mais si, il y a 600 prisonniers marocains tenus par le Polisario et d'où l'appellation des "sequestrés".
Tu penses que le Polisaio serait assez naif pour les libérer tant qu'il n'aura acquis son indépendance? Selon là des butins de guerre.
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Douze ans de prison pour une simple lettre adressée au roi ? L’histoire de Kaddour Terzhaz, un franco-marocain de 72 ans, retraité de l’armée de l’air marocaine est abracabrantesque. A moins qu’il ne s’agisse d’un règlement de compte de la part de certains généraux influents…
Cet officier supérieur marocain, marié à une Française – d’où sa double nationalité - avait sous sa responsabilité directe, dans les années 1970 et 1980, les pilotes chargés de bombarder, dans le Sahara, les colonnes du Polisario. Certains d’entre eux ont été faits prisonniers par le Polisario. A l’époque, le roi Hassan II ne voulaient pas entendre parler de ces hommes. Ils étaient, à ses yeux, des « disparus » : Reconnaître qu’ils étaient prisonniers, c’était, déjà, admettre l’existence de la guérilla indépendantiste…
Tu penses que le Polisaio serait assez naif pour les libérer tant qu'il n'aura acquis son indépendance? Selon là des butins de guerre.
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Douze ans de prison pour une simple lettre adressée au roi ? L’histoire de Kaddour Terzhaz, un franco-marocain de 72 ans, retraité de l’armée de l’air marocaine est abracabrantesque. A moins qu’il ne s’agisse d’un règlement de compte de la part de certains généraux influents…
Cet officier supérieur marocain, marié à une Française – d’où sa double nationalité - avait sous sa responsabilité directe, dans les années 1970 et 1980, les pilotes chargés de bombarder, dans le Sahara, les colonnes du Polisario. Certains d’entre eux ont été faits prisonniers par le Polisario. A l’époque, le roi Hassan II ne voulaient pas entendre parler de ces hommes. Ils étaient, à ses yeux, des « disparus » : Reconnaître qu’ils étaient prisonniers, c’était, déjà, admettre l’existence de la guérilla indépendantiste…
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