Imaginez un instant ce à quoi ressemblera le champ de bataille du futur : avions sans pilote volants dans les airs, robots de combat sur le terrain, des missiles intelligents traquant leurs cibles. Maintenant, imaginez que tout cela ne peut être détecté sur les écrans radars.
Cela peut semble être de la fiction mais cela se passe pourtant bien. Une société israélienne appelée Nanoflight développe actuellement une peinture spéciale qui rend les drones, les missiles, les engins de combats tout simplement invisibles. Ou, pour être plus précis, ils deviennent très difficile à détecter.
Le stade critique, dans le développement de la peinture, qui a tee développée dans un laboratoire de nanotechnologies, a été récemment conclu, et une série de tests a été menée avec succès cette semaine. Pour les essais, une mince couche de la matière a été peinte sur des missiles factices, et les ondes radar qui leur était envoyées ont eu des difficultés à les détecter.
Les particules de peinture ne font pas que les missiles disparaissent complètement des radars, mais font qu'il est extrêmement difficile d'identifier avec certitude l'objet comme un missile. A l'avenir, cette découverte permettra à un missile ou un avion de diminuer significativement sa signature radar.
Même si ils ne disparaissent pas entièrement des écrans, cette technologie est une méthode beaucoup plus rentable de se soustraire à la détection radar que l'achat de l'avion furtif américain pour 5 milliards de dollars.
Comment cela fonctionne ? Afin de localiser les objets, l'émetteur radar envoie des ondes électromagnétiques. Lorsque ces ondes heurtent un objet, elles sont dispersées dans toutes les directions, avec certaines d'entre elles qui sont renvoyées vers le radar lui-même. La réception d'un signal régulier indique la présence d'un objet.
Les nanotechnologies développées enveloppent l'objet, absorbent les ondes radio émises par le radar, et les libèrent comme de l'énergie thermique dispersée dans l'espace. Ce faisant, le matériel déguise l'objet, rendant difficile son identification par le radar.
« Nous n'en sommes qu'au début, et découvrons de nouveaux mondes tous les jours, » a déclaré Eli Shaldag, un ancien responsable des forces aériennes israéliennes qui a travaillé sur le missile Hetz (Arrow). Il fait actuellement partie du département des applications militaires de Nanoflight.
« Il s'agit d'une percée avec le potentiel de changer les règles du jeu sur le champ de bataille, » a déclaré Shaldag.
Juif.org
Cela peut semble être de la fiction mais cela se passe pourtant bien. Une société israélienne appelée Nanoflight développe actuellement une peinture spéciale qui rend les drones, les missiles, les engins de combats tout simplement invisibles. Ou, pour être plus précis, ils deviennent très difficile à détecter.
Le stade critique, dans le développement de la peinture, qui a tee développée dans un laboratoire de nanotechnologies, a été récemment conclu, et une série de tests a été menée avec succès cette semaine. Pour les essais, une mince couche de la matière a été peinte sur des missiles factices, et les ondes radar qui leur était envoyées ont eu des difficultés à les détecter.
Les particules de peinture ne font pas que les missiles disparaissent complètement des radars, mais font qu'il est extrêmement difficile d'identifier avec certitude l'objet comme un missile. A l'avenir, cette découverte permettra à un missile ou un avion de diminuer significativement sa signature radar.
Même si ils ne disparaissent pas entièrement des écrans, cette technologie est une méthode beaucoup plus rentable de se soustraire à la détection radar que l'achat de l'avion furtif américain pour 5 milliards de dollars.
Comment cela fonctionne ? Afin de localiser les objets, l'émetteur radar envoie des ondes électromagnétiques. Lorsque ces ondes heurtent un objet, elles sont dispersées dans toutes les directions, avec certaines d'entre elles qui sont renvoyées vers le radar lui-même. La réception d'un signal régulier indique la présence d'un objet.
Les nanotechnologies développées enveloppent l'objet, absorbent les ondes radio émises par le radar, et les libèrent comme de l'énergie thermique dispersée dans l'espace. Ce faisant, le matériel déguise l'objet, rendant difficile son identification par le radar.
« Nous n'en sommes qu'au début, et découvrons de nouveaux mondes tous les jours, » a déclaré Eli Shaldag, un ancien responsable des forces aériennes israéliennes qui a travaillé sur le missile Hetz (Arrow). Il fait actuellement partie du département des applications militaires de Nanoflight.
« Il s'agit d'une percée avec le potentiel de changer les règles du jeu sur le champ de bataille, » a déclaré Shaldag.
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