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L’OLAF accuse le Polisario et l’Algérie de détournement

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  • #31
    Déclaration Importante :

    Scoop Important - Scoop Important - Scoop Important

    Messieurs les marocains,

    L'Algérie et les Algériens s'enrichissent par l'aide internationale donnée au Polisario.

    Normal ! C'est pour çà que l'Algérie a pu :
    - surmonter la crise financière mondiale,
    - économiser 150 milliards
    - lancer des projets d'autoroute
    - maintenir le pouvoir de Bouteflika en place ...


    Fin de scoop

    Alors ! chers Marocains : Contents maintenant ?

    Commentaire


    • #32
      @sidmark

      L'Algérie et les Algériens s'enrichissent par l'aide internationale donnée au Polisario.

      Normal ! C'est pour çà que l'Algérie a pu :
      - surmonter la crise financière mondiale,
      - économiser 150 milliards
      - lancer des projets d'autoroute
      - maintenir le pouvoir de Bouteflika en place ...

      ?

      ...et se qualifier pour la Coupe du Monde chez Mandela!

      Commentaire


      • #33
        et ce n'est pas un pays européen qui a sauvé le Royaume in extremis ces derniers jours d'un tirage d'oreilles certain?
        Et ce ne sont pas ces mêmes européens et leurs cousins du nouveau monde qui ont et qui dictent toujours le référentiel morale de l'humanité?


        Faut savoir dans quelle terrain il faut se mettre ..

        Commentaire


        • #34
          • L’Algérie et sa création le Polisario

          • Le document de l’ESISC, élaboré par Claude Moniquet
          Juste pour ces deux là, l'article puent ... le fond de poubelle.

          Tu t'y met toi aussi ? Pas ton habitude.

          Commentaire


          • #35
            Bon l'article se résume à cela:

            "(...)
            L’Office européen de lutte anti-fraude (OLAF) pointe du doigt l’Algérie et le Polisario dans les opérations de détournement d’aide humanitaire.
            (...)
            C’est ce qu’affirme un récent rapport confidentiel de l’Office européen de lutte anti-fraude (OLAF), cité par le Centre européen pour le renseignement stratégique et la sécurité (ESISC).
            (...)"

            J'admet volontier que la bande Moniquet, j'entend le ESISC est une extention outre-medi du makhzen, comme il convient de l'appeler dans ce chaleureux forum.


            Seulement, pourquoi ne pas parler de l'OLAF?

            Je ne le connaissais pas et je ne l'ai pas googlé .. mais il doit convenir .. non? bin si cela ne convient pas .. j'aimerai que vous me diriez pourquoi.

            L'existance d'un tel rapport ne fait aucun doute. La non diffusion du dit rapport prouve son caractère sensible (..)

            Je pense que le dit rapport comporte des elements flingueurs à même de faire sauter la direction du polisario. Je pense toujours que le dit rapport comporte des références faites à l'Algérie pour sa responsabilité dans la situation.

            Commentaire


            • #36
              J'admet volontier que la bande Moniquet, j'entend le ESISC est une extention outre-medi du makhzen,
              Je salue ton honnêteté !


              Seulement, pourquoi ne pas parler de l'OLAF?
              De l'OLAF ? Pourquoi pas.

              Du rapport en question ? Autant évoquer l'arlesienne ;
              D’après le Centre européen, ce rapport, inaccessible
              On peut toujours s'embarquer sur du "je pense que", "il est probable que" ... ça restera des supputations. Quand ça vient de l'ESISC, ... c'est pire !
              Dernière modification par jawzia, 04 mai 2010, 21h42.

              Commentaire


              • #37
                Le rapport de l'OLAF hantera encore pas mal de temps Alger et Tindouf. Que dit l'OLAF en fin de compte? Ce que l'on sait tous deja, que le polz fait du detournement d'argent sous fond d'une "cause" en exploitant de pauvres sahraouis qu'on parque dans des camps au milieu du desert, et qui ont commence a s'enfuir en groupes...

                On va bien rigoler lorsque ce rapport sera mis sous presse.

                Commentaire


                • #38
                  P'tite recherche sur Internet, et hop !

                  Quelques article sur notre cher spécialiste Claude Moniquet:

                  Bonne lecture !

                  Les aventures marocaines de Claude Moniquet (ESICS)

                  Nos lecteurs connaissent sans doute le très médiatique Franco-Belge Claude Moniquet, directeur de l'ESISC (European Strategic Intelligence and Security Center), "fellow" de l'Atlantis Institute et expert auto-proclamé en terrorisme islamiste, tendance "ils sont partout ma bonne dame".

                  Il fut victime il y a quelques mois d'un hilarant "attentat" sur le parking de RTL (un footballiste enragé lui colla quelques beignes) qui révéla à la Belgique incrédule qu'il sort parfois des studios de l'avenue Ariane où on aurait pu croire, vu son ubiquité sur les ondes erretéhelliennes, qu'il avait élu domicile.

                  C'est également lui qui révéla la présence d'"espions" chinois à l'Université de Louvain. Moniquet ne sévit pas qu'en Belgique, il est régulièrement interviewé par des médias étrangers tels CNN - la moindre référence à sa modeste personne est d'ailleurs méticulement archivée sur le site de l'ESISC - et son moment de gloire fut sans doute son audition en tant qu'expert par le Congrès des Etats-Unis d'Amérique.

                  Le personnage ne manque pas d'intérêt: comme tout néo-conservateur qui se respecte, il est issu de l'extrème-gauche communiste, avec cette particularité intéressante qu'il semble avoir été lié à la Rote Armee Fraktion allemande et aux Cellules Communistes Combattantes belges, ce qui explique sans doute son intérêt pour le terrorisme.

                  Selon des rumeurs persistantes relayées par le journal Le Soir, le principal quotidien belge francophone "haut de gamme", il serait de plus agent du Mossad et, pour faire bonne mesure, de la DST et de la DGSE françaises.

                  Moniquet est également l'auteur d'un article qu'on qualifiera charitablement de "douteux" paru dans Ciné-Télé-Revue en 1997 et consacré au rôle de la juge d'instruction Martine Doutrèwe dans l'affaire Dutroux. La juge l'attaqua en diffamation et obtint une condamnation qui, comme le rappelle opportunément Knack cette semaine, fut qualifiée par son avocat de "censure inacceptable".

                  Il est donc assez ironique qu'aujourd'hui, Claude Moniquet semble s'apprêter à porter le coup de grâce à un des rares médias indépendants du Maroc, "Le Journal Hebdomadaire".

                  Les faits sont les suivants: en décembre 2005, l'hebdomadaire marocain, que la monarchie chérifienne tente de déstabiliser depuis sa création, publie quelques articles consacrés au Sahara Occidental, une ex-colonie espagnole que le Maroc occupe depuis 1975 et au Front Polisario, le principal mouvement de résistance anti-marocain.

                  Un des articles s'intitule "un rapport sur commande". Ce rapport est l'oeuvre de l'ESISC et "Le Journal Hebdomadaire" lui reproche une méthodologie défaillante ("les sources d'information sont acquises au Maroc") des citations sélectives ("même pour les instances les plus crédibles citées par le rapport, comme Human Rights Watch ou encore le State Department, les analystes de l'ESISC se contenteront de n'en retenir que des passages bien ciblés") ou encore de ne s'intéresser aux communiqués du Front Polisario que lorsqu'ils confirment sa thèse anti-Polisario.

                  Le rapport de l'ESISC se termine par une série de recommandations (à quel titre, on peut se le demander) qui concernent tant le futur du Sahara Occidental que le Front Polisario et qui, curieusement, valident la position du gouvernement marocain.

                  Le magazine relève par ailleurs l'absence de rapports entre les "craintes" exprimées par l'ESISC afin de motiver son rejet de l'indépendance du Sahara Occidental et la réalité sur le terrain ("...un argumentaire d'un Front (Polisario) en décomposition qui risque les dérives islamistes, terroristes et même une gangrène du crime organisé. Un argumentaire simpliste car se basant sur les frayeurs du monde d'aujourd'hui."). Il conclut en se demandant si ce document un peu trop complaisant envers les thèses marocaines n'aurait pas été commandé par le Maroc, puisque le site de l'ESISC précise qu'il se finance "sur la base de contrats de recherche et de missions ainsi que de donations".

                  On le voit, pas de quoi fouetter un chat.

                  C'était compter sans le sens de l'honneur sourcilleux de Moniquet qui estime avoir été diffamé. Il intente donc un action en justice, non pas en France où est édité "Le Journal Hebdomadaire" et où on peut raisonnablement douter qu'il eût obtenu gain de cause, mais au Maroc.

                  Claude Moniquet exige pas moins de cinq millions de Dirhams (près de 500.000 €) à titre d'indemnité. Lors du procès, Le Journal Hebdomadaire n'a pu faire comparaître de témoins à décharge et les plaidoiries de l'avocat de Moniquet, Me Mohammed Ziane, par ailleurs président du "Parti Marocain Libéral", ont à peine abordé les soi-disant atteintes à l'honneur de Moniquet, pour se concentrer sur le crime autrement plus grave de déni de "marocanité" du Sahara Occidental dont se seraient rendus coupables les rédacteurs du Journal Hebdomadaire.

                  Le jugement est tombé: le tribunal de Rabat condamne le journal au paiement de trois millions de Dirhams, soit près de 300.000 €, du jamais vu dans un pays où l'indemnité moyenne lorsqu'il y a mort d'homme accidentelle s'élève à environ 3.000 €.

                  On sait que la justice marocaine ne brille pas par son indépendance; l'occasion était sans doute trop belle pour que les autorités de Rabat la laissent passer. On observera que la technique du procès en diffamation contre un organe de presse trop indépendant est monnaie courante à Singapour, un des grands modèles des néo-conservateurs.

                  Claude Moniquet avait d'abord promis de ne pas exécuter le jugement, ce qui provoquerait à coup sûr la fermeture d'un des rares journaux indépendants du monde arabe, mais affirme avoir changé d'avis suite aux "mensonges" que le Journal Hebdomadaire aurait propagé sur son compte, ce par quoi il faut comprendre la reproduction de l'article du "Soir" dont il a été question plus haut. D'après Moniquet, dont on ignorait les talents d'humoriste, les révélations au sujet de son appartenance - contestée - au Mossad mettraient à mal sa position dans le monde arabe où il doit désormais "craindre pour sa vie". Venant d'un homme qui s'est illustré par un soutien bruyant et sans faille aux thèses nationalistes israéliennes, ça ne manque pas de sel.

                  Il faut par ailleurs noter que "Le Journal Hebdomadaire" a proposé deux pages à Moniquet pour réagir à l'article du Soir (contre lequel il ne semble pas avoir agi en Belgique...)mais qu'il en exigeait pas moins de six !

                  Moniquet a fait savoir qu'il était prêt à revoir sa position si le journal lui présentait des "excuses", tout en précisant que sa fermeture ne lui faisait ni chaud, ni froid.

                  Nous avons l'insigne honneur d'être lus par des amis de Claude Moniquet. Qu'ils sachent que cette illustration de la manière dont les néo-conservateurs entendent "démocratiser" le monde musulman nous a beaucoup amusée.

                  Il serait peut-être opportun qu'ils invitent leur "camarade" à ne pas exécuter les basses oeuvres du régime de Rabat, dont nous tenons d'ailleurs à préciser que nous sommes les derniers à nier les récents progrès. Simple question de cohérence et de dignité...
                  Le Journal hEBDO a été ainsi condamné à payer 270 000 euros de dommages et intérêts au Belge Claude Moniquet, de l'Esisc, pour avoir qualifié son rapport sur le Front Polisario de « téléguidé par le Palais ».

                  Ainsi, Mercredi 27 janvier 2010, en plein bouclage, Le Journal hebdo, publication pionnière et icône de la liberté de la presse marocaine, a été fermé de force pour « liquidation judiciaire », sur ordre du tribunal de commerce.

                  ===========================

                  A suivre d'autres articles sensationnels ...
                  Dernière modification par absent, 04 mai 2010, 22h45.

                  Commentaire


                  • #39
                    "Le rapport de l'OLAF hantera encore pas mal de temps Alger et Tindouf. Que dit l'OLAF en fin de compte? Ce que l'on sait tous deja, que le polz fait du detournement d'argent sous fond d'une "cause" en exploitant de pauvres sahraouis qu'on parque dans des camps au milieu du desert, et qui ont commence a s'enfuir en groupes...

                    On va bien rigoler lorsque ce rapport sera mis sous presse." (ayoub7)

                    Mais sur quelle crédibilité repose sur ce rapport?

                    Souviens des accusations semblables de Tsahal qui récriminaient que la résistance palestinienne recourait aux ambulances (dont l'une fut détruite par Tsahal) du CICR afin de couvrir des "terrorisistes" palestineins.

                    A causes égales, mensonges réciproques dit un proverbe allemand.

                    Commentaire


                    • #40
                      Claude Moniquet exige pas moins de cinq millions de Dirhams (près de 500.000 €) à titre d'indemnité. Lors du procès, Le Journal Hebdomadaire n'a pu faire comparaître de témoins à décharge et les plaidoiries de l'avocat de Moniquet, Me Mohammed Ziane, par ailleurs président du "Parti Marocain Libéral", ont à peine abordé les soi-disant atteintes à l'honneur de Moniquet, pour se concentrer sur le crime autrement plus grave de déni de "marocanité" du Sahara Occidental dont se seraient rendus coupables les rédacteurs du Journal Hebdomadaire.

                      Le jugement est tombé: le tribunal de Rabat condamne le journal au paiement de trois millions de Dirhams, soit près de 300.000 €, du jamais vu dans un pays où l'indemnité moyenne lorsqu'il y a mort d'homme accidentelle s'élève à environ 3.000 €.
                      Le makhzene ne badine pas avec la critique de ses amis
                      ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

                      Commentaire


                      • #41
                        Le rapport de l'OLAF hantera encore pas mal de temps Alger et Tindouf. Que dit l'OLAF en fin de compte? Ce que l'on sait tous deja, que le polz fait du detournement d'argent sous fond d'une "cause" en exploitant de pauvres sahraouis qu'on parque dans des camps au milieu du desert, et qui ont commence a s'enfuir en groupes...
                        Tu n'as aucune idée du contenu de ce rapport. ni jamais tu pourras le lire, mais tu sais son contenu...

                        Plus stupide que ça, on devient un bout de bois dur..
                        ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

                        Commentaire


                        • #42
                          Qui est vraiment Claude Moniquet ?

                          La suite comme promis :


                          Qui est vraiment Claude Moniquet ?

                          Claude Moniquet est le fondateur de l'ESISC, un institut bruxellois « spécialisé dans la recherche géostratégique », comme il aime ainsi à se définir. Auteur d'un rapport contesté sur le Front Polisario, il vient d'obtenir 3 millions de dirhams pour dommages et intérêts par décision de justice du Tribunal de première instance de Rabat à l'encontre du « Journal Hebdomadaire » au terme d'un procès politique.

                          « Le Journal Hebdomadaire » avait fortement mis en doute
                          la rigueur scientifique de l'étude de l'ESISC.

                          Qui est vraiment Claude Moniquet ?

                          Le quotidien belge « Le Soir » vient d'en brosser le
                          portrait.

                          Edifiant !


                          Le patron de l'institut belge qui a obtenu 3 millions de dirhams dans
                          l'affaire qui l'oppose au "Journal Hebdo" est, selon le quotidien bruxellois "Le Soir", un ex-journaliste qui s'est recyclé en "expert du terrorisme".

                          On l'aime ou on ne l'aime pas.

                          Poser la question "
                          qui est Claude Moniquet ?" aboutit à dresser un portrait en noir et blanc.

                          - "Un mercenaire", dit cette source proche de la sûreté de l'Etat qui en fait "la voix de son maître de la DST française" (Direction de la surveillance du territoire).

                          - "Un manipulateur", entend-on dire dans certains cénacles politiques.

                          - "
                          Un type qui se vend au plus offrant", conclut ce journaliste, qui lui prête néanmoins "un bon bouquin et le mérite d'avoir parlé avant tout le monde d'Echelon et des étudiants chinois qui espionnaient à l'UCL".

                          - "Un analyste qui peut être bon parfois, mais souffre du fait que
                          l'intelligentsia belge est souvent de gauche, alors qu'il est franchement à droite", dit cet autre confrère.

                          Dans un bistrot du centre de Bruxelles, Claude Moniquet écoute les critiques, un énorme "boulon" vissé aux lèvres. Chauve et fort, le regard perçant, la voix monocorde et caressante, il a le parfait physique du barbouze.


                          Au cours des deux dernières décennies, le Français et ancien
                          journaliste Claude Moniquet a donné cours à bien des rumeurs. Il a été respectivement qualifié de proche des Cellules communistes combattantes (CCC), d'agent ou de proche du Mossad (les services secrets israéliens), et en France de la DST ou de la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure).

                          Moniquet balaie d'un geste la table et sa "mauvaise réputation" : "
                          Le Mossad, c'est sans doute parce que je suis juif. Et mes écrits montrent que je suis plutôt pro-israélien ; la DST, c'est absurde. C'est un service de police, et je ne suis pas policier". La DGSE ? " Non. Et de toute façon, vous ne passez pas 25 ans de votre vie à travailler sur le renseignement et le terrorisme sans traîner ce genre de réputation".

                          Au lendemain du 11 Septembre, Claude Moniquet a fondé l'Esisc
                          (European Strategy intelligence and Security Center) avec deux partenaires. Sur Internet, son site en impose.

                          Hormis la capacité affirmée d'analyser le renseignement et la prévention de la menace terroriste, tout y est mis en oeuvre pour donner de l'Esisc l'image d'un centre de recherches solide et reconnu.
                          Et ça marche : "Jamais je n'aurais cru qu'un centre de Bruxelles puisse produire quelque chose d'aussi partisan que ce rapport sur le Polisario", s'étonne ainsi Khadija Mohsen-Finan, chercheuse à l'Institut français des relations internationales (Ifri) sis à Paris.

                          Preuve que l'Esisc "en jette".


                          "
                          Mais Moniquet est tout seul. Ce centre ? c'est lui", affirme un homme politique belge qui s'est penché de près sur le rapport Polisario et conclut lui aussi à "un travail partisan".

                          Claude Moniquet rétorque en dénombrant "
                          Onze personnes travaillant pour l'Esisc, pour la plupart des free-lance, en Belgique et à l'étranger".

                          Sur sa carte de visite, son seul numéro de GSM. Pas d'adresse.
                          Mais qui l'en blâmera à l'heure du télétravail ?

                          Que vaut, sur le plan scientifique, la production de l'Esisc ?


                          Ici aussi, tout et son contraire. Notre source, proche de la sûreté, la
                          qualifie de "tout venant, ni bonne ni mauvaise, mais pas assez pointue pour être vraiment proche des principaux acteurs du renseignement".
                          Moniquet renvoie la balle en rappelant que CNN ou le Congrès américain lui ont parfois demandé son expertise. Alors... Ce n'est pas sur le terrain scientifique que Moniquet a cherché à demander des comptes au "Journal hebdomadaire". "Tout travail peut être discuté.
                          Je ne suis pas tenu à l'objectivité journalistique", admet-il en réfutant avoir voulu démontrer que "le Polisario est proche d'Al-Qaïda".

                          En revanche, à entendre Moniquet la faute du "Journal hebdomadaire" a
                          été d'insinuer que le travail sur le Polisario fut "vraisemblablement financé" par Rabat.

                          L'ancien journaliste du "Quotidien de Paris" et de "Ciné Revue" est intraitable : il y a eu diffamation. « Jamais "Le Journal" n'a cherché de surcroît à me contacter ». La publication d'un droit de réponse n'a pas abouti, les deux parties s'en rejetant la responsabilité. Le "préjudice" subi a été estimé par Claude Moniquet et son avocat à 500.000 euros (il a obtenu 270.000 euros,NDLR),
                          là où le franc symbolique aurait pu suffire.

                          « Je suis comptable de la vie de mon entreprise et du bien-être des gens qui y travaillent », lance le directeur (porte-parole et analyste) de
                          l'Esisc.

                          Qui dit rester "froid" face à la perspective d'asphyxier économiquement un des rares journaux indépendants marocains
                          . Quant à passer pour le bras armé de Rabat, si "le Journal hebdomadaire" avait observé les règles journalistiques, on n'en serait pas là".

                          Claude Moniquet avait affiché la volonté d'offrir "la moitié de cette somme
                          aux victimes du Polisario". La chose n'a plus été évoquée cette fois.
                          Dernière modification par absent, 04 mai 2010, 23h04.

                          Commentaire


                          • #43
                            Tu n'as aucune idée du contenu de ce rapport. ni jamais tu pourras le lire, mais tu sais son contenu...
                            Non mais je sais que pour tous les rapports il y a des "fuites". je sais aussi que si ce que disait l'ESISC etait faux, il se ferait étaler par l'OLAF. Or j'entends absolument aucune infirmation venant de l'OLAF...

                            Plus stupide que ça, on devient un bout de bois dur..
                            Ou un crocodile blanc...

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                            • #44
                              Non mais je sais que pour tous les rapports il y a des "fuites". je sais aussi que si ce que disait l'ESISC etait faux, il se ferait étaler par l'OLAF. Or j'entends absolument aucune infirmation venant de l'OLAF...
                              C'est exactement l'évidence que je m'efforçais à expliquer. J'ai nuancer en admettant que l'ESISC sert les intérêts marocains. Mais il y'a certainement une grande part de vérité dans les informations diffusées par l'ESISC.

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                              • #45
                                Poser la question " qui est Claude Moniquet ?" aboutit à dresser un portrait en noir et blanc.

                                - "Un mercenaire", dit cette source proche de la sûreté de l'Etat qui en fait "la voix de son maître de la DST française" (Direction de la surveillance du territoire).

                                - "Un manipulateur", entend-on dire dans certains cénacles politiques.

                                - "
                                Un type qui se vend au plus offrant", conclut ce journaliste, qui lui prête néanmoins "un bon bouquin et le mérite d'avoir parlé avant tout le monde d'Echelon et des étudiants chinois qui espionnaient à l'UCL".
                                si c vrai, pourquoi l'algérie, pays riche.....(!!!??????) n'a pas réussi à l'acheter........
                                et pourtant les responsables algériens sont devenu maitres dans ce domaine.............n'ont ils pas réussi à acheter le president sud africain......??????

                                l'algérie est maintenant sur le banc des accusés, elle va payer pour tout..............

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