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AFP
La police irlandaise a remis en liberté hier soir une femme, arrêtée mardi avec six autres personnes de confession musulmane soupçonnées d'avoir voulu assassiner un caricaturiste suédois de Mahomet pour le compte d'Al Qaïda.
Aucune charge n'a été retenue contre elle, a ajouté un communiqué de la police.
La femme, dont ni l'identité ni la nationalité n'ont été communiquées, est la quatrième personne remise en liberté après le coup filet de mardi. Trois hommes sont maintenus en détention.
Les trois femmes figurant au nombre des sept personnes interpellées ont donc été toutes relâchées, ainsi qu'un homme.
Bien qu'aucune charge ne soit retenue contre eux, la police prépare des dossiers à transmettre au parquet sur trois d'entre elles, relaxées vendredi, qui pourraient ainsi faire face à des inculpations ultérieures.
Selon le Wall Street Journal de vendredi, l'une des femmes répondrait au nom de Jamie Paulin-Ramirez, âgée de 31 ans, qui a travaillé comme assistante médicale à Leadville (Colorado), avant de s'installer récemment à Denver puis à New York.
Elle était, selon le journal, la deuxième Américaine impliquée dans le projet d'assassinat du caricaturiste suédois Lars Vilks avec Colleen LaRose, 46 ans, surnommée "JihadJane" et inculpée aux Etats-Unis de recrutement de terroristes.
Un groupe lié à Al-Qaïda a offert 100.000 dollars pour l'assassinat du dessinateur après la publication d'une caricature du prophète Mahomet en 2007.
Les sept personnes arrêtées en Irlande comprenaient trois Algériens, un Libyen, un Palestinien, un Croate et une personne de nationalité américaine, avait indiqué à l'AFP une source policière.
La presse irlandaise a fait état d'un séjour de deux semaines de "JihadJane" sur l'île l'an dernier. Selon le quotidien The Irish Independent, elle aurait été en contact régulier avec un Algérien de 49 ans, qui est considéré comme le principal suspect des musulmans détenus.
Le Figaro
La police irlandaise a remis en liberté hier soir une femme, arrêtée mardi avec six autres personnes de confession musulmane soupçonnées d'avoir voulu assassiner un caricaturiste suédois de Mahomet pour le compte d'Al Qaïda.
Aucune charge n'a été retenue contre elle, a ajouté un communiqué de la police.
La femme, dont ni l'identité ni la nationalité n'ont été communiquées, est la quatrième personne remise en liberté après le coup filet de mardi. Trois hommes sont maintenus en détention.
Les trois femmes figurant au nombre des sept personnes interpellées ont donc été toutes relâchées, ainsi qu'un homme.
Bien qu'aucune charge ne soit retenue contre eux, la police prépare des dossiers à transmettre au parquet sur trois d'entre elles, relaxées vendredi, qui pourraient ainsi faire face à des inculpations ultérieures.
Selon le Wall Street Journal de vendredi, l'une des femmes répondrait au nom de Jamie Paulin-Ramirez, âgée de 31 ans, qui a travaillé comme assistante médicale à Leadville (Colorado), avant de s'installer récemment à Denver puis à New York.
Elle était, selon le journal, la deuxième Américaine impliquée dans le projet d'assassinat du caricaturiste suédois Lars Vilks avec Colleen LaRose, 46 ans, surnommée "JihadJane" et inculpée aux Etats-Unis de recrutement de terroristes.
Un groupe lié à Al-Qaïda a offert 100.000 dollars pour l'assassinat du dessinateur après la publication d'une caricature du prophète Mahomet en 2007.
Les sept personnes arrêtées en Irlande comprenaient trois Algériens, un Libyen, un Palestinien, un Croate et une personne de nationalité américaine, avait indiqué à l'AFP une source policière.
La presse irlandaise a fait état d'un séjour de deux semaines de "JihadJane" sur l'île l'an dernier. Selon le quotidien The Irish Independent, elle aurait été en contact régulier avec un Algérien de 49 ans, qui est considéré comme le principal suspect des musulmans détenus.
Le Figaro
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