Résumons: le 15 janvier, le Maroc a rompu ses relations diplomatiques avec le Vénezuela au motif que “la république bolivarienne n’a pas cessé d’afficher ouvertement [son] hostilité au Maroc, joignant la parole aux actes, au plus haut niveau de l’Etat, portant ainsi un grave préjudice aux relations de bonne entente entre les deux pays“, “en réaction à l’hostilité ouvertement affichée par ce pays à l’égard de l’intégrité territoriale du Maroc, compromettant tout effort de développement de la coopération bilatérale“.
Des nihilistes, diffusant complaisamment la désinformation issue de complots ourdis à Algerl’étranger, ont avancé que cette décision n’était pas sans lien avec l’expulsion de l’ambassadeur israëlien du Vénezuela intervenue quelques jours auparavant, se basant sur les arguments farfelus que le Vénézuela reconnaît le Polisario depuis 27 ans, qu’Abdelaziz el Marrakchi s’est rendu en visite officielle au Vénezuela en 2004 et qu’un “ambassadeur” du Polisario a présenté ses “lettres de créance” au ministre vénezuelien des affaires étrangères en 2008, soit longtemps avant le 15 janvier. Un site vénezuelien avançait pour sa part que la rupture des relations diplomatiques était dû à un déplacement de l’ambassadeur vénezuelien en Algérie dans la ville algérienne de Tindouf, où le gouvernement algérien accueille, arme et finance le Polisario.
Le 21 janvier, on lit ceci:
Mohammed VI plaide à nouveau pour l’ouverture des frontières avec l’Algérie
21 janvier 2009
Le Roi Mohammed VI a réitéré la demande d’ouverture des frontières entre le Maroc et l’Algérie dans un message adressé ce lundi au participants du sommet arabe aux Koweït sous le thème “la solidarité avec le peuple palestinien à Gaza“.
Le Roi a également exprimé ses regrets face aux “piétinements” de l’Union du Maghreb Arabe (UMA).
“En réitérant son attachement à l’ouverture des frontières entre deux peuples frères, le Maroc est loin d’en banaliser l’objectif et de le réduire à quelque avantage étriqué ou à un intérêt exclusif“, a souligné Mohammed VI.
Il a dit regretté “les piétinements que connaît l’Union du Maghreb, du fait d’entraves artificielles, y compris la persistance de la fermeture absurde, par une seule partie, des frontières entre deux pays voisins“.
Le 16 janvier dernier, un communiqué du cabinet royal indiquait que Mohammed VI avait décidé de n’assister personnellement ni au Sommet arabe extraordinaire proposé à Doha, ni au Sommet arabe économique au Koweït. Le Maroc est représenté au sommet par le Premier ministre, Abbas El Fassi.
Des nihilistes, diffusant complaisamment la désinformation issue de complots ourdis à Algerl’étranger, ont avancé que cette décision n’était pas sans lien avec l’expulsion de l’ambassadeur israëlien du Vénezuela intervenue quelques jours auparavant, se basant sur les arguments farfelus que le Vénézuela reconnaît le Polisario depuis 27 ans, qu’Abdelaziz el Marrakchi s’est rendu en visite officielle au Vénezuela en 2004 et qu’un “ambassadeur” du Polisario a présenté ses “lettres de créance” au ministre vénezuelien des affaires étrangères en 2008, soit longtemps avant le 15 janvier. Un site vénezuelien avançait pour sa part que la rupture des relations diplomatiques était dû à un déplacement de l’ambassadeur vénezuelien en Algérie dans la ville algérienne de Tindouf, où le gouvernement algérien accueille, arme et finance le Polisario.
Le 21 janvier, on lit ceci:
Mohammed VI plaide à nouveau pour l’ouverture des frontières avec l’Algérie
21 janvier 2009
Le Roi Mohammed VI a réitéré la demande d’ouverture des frontières entre le Maroc et l’Algérie dans un message adressé ce lundi au participants du sommet arabe aux Koweït sous le thème “la solidarité avec le peuple palestinien à Gaza“.
Le Roi a également exprimé ses regrets face aux “piétinements” de l’Union du Maghreb Arabe (UMA).
“En réitérant son attachement à l’ouverture des frontières entre deux peuples frères, le Maroc est loin d’en banaliser l’objectif et de le réduire à quelque avantage étriqué ou à un intérêt exclusif“, a souligné Mohammed VI.
Il a dit regretté “les piétinements que connaît l’Union du Maghreb, du fait d’entraves artificielles, y compris la persistance de la fermeture absurde, par une seule partie, des frontières entre deux pays voisins“.
Le 16 janvier dernier, un communiqué du cabinet royal indiquait que Mohammed VI avait décidé de n’assister personnellement ni au Sommet arabe extraordinaire proposé à Doha, ni au Sommet arabe économique au Koweït. Le Maroc est représenté au sommet par le Premier ministre, Abbas El Fassi.
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