Deux mégaprojets culturels à Rabat 
· Un musée des sciences de la Terre et un théâtre
· Ouverture au public en 2012
DEUX grands projets seront lancés par le ministère de la Culture. Ce sont des chantiers ordonnés par le Souverain pour élever Rabat au rang de capitale culturelle. Des projets dont héritent, d’ailleurs, Bensalem Himmich, fraîchement nommé à la tête du ministère de la Culture.
Le premier, un musée national d’archéologie et des sciences de la Terre sera, selon ses concepteurs, un des plus grands musées spécialisés dans ce domaine. Il sera construit sur le site de l’ex-résidence du maréchal Lyautey à Rabat-Hassan. Il sera fin prêt au plus tard en 2011-2012. «C’est l’histoire du Maroc et sa richesse qui sont valorisées», fait savoir Abdallah Saleh, directeur du patrimoine et coordinateur du projet. Cet espace est destiné à valoriser les sciences de la Terre représentées depuis 3 milliards d’années au Maroc. Trouvailles archéologiques et civilisations préhistoriques, les restes fossiles y seront exposés pour le plus grand profit des amateurs de la paléontologie. Ce musée renforcera aussi le réseau de 27 autres qui existent déjà dans les différentes villes du pays. Ainsi, un édifice de ce genre participera à faire connaître aux jeunes et moins jeunes le patrimoine scientifique du Royaume. En tout cas ses promoteurs promettent un espace «qui n’aura rien à envier au British Museum», le musée de l’histoire et de la culture humaine, situé à Londres. Le ministère de la Culture procèdera prochainement à la publication d’un avis de concours international d’architecture en vue de la réalisation de ce musée.
Rabat sera aussi doté d’ici 2011-2012 d’un nouveau théâtre national. Son emplacement est prévu sur la rive du Bouregreg. «Il sera plus grand que le théâtre national Mohamed V et d’importantes ressources financières lui seront consacrées», précise Hassan Nejmi, directeur du livre, des bibliothèques et des archives au ministère de la Culture. «Avec une architecture avant-gardiste, il pourra abriter entre 3.000 à 4.000 personnes», fait-il savoir.
F. Z. T.

· Un musée des sciences de la Terre et un théâtre
· Ouverture au public en 2012
DEUX grands projets seront lancés par le ministère de la Culture. Ce sont des chantiers ordonnés par le Souverain pour élever Rabat au rang de capitale culturelle. Des projets dont héritent, d’ailleurs, Bensalem Himmich, fraîchement nommé à la tête du ministère de la Culture.
Le premier, un musée national d’archéologie et des sciences de la Terre sera, selon ses concepteurs, un des plus grands musées spécialisés dans ce domaine. Il sera construit sur le site de l’ex-résidence du maréchal Lyautey à Rabat-Hassan. Il sera fin prêt au plus tard en 2011-2012. «C’est l’histoire du Maroc et sa richesse qui sont valorisées», fait savoir Abdallah Saleh, directeur du patrimoine et coordinateur du projet. Cet espace est destiné à valoriser les sciences de la Terre représentées depuis 3 milliards d’années au Maroc. Trouvailles archéologiques et civilisations préhistoriques, les restes fossiles y seront exposés pour le plus grand profit des amateurs de la paléontologie. Ce musée renforcera aussi le réseau de 27 autres qui existent déjà dans les différentes villes du pays. Ainsi, un édifice de ce genre participera à faire connaître aux jeunes et moins jeunes le patrimoine scientifique du Royaume. En tout cas ses promoteurs promettent un espace «qui n’aura rien à envier au British Museum», le musée de l’histoire et de la culture humaine, situé à Londres. Le ministère de la Culture procèdera prochainement à la publication d’un avis de concours international d’architecture en vue de la réalisation de ce musée.
Rabat sera aussi doté d’ici 2011-2012 d’un nouveau théâtre national. Son emplacement est prévu sur la rive du Bouregreg. «Il sera plus grand que le théâtre national Mohamed V et d’importantes ressources financières lui seront consacrées», précise Hassan Nejmi, directeur du livre, des bibliothèques et des archives au ministère de la Culture. «Avec une architecture avant-gardiste, il pourra abriter entre 3.000 à 4.000 personnes», fait-il savoir.
F. Z. T.
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