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Les catastrophes naturelles continuent
La situation consécutive à l'entrée en éruption du volcan comorien Khartala, jeudi soir, pourrait être plus préoccupante qu'en avril dernier, en raison de villages concernés par les retombées de cendres expulsées par le volcan, selon une information parvenue mardi à Antananarivo.
Dans la nuit de jeudi à vendredi, Moroni était recouverte de cendres volcaniques blanchâtres après une nouvelle éruption du volcan Karthala qui domine l'île de la Grande-Comore, donnant à la capitale comorienne des allures de gigantesque cimenterie. Mais aucune victime n'avait été signalée par les autorités comoriennes, qui ont mis en place une cellule de crise à la gendarmerie. Aucune demande d'aide ou d'intervention n'a pour l'instant été exprimée par le gouvernement de l'Union des Comores.
Outre Moroni, capitale comorienne, 75 villages sont touchés dans le sud de la Grande-Comore principalement, soit 100 000 habitants au total, représentant un septième de la population totale.
Les organisations d'aide internationales présentes à Moroni vont devoir se concerter, comme en avril dernier, pour recenser les citernes touchées, entreprendre au plus vite leur pompage et leur curage avant de les remplir, car la saison des pluies n'a pas commencé et la sécheresse persiste.
L'absence de cours d'eau permanent et la fragilité des nappes phréatiques ne laissent pas une grosse marge de manoeuvre.
Ensuite, il faudra cette fois encore entreprendre un programme de couvertures des citernes, le plus souvent construites à ciel ouvert.
En avril dernier, le volcan était déjà entré en éruption, sans faire de victimes, mais contraignant environ 10 000 personnes à évacuer leur habitation. http://www.jeuneafrique.com/gabarits...25desvialatra0
La situation consécutive à l'entrée en éruption du volcan comorien Khartala, jeudi soir, pourrait être plus préoccupante qu'en avril dernier, en raison de villages concernés par les retombées de cendres expulsées par le volcan, selon une information parvenue mardi à Antananarivo.
Dans la nuit de jeudi à vendredi, Moroni était recouverte de cendres volcaniques blanchâtres après une nouvelle éruption du volcan Karthala qui domine l'île de la Grande-Comore, donnant à la capitale comorienne des allures de gigantesque cimenterie. Mais aucune victime n'avait été signalée par les autorités comoriennes, qui ont mis en place une cellule de crise à la gendarmerie. Aucune demande d'aide ou d'intervention n'a pour l'instant été exprimée par le gouvernement de l'Union des Comores.
Outre Moroni, capitale comorienne, 75 villages sont touchés dans le sud de la Grande-Comore principalement, soit 100 000 habitants au total, représentant un septième de la population totale.
Les organisations d'aide internationales présentes à Moroni vont devoir se concerter, comme en avril dernier, pour recenser les citernes touchées, entreprendre au plus vite leur pompage et leur curage avant de les remplir, car la saison des pluies n'a pas commencé et la sécheresse persiste.
L'absence de cours d'eau permanent et la fragilité des nappes phréatiques ne laissent pas une grosse marge de manoeuvre.
Ensuite, il faudra cette fois encore entreprendre un programme de couvertures des citernes, le plus souvent construites à ciel ouvert.
En avril dernier, le volcan était déjà entré en éruption, sans faire de victimes, mais contraignant environ 10 000 personnes à évacuer leur habitation. http://www.jeuneafrique.com/gabarits...25desvialatra0