@chichi51 :Pour Nezar c'est un pourri qui est au placard maintenant, perso j'aurais aimé le voir en taule, mais pour votre général chef de la gendarmerie en fonction c'est grave, cela revient à dire que la garde de votre monarchie est au main de criminels(ce qui est parfaitement vrais) rechercher par toutes les polices.
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Affaire Ben Barka: 4 mandats d'arrêts internationaux diffusés par Interpol
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vous n'avez aucune leçon a nous donner vous avez enormement de pain sur le plancher pou avoir le luxe de critiquer une affaire vous concernant ni de près ni de loin .
Algérie : deux mandats d’arrêt lancés en France dans l’affaire Ali Mécili Vingt ans après l’assassinat de l’avocat algérien Ali Mécili, la justice française vient d’émettre deux mandats d’arrêt internationaux à l’encontre de deux Algériens impliqués dans l’affaire, affirme ce soir le journal en ligne **********.
Le premier mandat vise le tueur présumé, Abdelmalek Amellou. Le second mandat d’arrêt concerne Mohamed Ziane Hassani –qui se fait aussi appeler Rachid Hassani-, un capitaine de la Sécurité militairela dernière fonction connue était consul d’Algérie à Bonn. « Le rôle de Hassani, qui fut l’agent traitant du tueur dans la préparation du meurtre, était très vite apparu aux enquêteurs français. Mais en 2003, un témoignage édifiant permettait d’établir que cet agent consulaire diplomatique en Allemagne avait aussi assuré le suivi de l’exécution d'Ali Mécili... », affirme **********.
Les témoignages de deux anciens militaire dissidents algériens auraient été décisifs dans cette affaire : ceux de l’ancien colonel Mohamed Samraoui et de Hichem Aboud, aujourd’hui réfugiés en Europe. « Le 2 juillet 2003 en effet, le juge Thouvenot entendait en qualité de témoin, et sur la demande expresse de Me Antoine Comte, un officier dissident algérien réfugié en Allemagne, Mohammed Samraoui -sur lequel l’Etat algérien rêve d’ailleurs de remettre la main– et qui était, à l’époque des faits, responsable d’une "section de prévention économique de l’armée pour la région Est". "Mohammed Samraoui, note le juge Thouvenot dans son mandat d’arrêt, nous a déclaré avoir assisté à une réunion fin juin-début juillet 1987, au cours de laquelle Amellou a reçu des mains de Hassani une forte somme d’argent en liquide, qui n’était visiblement qu’une partie de ce qu’il devait recevoir" (800000 F). Auditionné par le juge français, Hicham Aboud, un autre ex-officier de la Sécurité militaire, fera également état de cette information », écrit encore **********.
L’issue de l’affaire dépendra de la suite que va donner le Parquet à l’enquête. Dans un contexte marqué par des relations difficiles entre Alger et Paris, il est en effet fort probable que l’enquête soit bloquée.Dernière modification par jbel toubkal 77, 03 octobre 2009, 10h18.
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Le crime abominable de ce résistant à la colonisation israelo-saaoudite par l'intermédiaire des alaouites ne va pas être élucidé facilement.
Le peuple berbère marocain a beaucoup d'efforts à faire pour se débarasser de ces tueurs.
w75
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Tu ferais mieux de chercher les assassins de la tuerie du printemps noir de Kabylie et de ceux de Matoub pour ne parler que des amazighs d'Algerie.
Toujours cette fichu manie de ne voir que la bosse du voisin
Hassan II c'est connu n'a jamais eu la main légère avec ses opposants qui ont aussi tout fait pour le détrôner à commencer par Ben Barka qui a choisi le camp communiste ( et l'Algérie)pour cela.
C'est la même chose avec l'autre dictateur Boumediene qui s'est débarrassé de ces opposants sans ménagement
Les assassinats politiques en mode de gouvernance
De Khider À... Medeghri
Tout au long de son long règne de 13 années, Boumediène a fait gicler le sang de tous ceux qui lui contestaient sa mainmise sur l’Algérie.
Qu’ils soient des héros de l’indépendance, des cadres du jeune Etat algérien, des berbéristes, des militants politiques ou des acteurs associatifs, l’omnipotent Président les a fait exécuter ou « suicider » sans état d’âme par son bras armé : la puissante Sécurité Militaire. Et à tout seigneur tout « honneur », ce fut son « ami » Ahmed Ben Bella qui fit connaissance avec la « méthode » Boumediène juste après l’avoir renversé le 19 juin 1965. Un coup d’Etat qui ne fut pas aussi blanc que cela dans la mesure où près de 40 personnes, qui avaient osé manifester à Annaba, furent froidement canardées. Quant à Ben Bella, il sera la première victime politique et psychologique du système Boumediène. Séquestré durant 14 années sans jugement, le Premier président ne sera même pas autorisé à assister à l’enterrement de sa vieille mère. Commence alors la longue série noire des années Boumediène durant laquelle la liquidation physique tenait lieu de pratique politique. Première cible : Mohamed Khider. Ce dirigeant de la révolution, qui s’était pourtant allié à Ben Bella à la prise du pouvoir en 62, est tué le 4 janvier 1967 à Madrid, où il s’était exilé en 1963. Son péché ? Avoir dénoncé le coup d’Etat du 19 juin 1965 et le pouvoir autocratique de Boumediène. Hocine Aït Ahmed désigne Youssef Dakhmouche comme étant l’exécutant du forfait. Le 14 décembre 1967, le coup d’Etat avorté du colonel Zbiri contre le pouvoir de Boumediène est réprimé dans le sang. Des Mig pilotés par des soviétiques bombardent les blindés de Tahar Zbiri, faisant près d’un millier de morts, dont de très nombreux civils, notamment à El Affroun, selon plusieurs témoignages.
Accidents domestiques, suicides…
http://www.elwatan.com/?page=article...article=112419
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