des prisonniers politiques sahraouis
[Aps 19/8/09] BIR LAHLOU (territoires libérés) - Le président sahraoui, M. Mohamed Abdelaziz, a appelé le secrétaire général de l'Organisation des Nations unies (ONU), M. Ban Ki-Moon, à intervenir d'urgence pour la libération du citoyen sahraoui Ennaama Asfari, ainsi que tous les prisonniers politiques sahraouis dans les prisons marocaines, a rapporté mercredi l'Agence de presse sahraouie (SPS).
Le président Abdelaziz a interpellé, dans une lettre, M. Ban Ki-Moon, afin qu'il intervienne en urgence pour "la libération +immédiate et sans restrictions+ du citoyen sahraoui Ennaama Asfari, et tous les prisonniers politiques sahraouis qui croupissent dans les prisons marocaines", a indiqué la même source.
"Nous vous écrivons, une nouvelle fois, pour vous exprimer notre profonde indignation et notre inquiétude face à la persistance du gouvernement marocain dans les pratiques arbitraires contre les citoyens sahraouis dans les zones occupées du Sahara occidental, au sud du Maroc et dans les universités marocaines", a écrit le président sahraoui.
Le défenseur sahraoui des droits de l'homme, Ennaama Asfari, a été arrêté vendredi dernier à la ville de Tantan (sud du Maroc) par les forces de sécurité marocaine.
Il a été maltraité et placé en prison, en raison de ses opinions politiques en faveur du droit du peuple sahraoui à l'autodétermination, conformément à la légalité et au droit international, a précisé SPS.
Le président sahraoui a rappelé dans sa lettre que le Sahara occidental est "un territoire se trouvant sous la responsabilité de l'Organisation des Nations unies, en attente de décolonisation" et que, sur cette base, "l'Onu
ne peut pas rester immobile" face à des pratiques des autorités marocaines "contraires aux normes les plus élémentaires et au respect des droits de l'homme". A cet effet, il a averti que la politique menée par le gouvernement marocain envers les citoyens sahraouis dans les territoires occupés du Sahara occidental et du sud du Maroc, "ne concourt pas à la création d'un climat propice pour la reprise des négociations sous les auspices de l'envoyé personnel (du secrétaire général de l'Onu), M. Christopher Ross, pour la solution du conflit".
[Aps 19/8/09]
[Aps 19/8/09] BIR LAHLOU (territoires libérés) - Le président sahraoui, M. Mohamed Abdelaziz, a appelé le secrétaire général de l'Organisation des Nations unies (ONU), M. Ban Ki-Moon, à intervenir d'urgence pour la libération du citoyen sahraoui Ennaama Asfari, ainsi que tous les prisonniers politiques sahraouis dans les prisons marocaines, a rapporté mercredi l'Agence de presse sahraouie (SPS).
Le président Abdelaziz a interpellé, dans une lettre, M. Ban Ki-Moon, afin qu'il intervienne en urgence pour "la libération +immédiate et sans restrictions+ du citoyen sahraoui Ennaama Asfari, et tous les prisonniers politiques sahraouis qui croupissent dans les prisons marocaines", a indiqué la même source.
"Nous vous écrivons, une nouvelle fois, pour vous exprimer notre profonde indignation et notre inquiétude face à la persistance du gouvernement marocain dans les pratiques arbitraires contre les citoyens sahraouis dans les zones occupées du Sahara occidental, au sud du Maroc et dans les universités marocaines", a écrit le président sahraoui.
Le défenseur sahraoui des droits de l'homme, Ennaama Asfari, a été arrêté vendredi dernier à la ville de Tantan (sud du Maroc) par les forces de sécurité marocaine.
Il a été maltraité et placé en prison, en raison de ses opinions politiques en faveur du droit du peuple sahraoui à l'autodétermination, conformément à la légalité et au droit international, a précisé SPS.
Le président sahraoui a rappelé dans sa lettre que le Sahara occidental est "un territoire se trouvant sous la responsabilité de l'Organisation des Nations unies, en attente de décolonisation" et que, sur cette base, "l'Onu
ne peut pas rester immobile" face à des pratiques des autorités marocaines "contraires aux normes les plus élémentaires et au respect des droits de l'homme". A cet effet, il a averti que la politique menée par le gouvernement marocain envers les citoyens sahraouis dans les territoires occupés du Sahara occidental et du sud du Maroc, "ne concourt pas à la création d'un climat propice pour la reprise des négociations sous les auspices de l'envoyé personnel (du secrétaire général de l'Onu), M. Christopher Ross, pour la solution du conflit".
[Aps 19/8/09]
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