"Ne vous en faites pas, Souilem sera comme un poisson dans l'eau en Espagne. Et l'Espagne n'aura aucun probleme avec le monsieur, bien au contraire..."
Pourquoi pas et d'autant qu'il parle espagnol, une économie pour le Maroc dont l'instruction n'est pas son fort puisqu'il il détient l'un des records du monde d'analphabètes.
Seulement à quel prix reviendra au Maroc sa méprise? Lorsque l'on prend lecture de la réaction ibérique face à la supplication polie (chose rare) du ministre des affaires étrangères marocain, on peut prédire, sans risque de se tromper, que le litige des présides de Ceuta et Mellila est reparti pour des siècles, comme celui sahraoui.
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Maria Teresa Fernandez de la Vega n’en démord pas. La vice-présidente du gouvernement ibérique a réaffirmé mardi sur la radio nationale (RNE), le « caractère espagnol » de ces enclaves du nord du Maroc, en réponse à un appel du Royaume chérifien à l’ouverture du dialogue sur le sujet. Lundi, Abbas El Fassi, le Premier ministre marocain avait en effet appelé l’Espagne à « engager un dialogue » pour « mettre fin à l’occupation » de Ceuta et Melilla. Le chef du gouvernement avait en outre demandé à Madrid de s’engager dans le cadre d’une « vision futuriste », pour « l’intérêt commun » et le « bon voisinage » entre les deux pays. Peine perdue pour le Maroc. Mercredi, l’Espagne s’est montrée ferme sur la question et ne souhaite pas revenir sur le statut de ces deux villes. « Le Maroc connait cette position », a réitéré la vice-présidente.
Source:
http://www.**********/article19807.html
Pourquoi pas et d'autant qu'il parle espagnol, une économie pour le Maroc dont l'instruction n'est pas son fort puisqu'il il détient l'un des records du monde d'analphabètes.
Seulement à quel prix reviendra au Maroc sa méprise? Lorsque l'on prend lecture de la réaction ibérique face à la supplication polie (chose rare) du ministre des affaires étrangères marocain, on peut prédire, sans risque de se tromper, que le litige des présides de Ceuta et Mellila est reparti pour des siècles, comme celui sahraoui.
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Maria Teresa Fernandez de la Vega n’en démord pas. La vice-présidente du gouvernement ibérique a réaffirmé mardi sur la radio nationale (RNE), le « caractère espagnol » de ces enclaves du nord du Maroc, en réponse à un appel du Royaume chérifien à l’ouverture du dialogue sur le sujet. Lundi, Abbas El Fassi, le Premier ministre marocain avait en effet appelé l’Espagne à « engager un dialogue » pour « mettre fin à l’occupation » de Ceuta et Melilla. Le chef du gouvernement avait en outre demandé à Madrid de s’engager dans le cadre d’une « vision futuriste », pour « l’intérêt commun » et le « bon voisinage » entre les deux pays. Peine perdue pour le Maroc. Mercredi, l’Espagne s’est montrée ferme sur la question et ne souhaite pas revenir sur le statut de ces deux villes. « Le Maroc connait cette position », a réitéré la vice-présidente.
Source:
http://www.**********/article19807.html
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