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BHL Fait L’Eloge De La Démocratie et De L’Armée Israélienne

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  • BHL Fait L’Eloge De La Démocratie et De L’Armée Israélienne

    BHL Fait L’Eloge De La Démocratie et De L’Armée Israélienne
    31 Mai 2010

    « Je n’ai jamais vu une armée aussi démocratique, qui se pose autant de questions morales… »


    Bernard Henri Levy à Tel Aviv la veille au soir de l’assaut israélien terriblement meurtrier contre la flotte internationale humanitaire Freedom Flotilla dans les eaux internationales qui a fait 20 morts et 50 blessés. Boycott total de BHL et d’Israël.


    Comble de l’immoralité alors même que des commandos de l’armée israélienne s’apprêtaient à attaquer dans les eaux internationales la Freedom Flotilla * comprenant 6 bateaux environ 700 passagers et 10 000t d’aide humanitaire venue pour briser le blocus de Gaza, BHL dans son discours d’ouverture dimanche soir 30/05/2010 d’une conférence organisée par l’ambassade de France à Tel Aviv en partenariat avec le quotidien israélien Haaretz sur « Démocratie et Défis » -ce qui en soi est déjà choquant tant sur la thématique que du fait qu’on est en période de rigueur et que Kouchner gaspille l’argent des contribuables français - a déclaré :

    « Je n’ai jamais vu une armée aussi démocratique, qui se pose autant de questions morales. Il y a quelque chose d’ inhabituellement vital dans la démocratie israélienne ».

    BHL à l’initiative de la création d’une nouvelle organisation de soutien au Sionisme en Europe JCall dont l’objectif principal est de minimiser les effets extrêmement négatifs des crimes de guerre commis par Israël surtout après les accusations portées par le Rapport Goldstone, était à l’honneur - voyage hébergement aux frais de la Princesse - hier soir dans les salons de l’ambassade de France à Tel Aviv.

    Critiqué en Israël par les partisans de la colonisation totale de la Palestine pour son soutien à J Call, BHL a répondu que comme quelqu’un qui était en Israël pendant la Seconde Guerre du Liban en 2006 :

    « J’aimerai que les gens réfléchissent deux fois avant de s’imaginer que je serais capable de signer un texte inamical à l’encontre d’Israël. Le peuple juif a inventé la démocratie. C’est absurde d’empêcher l’idéal démocratique de s’exprimer dans des discussions sur les évènements actuels - c’est pathétique ».

    Au début de son discours, BHL a fait l’éloge de la démocratie israélienne, disant que :

    « Israël représente une île qui est en fait un miracle de liberté, de démocratie et un rejet de l’ignorance fasciste ».

    « Le Sionisme est le seul « isme » du 20ème siècle qui n’a pas échoué devenant une caricature. De tous les grands mouvements… Le peuple qui a construit Israël sorti de la noirceur du Nazisme, du Communisme et des nations totalitaires arabes, a inventé une démocratie qui a fonctionné en l’espace que quelques jours ».

    L’aveuglement et le soutien inconditionnel à Israël par BHL n’est pas lui pathétique mais totalement abject.

    Nous appelons à boycotter BHL partout où il se trouve. Un tel aveuglement n’a d’égal que celui de certains intellectuels complaisants à l’époque de l’Allemagne Nazie.

    Pas de BHL sur nos chaînes TV et radios publiques. Plus un Euro d’argent public pour celui qui fait l’apologie des crimes de guerre israéliens.

    *Le convoi international d’aide humanitaire a été attaqué par des commandos israéliens hélitreuillés et transportés à bord de canots pneumatiques. 20 personnes auraient été tuées et plus de 50 blessées dont le Sheikh Raed Salah l’une des figures palestiniennes de l’opposition au Sionisme à l’intérieur de l’entité sioniste. Salah aurait succombé à ses blessures mais les blessés ayant été évacués sur des hôpitaux israéliens l’armée criminelle censure les informations sur le nombre réel de victimes. Si cette information est- confirmée on peut craindre une explosion de violence chez les palestiniens voire même une troisième Inti Fada. Le journaliste israélien Gideon Levy très critique à l’égard de la politique de son gouvernement avait dans un article publié récemment dans le Haaretz mis en garde contre un tel assaut, un acte de folie pure un suicide diplomatique certain pour l’entité sioniste.

    Selon la presse turque certains soldats israéliens possédaient une liste d'activistes à assassiner. L'un d'entre eux a perdu cette liste. Parmi les 20 morts on compterait 15 turcs (black out imposé par la censure de l'armée israélienne sur le nombre réel de victimes) d'où la réaction des plus cinglantes de la Turquie qui a rappelé son ambassadeur à Tel Aviv demandé une réunion d'urgence du CSONU. Le premier ministre Erdogan a interrompu sa visite au Chili et est rentré d'urgence de même que le ministre des affaires étrangères qui se trouvaient aux US et qui s'est rendu à l'ONU. Le chef d'état major de la marine et celui de toutes les forces armées turques ont été convoqués par le vice premier ministre Bulent Arinc qui remplace Erdogan en attendant son retour. Le gouvernement turc a prévenu Israël de "conséquences irréparables" tandis que la population manifestait contre l'ambassade israélienne et retenait prisonnier l'ambassadeur israélien dans sa résidence considérant l'attaque de la Freedom Flotilla comme une déclaration de guerre et exigeant de son gouvernement qu'il donne une leçon à Israël.

  • #2
    Il y a une énorme débauche d'énergie (BHL, Finkelkraut et bien plus dangereux) pour à remettre en cause toutes les résolutions condamnant le sionisme et le catégorisant comme doctrine de haine et de racisme.

    BHL à l’initiative de la création d’une nouvelle organisation de soutien au Sionisme en Europe JCall dont l’objectif principal est de minimiser les effets extrêmement négatifs des crimes de guerre commis par Israël

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    • #3
      Ce personnage a manqué une occasion de se traire comme disait le bon Chirac. En ce moment c'est non seulement vulgaire mais encore criminel d'ouvrir sa bouche de cette maniere.

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      • #4
        le philosophe inconnu des philosophe ou le philosophe sans idee

        par Pascal Boniface, IRIS, 22 octobre 2007
        Personne n’oserait imaginer Floyd Landis ou Lance Armstrong prendre la tête d’un grand débat sur la lutte contre le dopage. Pourtant, nul ne semble s’offusquer que Bernard-Henri Lévy soit devenu la référence de celui sur la place de la morale en politique nationale ou internationale et de la refondation de la gauche.
        Comment comprendre que quelqu’un qui n’a jamais exprimé de préoccupations sociales puisse jouer ce rôle ? Comment expliquer surtout que celui dont plusieurs livres d’auteurs différents ont mis à jour les multiples mensonges (de ses rencontres avec Massoud, à sa ceinture noire de judo) puisse encore être crédible ? Sans doute suis-je d’une naïveté infantile, mais je pensais qu’on ne pouvait être à la fois un menteur multirécidiviste et se prendre pour une figure morale. Comment quelqu’un ayant une pensée binaire (bien-mal, ami-ennemi, eux-nous), puisse passer pour un intellectuel incontestable ? Comment expliquer que dans un pays qui n’est pas totalitaire, nul ne se sente la force de refuser de l’inviter pour évoquer son livre ?
        De deux choses l’une, soit les journalistes vedettes qui le font n’ont entendu parler d’aucun des ouvrages qui méthodiquement ont démonté le système BHL, et on peut se poser des questions sur leur compétence. Soit ils invitent néanmoins BHL en connaissance de cause et c’est leur conscience professionnelle qui est en cause. Certes, c’est probablement la simple prudence qui les pousse à agir ainsi. Pourquoi risquer de se fâcher avec un homme qui a à la fois la rancune tenace et de solides appuis dans le monde des affaires, de la presse et de l’édition, qui récompense les services rendus et punit sévèrement ce qu’il considère comme des outrages ? Mais où est alors le respect dû au public ? Est-il éthiquement acceptable de le tromper par peur des représailles de BHL ou dans l’espoir de ses renvois d’ascenseur ?
        A chaque fois que BHL a été interviewé, il l’a été avec admiration et déférence. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’il n’a pas été poussé dans ses retranchements face à ses nombreuses contradictions, à ses manquements et erreurs pourtant dûment répertoriés. Et les quelques fois où il n’était pas le seul invité, les précautions semblent avoir été prises pour qu’aucun autre participant ne puisse présenter le risque de l’attaquer frontalement.
        Comment expliquer que quelqu’un qui, ouvertement ou insidieusement, fait la chasse à ceux qui avaient pour défaut de ne pas l’admirer assez, ou qui ont commis le crime de critiquer ses deux passions les plus sincères (lui-même et Israël) puisse passer pour un héros de la liberté ?
        Pour BHL, l’anti-américanisme est « la métaphore de l’antisémitisme ». Cela n’est pas faux, mais pas dans le sens qu’il invoque. De plus en plus en effet, ceux qui critiquent la politique extérieure américaine sont traités d’anti-américains de la même façon que ceux qui critiquent le gouvernement israélien sont accusés d’antisémitisme. C’est-à-dire qu’on pratique un amalgame entre la critique de l’action d’un gouvernement et l’hostilité ou la haine face à un peuple. Le tout, bien-sûr en proclamant le principe de la liberté de critiques dont il veut se conserver le monopole pour en fait l’exercer assez peu. Pourquoi célébrer autant les Etats-Unis et essayer d’interdire au maximum toute critique de sa politique extérieure ? Pourquoi cette accusation infamante (et censée être disqualifiante) d’antiaméricanisme par mimétisme avec l’accusation d’antisémitisme ? Certes en 1985 BHL avait déjà signé une pétition en faveur des « contras » nicaraguayens dont le texte émanait d’une officine de la CIA [1]. Mais au-delà de cette ancienne connexion, il est un autre motif qui pousse BHL à diaboliser ceux qui critiquent les Etats-Unis. Tout simplement parce que malgré tous ses défauts, le gouvernement Bush a l’immense avantage de n’avoir jamais exercé de pressions sur le gouvernement israélien. Que les Etats-Unis, par exemple, mettent en pratique le rapport Baker, qu’ils cessent d’être des soutiens inconditionnels du gouvernement israélien, et BHL sera moins pro-américain.
        BHL déploie une énergie considérable à nier que le conflit israélo-palestinien est un problème stratégique majeur. Il a même été jusqu’à écrire que c’était au Darfour que se jouait le choc des civilisations. Pourtant, c’est bien la grille de lecture du conflit israélo-palestinien qui détermine tous les jugements qu’il peut émettre sur la scène nationale. Il est pour la paix, mais fait toute confiance au gouvernement israélien pour la mettre en œuvre sans pressions extérieures. Ceux qui sont d’accord avec lui sur ce point sont des figures morales. Ceux qui ne le sont pas sont des antisémites. Car si BHL se dit pour la paix et en faveur de la création d’un Etat palestinien, il entend non seulement n’exercer aucune critique à l’égard du gouvernement israélien et de surcroît s’avère implacable pour ceux qui osent le faire.
        BHL est en fait partagé entre son désir d’apparaître comme un intellectuel universaliste et sa dérive communautariste qu’il ne parvient pas à maîtriser. En effet, il n’applique pas les mêmes critères aux différents conflits et crises en cours et à celui du Proche-Orient, ce qui devrait donc l’empêcher de se revendiquer comme intellectuel universaliste. Il prouve au contraire son communautarisme. Il s’insurge à juste titre, que l’on ne montre plus des images de la répression birmane, mais s’insurge à l’inverse qu’on puisse montrer des images de la répression des Palestiniens. Il condamne à juste titre les bombardements de populations civiles tchétchènes par l’aviation russe mais condamne ceux qui critiquent les bombardements de l’aviation israélienne sur la population palestinienne ou libanaise.
        Au cours de la guerre du Liban, il s’est même ému que l’on puisse juger disproportionnée la réaction israélienne à l’enlèvement par le Hezbollah de deux soldats israéliens, ce qui était pourtant la critique minimale à apporter, les différentes organisations humanitaires, parlant elles de crimes de guerres (tant pour le Hezbollah que pour l’armée israélienne par ailleurs). Il soutient le principe de liberté totale d’expression pour Redeker, mais celui d’interdiction totale pour Ramadan de pouvoir s’exprimer en France. Ecartelé entre sa prétention universaliste et sa réalité communautariste niée , BHL s’en sort en tirant à boulets rouges sur ceux qui dans leurs réflexions, leurs écrits mettent en avant cette contradiction.
        Tant qu’il n’y aura pas une paix juste au Proche-Orient, BHL ne pourra pas concilier son universalisme affiché et son communautarisme, c’est pourquoi il est aujourd’hui extrêmement agressif. La meilleure défense, c’est l’attaque. Le communautarisme de BHL est déjà en soit problématique. Loin d’en être gêné, il fait porter la critique sur ceux qui, réellement universalistes, ont la même grille de lecture pour le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, qu’il s’agisse du Proche-Orient, du Caucase ou de l’Asie. C’est proprement inacceptable. Ce que BHL appelle l’antisémitisme de gauche, c’est tout simplement ceux qui estiment que le conflit du Proche-Orient ne fait pas exception aux règles de droit international et du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, même en tenant compte d’une histoire particulièrement douloureuse du peuple juif.
        BHL se transforme alors en maccarthyste, je suis personnellement bien placé pour en témoigner. Parce qu’il ne souhaite pas que la France ait une politique active au Proche-Orient ou marque son indépendance face aux Etats-Unis, il traite de maurrassien toute personne coupable de vouloir l’inverse. De Régis Debray à Rony Brauman, en passant par Jean-Pierre Chevènement et Henri Guaino [2] , il veut disqualifier ceux qui ne sont pas d’accord avec lui, utilisant les arguments moraux non pas pour débattre, mais pour censurer. BHL a le droit de ne pas aimer une France affirmant son autonomie stratégique, mais pas de taxer de racistes ceux qui ne partagent pas ses vues. Une fois encore, la morale est évoquée pour brouiller les cartes et pour des desseins peu dignes.
        BHL est un symbole actif de cette coupure entre le peuple et les élites. BHL est nu moralement. Courtisane et craintive, la majorité de la presse fait semblant de le voir richement vêtu et s’ébahit devant le faste de ses habits neufs. Le public, lui, est partagé entre l’écœurement et la rigolade.
        Pascal Boniface, directeur de l’Institut de Relations Internationales et Stratégiques. Il vient de publier « 50 idées reçues sur l’Etat du monde aux éditions Armand Colin.
        "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

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        • #5
          bhl: imposture intellectuelle

          pascal boniface avril 2010
          S’il y a une once de sublime dans le personnage grandiloquent qu’est BHL, elle se niche certainement dans son art consommé de l’affabulation et de ses fiascos en beauté, qui entraîneraient la chute de n’importe quel autre funambule de la pensée, sauf de l’intouchable idole des médias maintenu en équilibre sur son fil de la mystification.
          Car le requin carnivore des affaires, qui assure son invulnérabilité en achetant la fidélité de ses réseaux, en plus de disserter à tout vent, de faire et défaire l’opinion à tout-va, traque, éreinte, vilipende, condamne au bûcher et donc au silence toutes celles et ceux qui ont l’outrecuidance d’éclairer le débat public d’une autre vision que la sienne, surtout lorsqu’elle scrute l’horizon du Proche-Orient.
          Dans notre société française sous l’emprise de despotes de l’esprit, le prisme intellectuel de BHL est le seul qui semble faire autorité... Un comble de l’intolérance pour le triste sieur aux envolées Voltairiennes, qui doivent faire se retourner dans sa tombe le polémiste de génie !
          Recourant à la médisance comme d’autres font un compliment, BHL a déchaîné encore une fois sa tyrannie contre Pascal Boniface, Directeur de l’IRIS. Et en la matière, tous les moyens sont bons, les plus machiavéliques et ignominieux soient-ils.
          Au cours d’un débat organisé par Radio Communauté juive le 23 mars, BHL, éructant son racisme anti-arabe sur les ondes, s’en est pris à sa bête noire irréductible, qualifiée de « triste personnage », en lui attribuant des propos mensongers à caractère pro-palestinien.
          Pascal Boniface, qui a déjà eu maille à partir avec lui dans le passé, connaît suffisamment les mécanismes d’une « escroquerie intellectuelle » indigne et inacceptable pour les démonter avec talent. Dans une diatribe à faire vaciller l’équilibriste emphatique de la pensée unique, le Directeur de l’IRIS dénonce un multirécidiviste de l’imposture, qui préfère le CAC 40 aux débats contradictoires, n’excellant que dans un seul domaine : la diffamation de ses interlocuteurs.
          Extraits d’une réponse du berger à la bergère, parue sur le site des Affaires Stratégiques, qui ne confine pas la probité intellectuelle aux derniers boudoirs où l’on cause :
          "Pire encore, il cherche à créer un réflexe de peur au sein de la communauté juive en lui inventant des ennemis inexistants, négligeant ainsi ses véritables ennemis. Faisant donc sciemment et consciemment de la désinformation, il trahit ainsi son devoir d’intellectuel – qui est d’éclairer le débat – et son idéal proclamé d’universalisme en surjouant la carte du communautarisme.
          Sur le plan international, il se dit pour la paix. Une fois de plus ce sont de sa part, des paroles sans aucun ancrage dans la réalité. Il ne va bien sûr pas dire qu’il est pour la guerre, même s’il a soutenu les deux dernières lancées par Israël et dont les populations civiles libanaises et palestiniennes ont été les principales victimes. Il s’attaque régulièrement à ceux qui, en France, sont pour la paix mais estiment que pour y arriver, il est nécessaire que le gouvernement israélien change de politique. Il n’a jamais eu de lien avec le camp de la paix en Israël et encore moins avec les différentes et admirables ONG qui luttent pour faire reconnaître le droit des Palestiniens.
          Il a toujours été du côté du gouvernement israélien, que celui-ci s’engage dans de réelles négociations, comme ce fut le cas sous Rabin, ou qu’il refuse de le faire, comme c’est le cas de Netanyahu. Son approche est donc ultra-communautariste. Mais comme BHL veut jouer aux consciences universelles, il n’a d’autre recours que de traiter d’antisémites ceux qui dénoncent ses contradictions
          "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

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          • #6
            Pov BHL ! Il ne sait plus à quel saint se vouer...

            Selon lui, les juifs ont inventé la démocratie et non plus les Grecs et ce fait doit les dédouaner de tout...

            Intellectuel à la noix.

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            • #7
              Pov BHL ! Il ne sait plus à quel saint se vouer...
              Selon lui, les juifs ont inventé la démocratie et non plus les Grecs et ce fait doit les dédouaner de tout...
              Intellectuel à la noix.
              Il ne fait aucun doute que BHL est instrumentalisé par la fameuse....hasbara isrélienne !

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              • #8
                BHL trouve comme la plupart des sionistes qu'il n'y a pas eu beaucoup de morts et il fait donc l'éloge du succès de "la bataille navale" au profit de tsahal.

                De toute façon tout ceux qui n'acceptent pas le comportement de ses compatriotes sont des antisémites qu'il faudra de toute façon éliminer tôt ou tard.

                >>>Intellectuel à la noix.

                La noix c'est bon, mais lui il pue.

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                • #9
                  BHL:
                  « Je n’ai jamais vu une armée aussi démocratique, qui se pose autant de questions morales. Il y a quelque chose d’ inhabituellement vital dans la démocratie israélienne ».
                  Vous avez vu quelqu'un que l'odeur de son kaka repugne au point de se boucher le nez??
                  Dernière modification par papi, 31 mai 2010, 22h47.
                  Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots."
                  Martin Luther King

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                  • #10
                    BHL : Brââââllll, Hmmmmarrrrr, L..... (trouve pas pour le L !!! )

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