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La violence au Maroc

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  • La violence au Maroc

    Les Marocains ont-ils les nerfs à vif? La violence partout


    de Mohamed Bakrim :


    C'est presque un film du genre interdit au moins de 16 ans qui nous est servi quotidiennement. Le sang est partout: viol, crime, accident, meurtre, torture…la violence est omniprésente. Et les médias s'en donnent à cœur joie. Les JT new-look de 2M trouvent un contenu pour le credo annoncé comme ligne éditoriale pour leurs informations dites de proximité sociale et la proximité, désormais, c'est la violence. Un car se renverse, deux voitures se télescopent, une bonne est torturée à Oujda, une autre tue des jumeaux à Inezgane…A la Une de nos quotidiens, le Maroc donne l'impression d'être à feu et à sang. Certains n'hésitent pas à verser dans une lecture sociologique sauvage et font le lien entre l'exacerbation de la violence et les effets conjugués de la canicule et du jeûne. Les Marocains ont-ils les nerfs à vif en cette saison exceptionnelle qui connaît aussi la convergence d'autres facteurs excitants : la hausse des prix, la multiplication des sollicitations familiales et sociales…? Bref, il y a de quoi craquer. Heureusement que nous ne sommes pas au Texas ou dans un autre Etat libéralisant la vente des armes.
    Oui, un tel contexte réhabilite la sociologie et invite à la réflexion: sommes-nous en train de traverser une étape spécifique de l'évolution de notre société? Sommes-nous en train de payer la facture de la fracture sociale? La violence est-elle inhérente à des époques données à des contextes particuliers? Y a-t-il des précédents dans le temps et dans l'espace qui peuvent éclairer notre lanterne. Dans le temps, c'est-à-dire notre histoire est-elle traversée de ces phases violentes marquantes? Les historiens le confirmeront: notre histoire est en effet une histoire de peur et de sang; les séquelles sont lisibles aujourd'hui dans des signes variés…Les chants populaires sont le creuset de ces récits…Mais il faut interroger l'espace c'est-à-dire la carte du monde pour lire notre devenir dans le miroir de l'évolution des autres sociétés à partir du critère de la présence de la violence…et là on apprend des choses intéressantes. On apprend aussi à relativiser les choses. L'histoire est toujours une formidable leçon d'humilité…Aussi bien notre propre histoire que celle des autres. Ce qui arrive aujourd'hui peut paraître alors d'une grande banalité si ce n'est sa dimension tragique pour ceux qui en sont victimes. La violence est une constante de l'évolution des sociétés humaines ; une composante de l'évolution des individus. Son analyse relève de la sociologie, de la psychologie, de l'anthropolgie…on se rend compte alors de la relativité du sentiment d'insécurité générale, des descriptions apocalyptiques qui sont faites à partir du catalogue des faits rapportés par les médias.
    Il s'agit alors de tenter de comprendre le phénomène de la violence. On pourrait citer ici à titre d'exemple quelques observations d'ordre général en nous référant à certains travaux notamment le livre qui me semble essentiel “Essais sur la violence” de Michel Maffesoli. La première observation concerne la constance du phénomène et sa généralisation à tous les espaces: "Il est en effet nécessaire de constater dès l'abord que les carnages, les massacres, les génocides, le bruit et la fureur, en bref la violence sous ses diverses modulations est le lot commun de quelqu'ensemble civilisationnel que ce soit". C'est très important à rappeler quand on sait la mise en scène des médias dominants quant à la distribution géographique de la violence. Ce rappel établit une sorte de justice et de sérénité dans l'approche des phénomènes de société. Une invitation à adopter "la neutralité axiologique" chère à Max Weber. L'évocation de ce grand nom de la sociologie permet de prolonger la réflexion vers d'autres constantes comme le fait que l'affrontement, la lutte pour la vie sont des composantes du donné social. Pour Max Weber, il s'agissait de comprendre la violence, non comme un fait anachronique, une survivance des périodes barbares ou pré-civilisées, mais bien comme la manifestation majeure de l'antagonisme existant entre volonté et nécessité.
    Structure constante du phénomène humain, la violence met en avant un autre paradoxe, celui de son fonctionnement utile dans la vie sociétale; "Elle peut être la facture contemporaine de ce que l'on peut appeler le désordre fécond" (voir Michel Maffesoli).
    On peut alors tirer une première conclusion: cette violence qui inonde le champ social y compris dans sa forme médiatisée, il ne s'agit pas de la nier, de la condamner, il s'agit plutôt de savoir de quelle manière l'on peut négocier avec elle. Il n'y a pas en effet de société sans un certain degré d'antagonisme, de violence, cette part d'ombre qui toujours taraude le corps individuel ou le corps social. Spinoza remarquait qu'”un pays où la paix est un effet de l'inertie des sujets mérite le nom de solitude plutôt que celui de cité”.
    Faut-il conclure aussi par une autre forme de violence, la violence symbolique qui caractérise les rapports sociaux notamment les rapports sociaux médiatiques. Il y a en effet une forme de violence distillée par les médias et subie par les récepteurs…souvent avec leur consentement, d'où son caractère encore plus violent.

    Libération

  • #2
    C'est à cause de la frontière EST fermée
    .
    .
    ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
    Napoléon III

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    • #3
      C'est à cause de la frontière EST fermée
      Ca c'est sûr! ajoute aussi la junte, les generaux algeriens, le poliz..., Tindouf tout cela a aussi des effets sur la violence au Maroc.

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      • #4
        c'est les algériens et 18 ans de terrorisme qui veulent nous donner des leçons!!!!!!!!!!
        إِن تَنصُرُوا الله ينصُركُم الله، الوطن، الملك

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        • #5
          On va buter tout le monde ouai
          La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

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          • #6
            Ca c'est sûr! a
            hahahahahahaahaha encore un qui croi que l'algérie est partout au Maroc
            la majorité des marocains à l'ouest de Taza croient que les frontières ne sont pas fermées car ces frontières ne les intéressent guerre.
            un copain à moi réservant à Saadia avait l'intention de traverser les frontières maroco-algériens

            il croyait pas ses oreilles lorsque je lui ai dit que les frontières sont fermées
            il a répondu, mais il n'y a pas devisa entre l'algérie et le Maroc,

            si tu crois que les gens ne s'intéressent qu'à l'algérie tu faits fausse route
            mais tant pis continue à croire ça t'occupera

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            • #7
              Les Marocains ont-ils les nerfs à vif? La violence partout
              pour ceux qui s'amusent à poster des articles pour nous donner des leçons
              voilà sans parle du terrorisme au quotidien voilà la jeunesse algérienne docile et tolérante
              La délinquance juvénile en Algérie une étude réalisée par la Gendarmerie Nationale sur la base de statistiques de l’ONS (l’Office national des statistiques) a démontré une nette croissance de ce problème inquiétant auquel est confronté l’Algérie.


              mercredi 1er septembre 2004. Une augmentation alarmante a été enregistrée sur le nombre des crimes commis par les mineurs des deux sexes en l’an 2000, soit 9 208 affaires. Définir ce phénomène est une tâche difficile et arbitraire vu la diversité de ses délits et le degré de leur gravité. C’est l’ensemble des infractions commises par des enfants et des jeunes de moins de 18 ans
              « la délinquance juvénile doit être distinguée de la délinquance des adultes dans la mesure où le jeune délinquant est une personnalité en formation et en cours de socialisation alors que le délinquant adulte possède une personnalité déjà affirmée dans la société, donc moins susceptible de transformation ». A l’âge de l’adolescence, l’enfant traverse de l’enfance à l’adulte en passant par une période de vie très sensible où il est confronté à toutes les contradictions sociales du monde adulte qui représente un élément frustrant pour l’adolescent. « C’est la situation de l’individu marginal, placé à l’intersection de deux groupes dans une sorte d’un entre-deux groupal conséquence de l’organisation des sociétés », selon K. Lewin.
              Toutefois, dans les anciennes civilisations, l’enfant délinquant fut l’objet de sévères sanctions et de brutalités et même des sentences d’exécution en fonction de l’infraction commise sans prendre en considération l’âge et l’état de santé. Considéré comme un hors-la-loi ou un criminel, le coupable constitue un danger qu’il faut éliminer. Ces lois ont connu progressivement des changements qui ont permis aux jeunes délinquants d’être mieux traités et considérés comme des personnes malades qu’il faut prendre en charge et non des criminels. Pour cela, les Etats européens ont créé des centres de rééducation et de cure pour les jeunes délinquants dans lesquels veillent les spécialistes du domaine de l’éducation à dispenser des programmes de rééducation servant de références applicables à l’échelle mondiale.
              La délinquance juvénile existe en Algérie depuis l’époque coloniale où le fléau a été considéré comme un « acte ayant une relation formelle avec les ennemis de la France ». Le code pénal français considérait tout jeune ayant une relation avec l’ALN comme coupable d’atteinte à la sécurité publique, un criminel, et même un terroriste qu’il faut mettre en prison ou éliminer. Notons que la rééducation des jeunes Algériens « délinquants » dans cette période était la mission des militaires en forme civile utilisant de différentes méthodes de torture. Par conséquent, l’Algérie a hérité d’une situation socioéconomique critique et plus de 300 000 adolescents sans contrôle parentale, livrés à eux-mêmes.
              Le pays s’est retrouvé confronté à un immense problème de délinquance juvénile qui a permis l’enregistrement des chiffres en augmentation triplée vu que le nombre des affaires traitées, selon l’ONS, a augmenté de 10 119 dans la période de 1963 -1968 à 44 109 affaires entre 1972 et 1977. Ces statistiques démontrent que les problèmes socioéconomiques tels le chômage, la pauvreté et la déperdition sont toujours la cause de la délinquance juvénile. Cette croissance est restée enregistrée dans les années quatre-vingts, soit à 65 385 affaires traitées dans la période de 1979 à 1986 malgré le développement sensible enregistré dans certains niveaux socioéconomiques au cour de ces années.
              La Gendarmerie nationale a procédé aux contrôle et suivi des comportements des personnes suspectes y compris les mineurs « victimes ou auteurs » de toute infraction. Des statistiques faites sur le nombre de mineurs arrêtés par la Gendarmerie nationale entre 1998 et 2003 ont compté plus de 17% soit à 33 551 mineurs auteurs et victimes par rapport au nombre globale des personnes arrêtées durant les six dernières années. L’étude a démontré clairement que le nombre de mineurs victimes est de 45%, soit à 15 160 est presque égal au nombre de mineurs auteurs, 55% soit à 18391. Par cette même observation, il a été constaté que le taux des mineurs victimes augmente de plus en plus, « ceci revient au manque d’éducation des parents, leur ascendance sur leurs enfants et la perdition scolaire. L’absence d’une politique de prévention ne fera qu’augmenter le chiffre et si aujourd’hui nous avons affaire à des mineurs inoffensifs, demain, la société sera confrontée à de véritables criminels ».
              En ce qui concerne la participation des mineurs à la commission des infractions, ayant une relation avec le crime organisé dans la contrebande et la commercialisation, détention et usage des stupéfiants de différentes catégories, le phénomène a connu une propagation alarmante. C’est un phénomène qui existe beaucoup plus dans les villes frontalières. Les mineurs sont souvent utilisés par les contrebandiers pour faire passer des marchandises « d’une manière illicite ». Selon la Gendarmerie nationale, ces mineurs sont recrutés pour éviter d’attirer l’attention des services de sécurité. D’après les statistiques, on constate que le nombre des mineurs auteurs est très important durant ces six dernières années : 135 mineurs en 1998, 438 en l’an 2000 à 132 en 2003. Des mineurs sans activités et autres scolarisés ont été arrêtés en possession des quantités de drogues, notamment le cannabis et les psychotropes dont 104 affaires ont été enregistrées durant l’année 2003.
              Certaines wilayas sont touchées plus que d’autres par la délinquance juvénile. Les mineurs entre victimes et auteurs sont plus mis en cause dans les wilayas d’Oran, Alger et Batna. A Oran, les statistiques ont enregistré 202 cas durant l’année 2002. Les causes de ces problèmes sont liées à la forte densité de la ville, le taux de chômage, l’échec scolaire ainsi que par la prolifération des affaires criminelles dont les mineurs sont impliqués dans le vol, les agressions et les mœurs. La capitale a enregistré à son tour 179 cas pour les mêmes facteurs et les mêmes infractions. La ville de Batna a connu à son tour 138 cas de criminalité en l’an 2002, et ce bien qu’elle préserve encore ses traditions et ses coutumes et malgré la faible densité de sa population par rapport aux deux autres wilayas. L’ONS a réparti le chiffre de mineurs impliqués dans la délinquance à travers les wilayas du pays durant l’année 2003 pour enregistrer que le problème a augmenté d’un tiers par rapport à l’année écoulée. Selon d’autres chiffres, on a constaté que le taux des mineurs de sexe masculins (97%) est dominant sur le sexe féminin (3%). Donc le fait criminel est bien répandu dans la catégorie masculine.
              D’après les statistiques de l’ONS, on a pu observer que les mineurs délinquants ont été victimes de plusieurs délits surtout en ce qui concerne « les atteintes à la pudeur » qui sont d’un taux de 26% se manifestant dans diverses infractions telles que le viol, l’inceste et l’incitation des mineurs à la débauche. Le deuxième chiffre enregistré est d’un taux de 24%. Il s’agit de CBV notamment de la violence parentale ainsi que les agressions. Le vol est l’activité illicite la plus réputée chez les jeunes délinquants, soit 44% du nombre global.
              Face au fléau de la délinquance juvénile, la justice a fait beaucoup de démarches et a consacré d’énormes efforts pour diminuer ou se débarrasser de ce fardeau. Le traitement judiciaire des mineurs délinquants obéit à des considérations sociales et psychologiques et justifie le droit spécifique applicable. Selon la Gendarmerie nationale, le problème nécessite des mesures préventives, des mesures répressives ainsi que des mesures de suivi. Les mesures préventives se concrétisent dans la relation « quantitative et qualificative » entre l’enseignement, les organisations de jeunesse, l’assistance à la jeunesse et l’administration de la justice pénale pour constituer un maillon préventif de la chaîne de sécurité.
              Les mesures répressives visent à inciter tous les départements à participer d’une manière active à la réflexion concernant « le droit de sanction en matière de délinquance juvénile ». D’autre part, des mesures de suivi sont indispensables. Il s’agit de « l’intégration sociale de personnes et de groupes de population en marge ou exclus de la société. C’est une condition supplémentaire à la réussite d’une politique de sécurité ». La victime ne doit pas avoir le sentiment d’être utilisée mais doit se sentir reconnue et accompagnée dans ce processus.
              D’après les chiffres donnés et les cas de délinquance juvénile étudiés par la Gendarmerie nationale, tout citoyen algérien doit prendre conscience de la gravité de ce problème socioéconomique qui hante nos maisons et menace notre avenir social. Les efforts consacrés à ce fardeau doivent se multiplier pour atteindre le but ainsi que la politique préventive doit être bien pensée et étudiée au moins pour limiter les dégâts.
              Document de la Gendarmerie nationale (Mai 2004)
              Radia Zerrouki, La Nouvelle République


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              • #8
                Les standard entre le aroc et la l'Algerie sont differents ici. La vraie violence, cell quotidienne en Algerie, entre massacres de terroristres, emeutes reguliere, violence criminelle, incivisme etc, pour les marcains c'est l'etat de guerre. LA violence que dennoncent les marocains, surtout ceux du dakhil comme on les appele a l'Est, c' est un jeu d'enfant pour les algriens.

                La violence en Algerie est un concpet historique meme.

                Commentaire


                • #9
                  Je me demande quel pays est instable ? quel pays victime du terrorisme depuis 1991 a nos jours ? de la repression des militaires ? connu pour ses crimes ....) ??

                  Je me le demande , aidez moi a le trouver

                  euhh ....

                  Commentaire


                  • #10
                    Ce genre de topic me fait toujours rigoler .

                    A croire que les Transit , Solas , Mendz , Jawzia (pour ne citer que les plus assidus ) sont masochistes où naïfs pour se prendre pour des "suisses" alors que leur pays connait la même m.erde qu'au Maroc et qu'il suffit simplement de googler pour leur en donner plein la vue.

                    Courir poster un article banal qui parle de faits divers au Maroc alors que l'Algerie a abrité les pires atrocités que l'humanité ait connu avec des bébés aux cranes fracassés contre les murs ,des femmes enceintes éventrées par d'autres algeriens relève de la psychanalyse.

                    Allah yester !!!!

                    Commentaire


                    • #11
                      hartman
                      Je me demande quel pays est instable ? quel pays victime du terrorisme depuis 1991 a nos jours ? de la repression des militaires ? connu pour ses crimes ....) ??

                      Je me le demande , aidez moi a le trouver
                      Eh là! Ne vous emportez pas! l'article comme la source nous l'indique est de "Liberation" un quotidien d'information indépendant français. C'est quoi cet acharnement contre l'Algérie?

                      Commentaire


                      • #12
                        Tu ne sais meme pas de quoi tu parles. C'est du journal marocain Liberation qu'il s'agit, voix du parti de l'USFp, Union Socialiste des Forces Populaire.

                        Voici le link:

                        www.libe.ma/Ramadanienne-de-Mohamed-Bakrim-Les-Marocains-ont-ils-les-nerfs-a-vif-La-violence-partout_a5003.html

                        Et transit le restransmet pour dennoncer le Maroc quant a la violence. Imagine un algerien qui fait ca

                        Bon la prochaine tache de refelchir avant de dire n'importe quoi.

                        Commentaire


                        • #13
                          Et transit le restransmet pour dennoncer le Maroc quant a la violence. Imagine un algerien qui fait ca

                          ..............................

                          Il faut le comprendre , le pauvre .

                          Tu imagines l'effort qu'il se donne quotidiennement pour trouver des articles anti marocains .

                          Et Allane qui croit avoir trouvé le scoop du siècle .

                          Bakrim un nom qui sonne bien français ? N'est ce pas Allane

                          Commentaire


                          • #14
                            Les Marocains ont-ils les nerfs à vif? La violence partout
                            sa explique pourquoi j'ai toujours cette étrange envi de tuer tout ce qui bouge :-p !!

                            Commentaire


                            • #15
                              On va buter tout le monde ouai
                              lol mdr
                              prennez une bassine d'eau froide

                              Commentaire

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