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Le Mali ouvre ses frontières aux algériens pour traquer le GSPC

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  • Le Mali ouvre ses frontières aux algériens pour traquer le GSPC

    Signe de la forte coopération entre les États du sahel contre les terroristes:
    Le Mali ouvre ses frontières aux algériens pour traquer le GSPC

    Selon des sources citées par l’agence Reuters, le gouvernement du Mali a autorisé, jeudi, les forces de sécurité algériennes à poursuivre les auteurs de l’embuscade meurtrière qui a coûté la vie, mercredi dernier, à 11 gardes frontières dans la région de Tinzaouatine, en territoire malien. “Les services de sécurité algériens peuvent traverser la frontière malienne et poursuivre les terroristes où qu’ils se trouvent en territoire malien”, a indiqué la même source.

    Selon les observateurs, cette offre reflète la détermination des États du sahel à coopérer dans le cadre de la lutte antiterroriste surtout que Al-Qaïda Maghreb veut utiliser cette région en tant que base-arrière.

    La même source a également indiqué que les autorités algériennes et leurs homologues du Mali sont en contact permanent avant de réfléchir sur les mesures à prendre afin de démanteler les réseaux islamistes implantés dans le grand-sud.

    Mercredi, un groupe terroriste, dont le nombre n’a pas été précisé, a tendu une embuscade à une patrouille des gendarmes gardes frontières tuant sur le coup 11 d’entres eux et blessant 3 autres. Le lieu de l’embuscade n’est pas fortuit puisqu’il ne serait pas loin du quartier général désigné qui devait être mis en place pour la lutte antiterroriste dans le sahel.

    Des experts en matière de sécurité affirment que Al-Qaïda serait en train de mettre en place une véritable base dans le désert en exploitant la faiblesse dans la surveillance des frontières que partagent l’Algérie, le Mali, la Mauritanie et le Niger. L’Algérie n’a pas encore accepté l’offre malienne.

    Par : Reuters/R. N

    © Copyright Liberté

  • #2
    ATT joue un drole de petit jeu...

    a trop vouloir fricotter avec nimporte qui il va finir en exil....

    comme celui quil a renversé pour paqrvenir au pouvoir en 1991....

    Le 26 mars 1991, un coup d’État militaire renverse Moussa Traoré. Un Comité de transition pour le salut du peuple est mis en place avec à sa tête le Lieutenant Colonel Amadou Toumani Touré.

    En 1992, Moussa Traoré est condamné à mort pour « crimes politiques ». Il est de nouveau condamné à mort, avec son épouse Mariam Traoré en 1999 pour « crimes économiques » pour le détournement de plusieurs centaines de millions de francs CFA. Ces condamnations à la peine capitale seront commuées en prison à perpétuité par le président Alpha Oumar Konaré. Le 29 mai 2002, au nom de la réconciliation nationale, Alpha Oumar Konaré a gracié Moussa Traoré et son épouse Mariam Traoré.

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