Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Le roi Hassan II du Maroc

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #16
    Geass
    sois plus clair et un peu de courage stp
    On l'a aidé à se suicider
    C est qui on ?



    Les traitres ne méritent pas mieux
    Le général Oufkir est un traitres ? comment ?

    Commentaire


    • #17
      Je n'ai pas dit le contraire...
      Mais ton compatriote traite les Algériens de menteurs en citant le mensonge d'un Marocain
      Ok Bachi je te l' accorde c'est une erreur de ma part ,mais le but de ton compatriote qui a posté un article dont les faits sont impossible à vérifier écrit par un ancien petit officier putschiste ignoré par tous et qui se cherche une virginité , le but de cet article c'est le dénigrement gratuit

      Commentaire


      • #18
        Je ne t'en voulais pas de traiter de menteur qui tu veux en particulier mais pas les Algériens dont je suis...
        Je comprends qu'on vous énerve et que vous répliquez sous le coup de la colère mais y a des limites.
        ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

        Commentaire


        • #19
          Je ne t'en voulais pas de traiter de menteur qui tu veux en particulier mais pas les Algériens dont je suis...
          Je comprends qu'on vous énerve et que vous répliquez sous le coup de la colère mais y a des limites.
          j'apprécie toujours ta sagesse..mais c'est vrai quand je dis les algériens, je ne vise en aucun cas tous les algériens mais en ligne de mire, j'ai le FAiste qui délire. c'est un abus de langage

          Commentaire


          • #20
            En généralisant, tu me fais penser aux femmes marocaines si aisées à séduire!

            Commentaire


            • #21
              En généralisant, tu me fais penser aux femmes marocaines si aisées à séduire!
              Ce n'est pas gentil pour les femmes algériennes. Mais tu te trompes les femmes algériennes ont également ce don dieu merci.
              Je fais plein de fautes d'ortoghraphes : soyez indulgeants

              Commentaire


              • #22
                "Chasseur impétinent", je me contente des "proies" les plus faciles. Ce qui n'est, certes, pas à mon honneur mais qui est parfait?

                Commentaire


                • #23
                  En généralisant, tu me fais penser aux femmes marocaines si aisées à séduire!
                  ca se soigne! j'en ai vu des frustres sur FA, je crois qu'on a un gagnant!

                  Faus un tour a Alger centre mon ami et assouvis tes besoins avec quelques dinars, du cote de BLaise Pascal ou St Georges apparement.. Il y a aussi des travestis apparment, c'et selon tes gouts. Ca nous evitera que tu "rechutes" a la 3eme page de chaque sujet en nous parlant de sexe.

                  http://www.youtube.com/watch?v=yFXljsp6GUE
                  Dernière modification par ayoub7, 02 mai 2009, 22h41.

                  Commentaire


                  • #24
                    Tu parles si je vais me rendre à Alger et faire attraper une crise cardiaque à ma mère qui craint que je me fasse égorgé par les islamistes.

                    Il faut savoir rester humble et lorsque dans une région, les "denrées" abondent éviter dans la mesure du possible des déplacements futiles par respect écologique.

                    Commentaire


                    • #25
                      Ya si ayoub,

                      N'essayes pas de melanger les cartes avec tes petites histoires de bistros.
                      La petite prostitution de proximité existe bel et bien en Algerie a l'instar de tout les pays du monde.
                      Mais elle n'est pas aussi endemique que chez toi.
                      Au maroc,c'est un phenomene de societe,un mode de vie,un segment economique que le gouvernement entretient sciemment pour boucler ses fins de mois.
                      L'Algerie n'exporte pas des dizaines de milliers de peripateticiennes a l'etranger,comme certains(meme en israel et en afrique noire ya 3ajaba!)
                      L'Algerie ne pourvoie pas aux besoins charnels de millions de casanovas frustrés deguisés en touristes pour la circonstance.
                      En Algerie il n'y a pas de regions entieres devolues a la seul vocation de la luxure et les plaisirs physiologiques(moyen atlas,azrou....).
                      Des videos(et des articles aussi,tout a fait credibles)qui en attestent,foisonnent.
                      Queques prostituees ca et la,ne sauraient etre comparer a......une tradition seculaire!
                      Dernière modification par Aksel777, 02 mai 2009, 23h04.

                      Commentaire


                      • #26
                        Ne dévions pas du sujet par respect de son initiateur.

                        Hassan II était-il vraiment l'assassin si décrié par l'intelligenstia chérifienne ou à l'instar de Boumediène (qui n'a rien à envier au monarque marocain), Tito, Moa, Bourguiba, Franco, les généraux sud-amàricains et Nixon; etc, etc; ou bien une pudeur morale renvoi à le juger à la même que les despotes susnommées?

                        Car, toute considération faite, Hassan II avait réussi une meilleur gouvernance que son fils (dont il y a lieu de lui laisser le temps de se bonifier) mais qui n'aura-sans doute jamais - l'aura du père paternaliste (surtout une baraka incroyable) de réconforter tout un peupe. Déficit algérien après le décès du taciturne colonel Boumediène.

                        Commentaire


                        • #27
                          Ne dévions pas du sujet par respect de son initiateur.
                          mwahaha, quand je te disais que tu etais trop previsible. Si tu ne veux pas qu'on devie du sujet, restes sur le sujet. Quand tu devies et tu parles de prostitution et puis qu'apres on te presente des elements FACTUELS, tu te derobes, ca fait pas tres joli joli cote credibilite. Alors oui, restons sur le sujet comme tu dis... C'est bien que tu aies compris la lecon, esperons que c'est la premiere et la derniere fois

                          Commentaire


                          • #28
                            Imprévisible veux-tu dire l'ami?

                            Commentaire


                            • #29
                              Imprévisible veux-tu dire l'ami?
                              non non je veux dire previsible...

                              retour au sujet donc:


                              Car, toute considération faite, Hassan II avait réussi une meilleur gouvernance que son fils (dont il y a lieu de lui laisser le temps de se bonifier) mais qui n'aura-sans doute jamais - l'aura du père paternaliste (surtout une baraka incroyable) de réconforter tout un peupe. Déficit algérien après le décès du taciturne colonel Boumediène.
                              Nope, que nenni mon ami, tres loin de la, HII a tout reussi sauf une meilleure gouvernance que son fils... Il avait l'aura oui, super cultive oui, unificateur oui, etc... mais cote gestion, ca n'a absolument rien a voir, M6 est bcp plus performant, regardons juste les chiffres du tourisme

                              cote democratie, c'est le jour et la nuit aussi.. M6 est bcp plus volontariste et ca fait longtemps que Tazmamart a ete rase et qu'il n'y a plus de prisonnier politique au Maroc. Tu prends n'importe quel numero de Telquel auj. par exemple, ca aurait valu la prison directe au journaliste sous H2.

                              Je ne dis pas que H2 est meilleur que M6 ou que M6 est meilleur que H2, je dis que chacun a eu des priorites et des environnements differents. Et que chacun a des differenes de style, l'un extravagant, ayant besoin de communiquer a outrance, egocentrique avec des pics de genie et des pics de dictateur (c'est tout le paradoxe H2), et l'autre avecun style a l'oppose, travailleur dans l'ombre, adepte de chiffres et de resultats et bcp plus legaliste que son pere.

                              Entre les 2, et personnellement, c'est haut la main la gouvernance sous M6 que je prefere.. ne serait-ce que parce qu'il privilegie et qu'il place les competences la ou il faut et qu'il n'a pas peur de secouer la fourmiliere quand il le faut... on l'a vu avec la moudawana, l'IER, l'offre d'autonomie, etc..

                              Commentaire


                              • #30
                                Désolé une fois encore pour cet article trop long.
                                _______________________________________

                                Gouvernance : Les indices chocs de la Banque mondiale: Hassan II mieux que Mohammed VI ?

                                Les indicateurs de la gouvernance publiqués par la Banque mondiale en septembre 2006 montrent que le Maroc avait mieux évoluer durant les dernières année du règne de Hassan II que durant le règne de Mohammed VI. Ces résultats viennent contredire les arguments du marketing officiel et confirmer l’impression d’une gouvernance qui s’est dégradé. Il en résulte un Maroc à deux vitesses où les inégalités semblent se creuser.

                                Ce n’est pas l’Association marocaine des droits de l’Homme qui le dit. Ce ne sont pas non plus ces “nihilistes” de la presse indépendantes ni une quelconque lettre ouverte de Abdeslam Yassine qui le disent. Ce sont les fameux indicateurs de la gouvernance de la Banque mondiale qui le soulignent cruellement. Le Maroc avait une meilleure gouvernance lors des dernières années de la décennie 90 que lors des cinq premières années des années 2000. Dit autrement, ces chiffres confirment ce que nombre de hauts fonctionnaires, souvent toujours proches du roi, pensent, et même disent en off. «Il y avait une dynamique lors des années 90 à laquelle on ne rend pas justice», avance diplomatiquement ce pilier du régime qui est pourtant resté auprès de Mohammed VI. Enterrés dans la littérature consacrée à ces indicateurs par la Banque mondiale, on trouve bien des passages qui expliquent qu’ils sont une compilation d’une multitude de sources, certes crédibles, mais qui ne reflètent pas nécessairement un jugement de sa part.

                                Le fait est que ces indicateurs ont été promus comme une avancée majeure dans l’évaluation de la qualité de gouvernance d’un pays. S’ils ne sont pas parfaits, ils ont pourtant été très bien accueillis par la communauté scientifique. Basés sur une batterie d’indices confectionnés par des institutions comme Transparency International, Freedom house et le World economic forum, ces indicateurs répondent à une demande urgente de la communauté internationale. Comment jauger les performances de gouvernance des Etats, et plus spécialement, ceux des pays en voie de développement ? La question est d’importance. Ces indicateurs permettent de mieux répartir l’aide. La Banque mondiale elle-même n’hésite pas à distribuer les bons points basés sur ces indicateurs. «Hong Kong montre un niveau de probité très élevé et nos indicateurs de gouvernance la placent très haut dans le classement», affirme le directeur du Global program à l’Institut de la Banque mondiale, Daniel Kaufmann.
                                Preuve s’il en est que le leadership de la Banque mondiale ne pense pas que ces indicateurs soient triviaux. Là, les résultats sont embarrassants pour le nouveau règne.

                                Déjà le classement Transparency sur la corruption et celui du développement humain du PNUD ne sont guère flatteurs. Comment en est-on arrivés là ? D’abord, il faut revenir sur la décennie 90. Celle-ci avait commencé avec deux coups de tonnerre et un séisme. Les deux coups de tonnerre sont d’un côté la sortie du livre de Gilles Perrault, «Notre Ami Le Roi», et surtout le refus en 1992 du Parlement européen de valider l’aide destinée au Maroc pour raison de violations des droits de l’Homme. Le séisme, c’est bien évidemment la chute du mur de Berlin et la fin officielle de la guerre froide.

                                Les deux premiers événements avaient mis à nu les travers du régime de Hassan II au moment où le troisième lui enlevait sa “protection”. Hassan II ne pouvait plus se prévaloir de son combat contre les rouges pour faire oublier son mode de gouvernance. Sur le plan économique, le point d’inflexion a sans doute été la crise financière de 1983 qui allait obliger le Maroc à faire de la place à une véritable classe des affaires Une libéralisation qu’il fera évidemment tout pour maîtriser : multiplication des réformes, loi bancaire, loi sur les marchés financiers, loi comptable en sont des exemples. Les dérapages, et même pire, ne manqueront pas. La campagne d’assainissement, bien sûr, et puis aussi des deals pas toujours très clairs comme l’a montré l’affaire Lydec. Paradoxalement, ces affaires vont permettre au patronat de s’affirmer. C’est dans son combat dans l’affaire Lydec, et surtout contre l’administration Basri que la communauté des affaires gagnera ses galons d’interlocuteur crédible. Hassan II permettra ce nouveau statut.

                                L’affairisme inhérent à un régime autoritaire était bien sûr prévalent, mais déjà, comme le montre l’évolution de l’affaire du CIH, Hassan II en prend la mesure et tente de régler les choses dans le calme. C’est exactement le mandat qui sera donné à Abdelouahed Souheïl en février 1998. Mais c’est quelques semaines avant son décès que Hassan II verra aboutir l’opération économique qui reste jusqu’à aujourd’hui le plus bel exemple de bonne gouvernance en matière de concession : la deuxième licence GSM. Celle-ci rapportera plus d’un milliard de dollars à l’Etat et deviendra un cas d’école dans la littérature de la Banque mondiale. Ce ne sont là que des exemples épars pour illustrer la dynamique positive en matière économique. Sur le plan politique, la libération des prisonniers politiques en 1994, le débat sur la constitution, et enfin l’alternance

                                Si le règne de Mohammed VI a débuté sous de bons auspices, les mauvais augures n’ont pas tardé. Ce fut d’abord la presse. Si celle-ci a osé un peu plus, elle a en contrepartie beaucoup souffert sous le nouveau règne comparativement aux dernières années de Hassan II. Sur le plan politique, les commissions royales ont tôt fait de pulluler, rognant les prérogatives d’un gouvernement qu’on a arraché des mains de l’USFP pour le mettre aux mains d’un Premier ministre technocrate. Les élections furent gérées à l’iranienne.

                                Le façonnage des résultats s’est fait a priori en décidant, dans le cas des islamistes du Parti de la Justice et du Développement (PJD), qui devait se présenter et où, surtout pour les élections communales de 2003. Les attentats du 11 septembre 2001 et ensuite ceux du 16 mai 2003 vont voir l’Etat recourir à une violation des droits massives avec la multiplication de cas de tortures d’enlèvements, et même de mort sous la torture. Tout cela avec une répression parfois larvée mais toujours soutenue de la presse indépendante.

                                Enfin, il y eut le cannibalisme économique de la monarchie. Les hommes d’affaires qui gèrent les affaires du roi n’ont plus de scrupules. C’est dans un joyeux mélange des genres que s’opèrent fusions et acquisitions. Avec comme dernière évolution la mise au pas du patronat. Pluviométrie et pétrodollars donnent toutefois l’impression d’un boum économique finalement limité à une petite minorité de privilégiés. Le pacte faustien qui consiste à laisser se développer l’économie informelle est plus que jamais en cours.

                                C’est la seule façon pour que la crise sociale ne se transforme pas en crise politique, voire sécuritaire. Il ne faut pas s’étonner dans ces conditions que la corruption progresse et que le Maroc finisse par obtenir les résultats médiocres que lui assignent les indicateurs de la Banque mondiale aujourd’hui. Pourtant, des craquelures apparaissent. Les citoyens s’organisent pour contester la hausse des prix de produits de première nécessité. Le profil des kamikazes marocains est invariablement celui de jeunes exclus des bidonvilles ceinturant les grands centres urbains. Enfin, les sondages montrent que ce sont ceux qui font le plus figure d’opposition sérieuse qui sont les favoris des électeurs : le PJD. Mais si la gouvernance du pays n’est pas au point, la capacité grandissante de la société à s’organiser, la nature entreprenariale des Marocains dont atteste l’économie informelle, l’ingéniosité et le labeur qu’ils mettent à joindre les deux bouts et même plus, montrent que les ingrédients d’une évolution vers un Maroc prospère et stable existent. Dommage que des élites recroquevillées sur leurs privilèges et une monarchie qui se repaît de son autoritarisme ne le voient pas. Si les institutions actuelles ont été incapables de libérer les énergies positives que recèle ce pays, cela ne veut pas dire qu’elles n’existent pas.




                                Commentaire

                                Chargement...
                                X