière de navigation. Il est prévu aussi une ouverture sur le marché international.


                L'école attend incessamment l'autorisation de la DACM pour accueillir et former des élèves vietnamiens, tout en lorgnant du côté du marché de l'Afrique subsaharienne. Au moment de notre visite des locaux d'Aurès Aviation, les salles de cours étaient occupées par une soixantaine d'élèves candidats à une préselection (évaluation des aptitudes pour faire carrière) pour le compte de Tassili Airlines (TAL). Le vent en poupe, M. Louaï annonce que son école offre une formation gratuite à 10 Soudanais (pilotes et PNC). Une manière de remercier ce pays d'avoir soutenu l'équipe nationale et porté le drapeau algérien durant le match de qualification au Mondial face à l'Egypte. Il est clair que le patron d'Aurès Aviation est sur un nuage. Voir s'accomplir son rêve d'Icare et goûter aux fruits de la réussite lui donnent des ailes, à lui et à tout le staff de l'école. Autant de passion et de persévérance « exupérienne » devraient faire de l'émulation parmi tous les rêveurs algériens désirant s'accomplir et s'élever

                ../..
                “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

                Commentaire


                • #9
                  bonjour l'imprevisible

                  Question ton neveu a obtenu quel baccalauréat avec quelle mention ?
                  Marci pour ta contribution.

                  Mon neveu a eu 16 en math, et 19 en physique, 11,5 en sciences, français 17,5 et anglais 14.

                  Une moyenne générale de 15,58. Mention bien.

                  Bac Math.

                  Voilà l'essentiel de ses notes.
                  Dernière modification par nacera90, 07 juillet 2013, 08h41.

                  Commentaire


                  • #10
                    Nacera

                    De manière très concrète, la formation en aéronautique dispensée à Blida n'assure pas la formation des pilotes de ligne, mais les étudiants désireux de poursuivre dans cette spécialité, sont réorientés vers des partenaires étrangers entre autres l'Ecole nationale d'aéronautique de Toulouse et/ou celle d'Oxford*, partenaires habituels du secteur aéronautique algérien.


                    L'Ecole de Tafraoui quant a elle est une école MILITAIRE, elle forme des sous-officiers et officiers de l'aviation militaire, pilotes de chasse et autres métiers rattachés à ce secteur.


                    * Oxford : Actuellement ce sont les stages de perfectionnement qui sont assurés la-bas.


                    Le secteur de l'aéronautique compte plusieurs métiers, pilote de ligne n'est que l'un d'entre eux.


                    ../..
                    “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

                    Commentaire


                    • #11
                      l'impré

                      Merci, beaucoup pour toutes ces informations. C'est trés instructif.

                      Il ne lui reste que de les contacter pour en savoir plus.
                      Dernière modification par nacera90, 07 juillet 2013, 18h03.

                      Commentaire


                      • #12
                        avant il y avait les aeroclub qui donne la base ensuite une fois la license obtenue, les gens peuvent enter dans écoles surtout privé..
                        l'aeroclub de tougourt reste le seul je crois a offrir ce genre de stage et licence..

                        mais attention beaucoup font des illusions..le metier de pilote est le plus catastrophique..il attire avec sa tenue blanche mais une fois dans les airs y'a rien a voir...ils passent leurs temps vrooom ils décolent ..vrooom il atterissent, vrooom ils décolent ..vrooom il atterissent,. iaginer le faire sur 40 ans... meme chose pour le personel navigant..le stress, la peur, les disputes..et pire encore c'est mal payé..

                        Commentaire


                        • #13
                          @nacera

                          Je côtoie pas mal de pilotes aux parcours différents.

                          Je pense que la meilleure option en ce moment en Algérie est de se présenter au concours de l'école des officiers de l'armée de l'air. C'est l'un des rares concours en Algérie où le piston n'a pas le droit de citer, une bonne condition physique (vision, cardio) est indispensable. Je connais beaucoup de gens qui ont été recalés à ce stade. Souffle cardiaque, légère myopie, malformations du crystallin, ils ne laissent rien passer. S'il arrive à y entrer c'est la voie royale.

                          Autrement, il peut débuter une formation d'ingénieur (Polytech, ESI) en attendant qu'Air Algérie veuille bien recruter des cadets. Mais là il faut être à l'affut et un peu (voir beaucoup) pistonné. Le concours est annoncé dans un secret total et la plupart des recrutés sont enfants du personnel d'Air Algérie ou de hauts fonctionnaires d'état.

                          L'autre possibilité qui s'offre à lui, c'est Aurès Aviation, où il financera lui même sa formation qui est très chère. (Aux alentours de 700 millions de centimes), avec aucune assurance de décrocher un emploi dans la foulée, parce que ce n'est que la formation de base (CPL/IR/ME: Commercial Pilot License, Instrument Rating, Multi Engine). Pour accéder à un cockpit il faut ce qu'on appelle la MCC (Multi Crew Cooperation) et le must (donc le plus cher) une TR (Type Rating) sur un type d'avion donné (A320, B737).

                          En Algérie il y actuellement beaucoup de pilotes sans emploi, j'en connais même qui ont 3000 heures de vol et qui sont au chômage. Il faut savoir que c'est un monde qui attire beaucoup de jeunes rêveurs malheureusement la réalité du marché aérien est cruelle. Beaucoup de pilotes investissent des sommes faramineuses (30 ou 40 000€) pour piloter des avions de ligne et engranger de l'expérience. En bref c'est la porte ouverte à tous les abus.

                          Bon courage.
                          Jeûner c'est bien. Manger c'est mieux.

                          Commentaire


                          • #14
                            Bonjour Massnsen

                            Merci beaucoup pour ta precieuse contribution.

                            Effectivement, la formation est trés chère, et je ne pense pas qu'il puisse la financer.
                            Autrement, je pense que même sans le volet financier, d'après ce que tu as écris, il ne pourra pas s'y présenter: il porte des lunetteset il avait un souffle qd il était petit.

                            Mais heureusement pour lui, il peut se présenter à toutes les formations. Il a commencé par Rouiba et s'est inscrit à plein d'autres concours.

                            Commentaire


                            • #15
                              il porte des lunettes et il avait un souffle qd il était petit.
                              Si le souffle est fonctionnel et pas organique il peut bénéficier d'une dérogation. Par contre si sa vision n'est pas 10/10 et bien axée c'est un No Go catégorique dans la sélection de pilotes.
                              Jeûner c'est bien. Manger c'est mieux.

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X