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La Guinée-Bissau ne reconnaît plus la RASD

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  • #61
    ténebre
    La MAP avait ensorcelé les naifs et croit farouchement à ses bobards !!
    -En fait combien maintenant de fuyard, nous sommes dans le compte à 63 ?
    **Eh bien pour ta gouverne , la mission primordiale de la MAP , c est détourner l opinion marocain sur la vérité et l avancement du dossier du SO dans le monde et l ONU ..

    grande decouverte !
    tu vois bien que les marocains sont tombés dans ce "grand piege " tendu " par le "makhzen" !

    la preuve ....ils surfent librement sur le net

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    • #62
      Ils surfent librement sur fa
      des liens de certaines tribus elle conclut de toute manière que ces liens ne remettent pas en cause le droit a l autodétermination
      car il a été démontre qu il n y jamais eu de continuete territoriale entre le Maroc d' il ya gallek de 1500ans et le so
      nb:l allégeance a été battu en brèche par notre ministre bejaoui lors des joutes oratoires devant la cour qui a reconnu la finesse et la justesse de son expose sur gallek l allégeance est un devoir sacre divin
      si on suit ce raisonnement le Maroc appartient a l Arabie seoudite
      pour ma part je suis athe donc les khortis de sohaba et toutiquanti c vouloir me faire prendre des vessies pour des lanternes
      The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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      • #63
        Cell, arrete avec tes attaques personnelles
        Vous n’arretez pas de nous répéter à longeur de journée que le Sahara occidental a toujour appartenu, historiquement au Maroc, je t’ai posté un article qui délimitait votre empire d’avant à 5775 myriametre ( qu’il fasse 1million de km ou 1 cm, n’est pas la question ici)


        Votre probleme c’est que vous attaquez sans porter de preuves contraire à ce qui a été posté. Le Maroc de l’époque avait la meme superficie que la France.


        Concernant mon pays qui est passé de 0 Km à 2 millions de km2, apporte une preuve de ce que tu avances. Tous les livre décrivaient l’Algerie, composée de plusieurs royaumes (comme d’aillaur votre royaume qui était aussi composé de trois royaumes) depuis tjsn si c'est l'appelation qui vous fait douter, on ne peut rien faire pour vous.

        Je ne comprends pas comment un royaume qui a toujours existé comme etant un etat reconnu par d’autres nations trouve autant de problemes pour prouver sa souvraineté sur les territoires du sud.

        Ce que vous n’arrivez à concevoir c’est la grandeur de l’Algerie : C’est simple les royaumes qui composaient l’Algerie d’aujourd’hui étaient ouvert sur le desert, ou le sahara central sans frontiere jusqu’à tombouctou. Biensur, il y’avait des tribus de nomades indépondant qui prenaient differentes routes pour faire du commerce, tontot, vers le centre tontot vers l’est et tontot vers l’ouest .
        C’est cette ouverture qui a permis aux nomades, ou aux villages ou ksours du sahara de se considerer algeriens. Ils ont toujours rejeté d’etre ralliés au Sultant du Maroc parcequ'il leur imposait, sous peine de represailles de payer les impots. Ils n’ont jamais été contraint de verser d’impot aux chieks de tribus, Ils étaient tous indépondants.

        Le livre le plus complait est celui qui raconte le maroc et l'Afrique: LAfrique francaise, l'empire de maroc et

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        • #64
          Pour la Baiai; ou allegence, c'etait une pratique courante de l'epoque. Comme les villages vivaient du commerce, c'etait necessaire de se ralier au plus fort du moment pour etre protegé des hostilités d'autres tribus.
          D'ailleurs un des chefs d'une tribu de Touat, a retiré son allegence au sultant du Maroc aprés avoir été masacrée par une autre tribu. Le sultant n'a pas rempli sa part de responsabilté envers cette tribue comme le stipulait " le contrat".

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          • #65
            Maintenant que le drapeau marocain flotte sur les térritoires du Sahara, ce n'est pas mon probleme. Il faut juste ne pas venir nous chanter l'appartenance historique de ce Térritoire au Maroc, preuve que vous ne trouverez nulle part.

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            • #66
              Envoyé par cell
              aujourd'ui le maroc fait 712.000 km² ,ce qui fait une augmentation de 23 %, une extension sans commune mesure avec celle d'un certain voisin qui est passé de 0 à 2.400.000 millions de kilométres carrés
              tu viens d'inventer un nouveau terme un pays qui a 0 km2.
              Ce n'est pas grave si ton ignorance te fait dire de telle sotises.
              L'algerie dans ses frontières actuelles a plus de 2millions de Km2, ce pays avant la colonisation française et la présence Ottomanes n'était pas composé uniquement de la régence d'alger, la plus connue à cause de ses corsaires qui pratiquaient la course et avaient conclu un traité d'amitié avec les E-U nouvellement indépendant à la fin du XVIIIè siècle, à coté il y'avait d'autres beyliks qui correspondait à des micro-etats comme ceux de l'allemagne avant la réunification.

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              • #67
                Maintenant que le drapeau marocain flotte sur les térritoires du Sahara, ce n'est pas mon probleme. Il faut juste ne pas venir nous chanter l'appartenance historique de ce Térritoire au Maroc, preuve que vous ne trouverez nulle part.

                mais on ne chante rien, c'est la réalité.

                le jour ou vous aussi vous prouverez que le sahara central était attaché au nord, ou pourra discuter, mais la, on vous dit juste:

                qu'elles sont bonnes les dorades de dakhla, et qu'ils sont beau les mokhaznis et les boulicis qui sont labas

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                • #68
                  Ils surfent librement sur fa
                  des liens de certaines tribus elle conclut de toute manière que ces liens ne remettent pas en cause le droit a l autodétermination
                  car il a été démontre qu il n y jamais eu de continuete territoriale entre le Maroc d' il ya gallek de 1500ans et le so
                  nb:l allégeance a été battu en brèche par notre ministre bejaoui lors des joutes oratoires devant la cour qui a reconnu la finesse et la justesse de son expose sur gallek l allégeance est un devoir sacre divin
                  SOLAS

                  Ah OUi,
                  C'est le contraire votre ministre Bedjaoui allié de circonstance de la puissance coloniale n'ont pu se résoudre dans leur joute respectif de infirmer a la seule question posée.

                  1) le sahara oc était-il ,au moment de la colonisation par l'espagne,un territoire sans maître(terra nullius)? si négatif........alors
                  2)quels étaient les liens juridiques de ce territoire avec le royaume du Maroc et l'ensemble Mauritanien.

                  Le seul fait de répondre par la négative fût la grande victoire du Maroc face aux adversaires déclarées(Espagne et Algérie).

                  Il y avait bien un Maître sur ce territoire.

                  Le sahara occidentale n'était pas une terre en déshérence.
                  C'est bien là ou se situe l'importance de cet arrêt consultatif pour le Maroc.

                  et maintenant tu n'as plus que recadrer le contexte géopolitique au moment de l'arrêt de cette cour pour t'apercevoir qu'elle est encore plus éclatante .

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                  • #69
                    qui se ressemblent s'.................?






                    La Guinée-Bissau devient le premier narco-État du continent africain

                    De notre envoyé spécial à Bissau TANGUY BERTHEMET
                    le figaro


                    L'AVION tourne pendant dix minutes au-dessus de l'aéroport de Bissau. « Nous n'avons aucun contact avec la tour de contrôle. Si cela continue, nous retournerons à notre point de départ, Dakar », annonce le commandant de bord. L'appareil atterrira tout de même. À vue. Ainsi va la Guinée-Bissau. Et sa capitale, centre d'un État en perdition, ravagé par une guerre d'indépendance dans les années 1970 et dévasté par une guerre civile aussi brève que sanglante en 1998. Le pays ne s'en est jamais remis. On peut y arriver ou en sortir discrètement, sans autorisation, même chargé de drogue.
                    Bissau, petite ville aux constructions basses, semble figée dans les années 1950. Elle est en passe de devenir la capitale du premier narco-État d'Afrique. « C'est peut-être déjà fait. L'espace aérien, mais aussi les 350 kilomètres de côtes, les îles du large et les routes ne sont pas surveillés. L'État n'existe quasiment pas. Pour des trafiquants, il est donc très facile de s'installer », souligne Antonio Mazzitelli, représentant pour l'Afrique de l'Ouest de l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC). La Guinée-Bissau ne possède aucun radar. Il n'y a d'ailleurs pas d'électricité. Il n'y a pas non plus d'eau courante, et très peu d'écoles. La dérive de la Guinée, qui figure parmi les cinq pays les plus pauvres du monde, n'a pas échappé aux barons colombiens de la cocaïne, à la recherche de nouvelles routes pour envahir l'Europe.
                    La « coke » n'est plus un tabou
                    Leur installation s'est faite à couvert. La situation n'est apparue clairement qu'en 2005. Un matin de mai, les pêcheurs de Quinhamel, un petit port à une trentaine de kilomètres de Bissau, trouvent de curieux paquets de poudre blanche sur la plage. Loin d'imaginer la valeur de leur pêche miraculeuse, les familles tentent, en vain, de lui trouver un usage. On s'en serait servi pour assaisonner des repas, pour fertiliser des champs. Les « narcos » finiront par débouler pour racheter, à grands coups de dollars, la cargaison égarée. L'histoire attire l'attention des experts antidrogue. En septembre 2006, une affaire tragicomique achève de les convaincre. Au terme d'une fusillade, l'armée découvre 674 kilos de drogue dans la voiture de trois Sud-Américains, à une dizaine de kilomètres de Bissau. La drogue est saisie, puis rangée dans un coffre du trésorier du gouvernement. On ne la reverra pas. Pas plus que les trois suspects, eux aussi disparus.
                    Les narcos prospèrent sur l'incurie de l'État, mais aussi sur la corruption. À l'échelle du pays, les chiffres en jeu donneraient le tournis aux plus honnêtes. Le bénéficie potentiel qu'a pu dégager la vente de la cocaïne de cette seule saisie, soit environ 15 millions de dollars, équivaut à 20 % de l'aide au développement reçue chaque année par la Guinée, ou à 280 % des revenus nets annuels des investissements étrangers dans le pays.
                    À Bissau, beaucoup ont cédé à la tentation. Dans les rues défoncées de la ville, on a vu apparaître de gros 4 × 4 ainsi que des costumes italiens de luxe sur les épaules de fonctionnaires qui, quelques mois plus tôt, crevaient la faim. Certains quartiers de la ville ont été pris d'une minifièvre immobilière. De grosses maisons poussent aux côtés des villas de style vaguement hispanique appartenant à des « hommes d'affaires » sud-américains. Ces derniers se sont installés à l'aube des années 2000 pour, officiellement, exporter de la noix de cajou, la seule richesse de Bissau. « Tout ça, c'est l'argent de la drogue », répond, comme une évidence, Mauricio, un petit vendeur de rue. La « coke » n'est plus un tabou. Dans les rares bars chics du centre, il ne faut pas plus de quelques minutes pour acheter un gramme. Guère plus pour s'en voir promettre 100. On propose même, sans aucune gêne, de faire la livraison.
                    « Les trafiquants ne se méfient de rien, car ils ont des complices au sein de l'État. Rien ne sera possible en matière de drogue tant que le chef d'état-major restera en place », martèle Mario Sa Gomes, président de l'Association contre les erreurs judiciaires. Pour avoir tenu ce discours, le jeune homme vit désormais caché. Il ne sort que de nuit, engoncé dans un costume qui lui donne des faux airs de franciscain. « J'ai dit ce que tout le monde sait et j'ai reçu des menaces de mort. Pourtant, il suffit de se rendre à l'aéroport pour voir régulièrement, au petit matin, des avions sans immatriculation atterrir. La dernière saisie est une preuve bien suffisante de la gravité des choses. » En avril 2007, à un barrage routier, 635 kilos de stupéfiants ont été trouvés dans un véhicule conduit par deux militaires. La drogue fut cette fois détruite. Les contrebandiers en uniforme, eux, ont été relâchés.
                    Une justice corrompue
                    L'évocation de ces dossiers met mal à l'aise le procureur général de Guinée-Bissau, Fernando Jorge Ribeiro. « C'est vrai qu'il y a de la drogue. Mais que pouvons-nous faire sans aide ? Le pays est trop démuni pour lutter », plaide-t-il timidement. Il faut mentionner le soupçon de corruption de la justice pour le faire sortir de ses gonds. Le magistrat reconnaît, certes, qu'aucun trafiquant n'a été arrêté.
                    En guise d'excuse, il avance un argument de poids : « Nous ne pouvons rien faire d'autre, il n'y a pas de prison dans le pays ! » À l'abri de l'anonymat, un juge confirme ses dires : « Il n'y a pas que le problème des prisons. Il n'y a pas non plus de policiers pour assurer la sécurité. Dans ces conditions, comment voulez-vous prendre le risque d'attaquer une institution aussi puissante que l'armée ? » Le limogeage, à la mi-juin, du chef de la police judiciaire, fut un message aux éventuels courageux.
                    Washington, qui a qualifié cette démission forcée de « très mauvais signal », s'inquiète. À Bissau, les barons de la drogue se font un rien plus discrets. Mais un diplomate observe que leurs activités s'accélèrent. « Nous avons noté l'achat récent par des étrangers de vastes terres dans le sud du pays, ainsi que dans les petites îles incontrôlables qui pullulent au large de Bissau », confie-t-il. Les experts redoutent la construction de laboratoires. La découverte le mois dernier, dans un entrepôt de Bissau, de permanganate de potassium, un précurseur utilisé pour fabriquer de la cocaïne, a confirmé les risques.
                    Idrissa Djalo, qui préside un petit parti d'opposition, assiste, non sans désespoir, à l'enracinement du narcotrafic. « Le plus grave, ce sont les conséquences que pourrait avoir l'afflux d'argent. Le pays reste très instable. Il y a toujours des armes partout. Lors de la guerre civile de 1998, les combats avaient précisément éclaté pour le contrôle des revenus du trafic d'armes. »

                    </H1>
                    « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                    • #70
                      coucou bledard ,voilà t'as tout compris ,c'est les affaires du cartel ....les affaires c'est les affaires.

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                      • #71
                        Bateau de haute mer : enrichissez-vous ( HII )

                        qu'elles sont bonnes les dorades de dakhla, et qu'ils sont beau les mokhaznis et les boulicis qui sont labas
                        Oversclocker
                        Plus vrai de dire :
                        -la dorade pour les colonisateurs
                        -les mokhaznis et les boulicis pour la répression pour que les sahraouis ne toucherons plus à la DORADE ..( est ce que tu dis quelques choses , les généraux –bateaux de haute mer ? ) Oui ou Non
                        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                        • #72
                          Mon frère au sahara ,fait beaucoup de pognons allah yi barek .Beaucoup de richesses à exploiter.

                          Commentaire


                          • #73
                            Les militaires ont pris le pouvoir en Guinée Bissau, pour marquer leur désaccord contre le retour en arriere de ses dirigeants de ne plus reconnaitre la R A S D .

                            " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

                            Commentaire


                            • #74
                              Envoyé par nacera90
                              Maintenant que le drapeau marocain flotte sur les térritoires du Sahara, ce n'est pas mon probleme. Il faut juste ne pas venir nous chanter l'appartenance historique de ce Térritoire au Maroc, preuve que vous ne trouverez nulle part.
                              cette terre est à nous et on le dira et on le répétera aussi longtemps qu'on vivra !!

                              je ne vois pas ce qui t'irrite à ce point !!
                              yak ce n'est pas de ta terre qu'on parle !!

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                              • #75
                                Envoyé par fhamator
                                Mon frère au sahara ,fait beaucoup de pognons allah yi barek .Beaucoup de richesses à exploiter.
                                la région du sahara est devenu très dynamique !!
                                normal , avec tout les investissements mis en place !!
                                et il faut continuer à investir et rattraper le retard par rapport aux nord du Maroc !!

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