Il a assassiné la mère âgée de 80 ans puis violé et tué sa fille
Crime abominable commis par un colon marocain en territoires sahraouis occupés
Il a jeté une grosse pierre sur la tête de la mère de famille qui est morte sur le coup et s’est dirigé vers sa fille, la violant à son tour avant de l’égorger et la poignarder dans le dos.
Un crime abominable a été commis par un colon marocain, B.S., qui était employé chez la famille Hamma Menni comme pasteur, a rapporté l’agence de presse sahraouie (Sahara Press Service), citant une source du ministère des territoires occupés et de la communauté sahraouie à l’étranger. Ce colon a procédé samedi matin à l’assassinat de la mère de famille, Salma mint Abdallah (80 ans) et sa fille Demba Hamma, alors qu’elles dormaient, a rapporté une source du ministère des territoires occupés et de la communauté sahraouie à l’étranger, ajoute cette agence de presse. Il a jeté une grosse pierre sur la tête de la mère de famille qui est morte sur le coup et s’est dirigé vers sa fille, la violant à son tour avant de l’égorger et la poignarder dans le dos et s’échapper par la suite laissant derrière lui les victimes dans une situation déplorable, a regretté la même source citée par cette agence de presse.
Il a également profité de l’absence du fils de la famille qui s’est déplacé dans la localité de Toaulat, située à 60 kilomètres au nord-est de Dakarois, où se trouve sa famille, vers la même ville pour des besoins familiaux, selon la même source. Au moins neuf citoyens sahraouis avaient trouvé la mort dans des circonstances similaires, dont trois personnes âgées choquées par un militaire marocain à bord d’un camion qu’il conduisait dans les avenues de la ville de Dakhla occupée, en décembre 2005, rappelle cette agence de presse. Il s’agit de : Laamor Sidi Brahim, Taleb Oul Ali Menna et Mohamed Lehsan Sidi Brahim.
Depuis le déclenchement de l’Intifada en mai 2005, les militaires marocains au Sahara occidental et au sud du Maroc avaient également commis d’autres crimes après celui de Lembarki Hamdi mort sous la torture le 30 octobre 2005 et Likhlifi Abba Cheikh, assassiné par un militaire non loin de son domicile le 3 décembre de la même année, rappelle-t-on.
En juillet 2007, Dada Ali Ould Hamma Ould Nafaa, décédé dans une clinique à Agadir, soufrant d’une maladie chronique, ecrit cette agence de presse. En septembre 2007, le jeune sahraoui, Sidha Ould Abdelaziz Ould Lehbib, mort à bord d’une voiture qui le transportait vers un centre de psychiatrie à la ville d’Agadir (sud du Maroc), en raison de la «torture sauvage» qu’il a subie durant le trajet, de la part des forces de répression marocaines.
Les dernières victimes qui remontent à décembre 2008 sont deux étudiants sahraouis, Houssein Abdessadik Alkteyif et Khaya Baba Abdelaziz qui ont trouvé la mort après avoir été écrasés par un marocain à bord d’un bus, à la station routière d’Agadir, rappelle-t-on encore.
M.A.
Le Jour d'Algérie du 08/09/2009
== MODERATION==
Doublon : http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=139880
Crime abominable commis par un colon marocain en territoires sahraouis occupés
Il a jeté une grosse pierre sur la tête de la mère de famille qui est morte sur le coup et s’est dirigé vers sa fille, la violant à son tour avant de l’égorger et la poignarder dans le dos.
Un crime abominable a été commis par un colon marocain, B.S., qui était employé chez la famille Hamma Menni comme pasteur, a rapporté l’agence de presse sahraouie (Sahara Press Service), citant une source du ministère des territoires occupés et de la communauté sahraouie à l’étranger. Ce colon a procédé samedi matin à l’assassinat de la mère de famille, Salma mint Abdallah (80 ans) et sa fille Demba Hamma, alors qu’elles dormaient, a rapporté une source du ministère des territoires occupés et de la communauté sahraouie à l’étranger, ajoute cette agence de presse. Il a jeté une grosse pierre sur la tête de la mère de famille qui est morte sur le coup et s’est dirigé vers sa fille, la violant à son tour avant de l’égorger et la poignarder dans le dos et s’échapper par la suite laissant derrière lui les victimes dans une situation déplorable, a regretté la même source citée par cette agence de presse.
Il a également profité de l’absence du fils de la famille qui s’est déplacé dans la localité de Toaulat, située à 60 kilomètres au nord-est de Dakarois, où se trouve sa famille, vers la même ville pour des besoins familiaux, selon la même source. Au moins neuf citoyens sahraouis avaient trouvé la mort dans des circonstances similaires, dont trois personnes âgées choquées par un militaire marocain à bord d’un camion qu’il conduisait dans les avenues de la ville de Dakhla occupée, en décembre 2005, rappelle cette agence de presse. Il s’agit de : Laamor Sidi Brahim, Taleb Oul Ali Menna et Mohamed Lehsan Sidi Brahim.
Depuis le déclenchement de l’Intifada en mai 2005, les militaires marocains au Sahara occidental et au sud du Maroc avaient également commis d’autres crimes après celui de Lembarki Hamdi mort sous la torture le 30 octobre 2005 et Likhlifi Abba Cheikh, assassiné par un militaire non loin de son domicile le 3 décembre de la même année, rappelle-t-on.
En juillet 2007, Dada Ali Ould Hamma Ould Nafaa, décédé dans une clinique à Agadir, soufrant d’une maladie chronique, ecrit cette agence de presse. En septembre 2007, le jeune sahraoui, Sidha Ould Abdelaziz Ould Lehbib, mort à bord d’une voiture qui le transportait vers un centre de psychiatrie à la ville d’Agadir (sud du Maroc), en raison de la «torture sauvage» qu’il a subie durant le trajet, de la part des forces de répression marocaines.
Les dernières victimes qui remontent à décembre 2008 sont deux étudiants sahraouis, Houssein Abdessadik Alkteyif et Khaya Baba Abdelaziz qui ont trouvé la mort après avoir été écrasés par un marocain à bord d’un bus, à la station routière d’Agadir, rappelle-t-on encore.
M.A.
Le Jour d'Algérie du 08/09/2009
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