Quoi?? ils ont osé mettre cet article dans un journal? et bien c'est foutu ! Ca dépasse l'imaginaire. Si lui est un journaliste alors je suis astronaute.
Annonce
Réduire
Aucune annonce.
quant un journaliste algerien pete les plombes
Réduire
X
-
quant un journaliste algerien pete les plombes
A lire les différents posts de ce topic, tous les "plombes" ont exploséce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément
Commentaire
-
Au Maroc, plusieurs organisations ont dépoussiéré brusquement et en chœur leur patriotisme et s’amusent, depuis quelque temps, à réclamer le retour au Grand Maroc des villes espagnoles de Ceuta
de Melilla,
Une revendication des plus banales qui ressort chaque fois que Rabat a besoin, pour une raison ou pour une autre, de faire chanter Madrid.
Donc, on procède comme à l’accoutumée. Le makhzen attaque, se plaint, accuse et met le maximum de pression. Donc, quelques ressortissants marocains bien inspirés se sont arrangés de mettre hors de leurs gonds les policiers espagnols à Melilla et de médiatiser à fond les incidents ainsi créés.
On organisa à Nador, et même à Rabat, des manifestations devant les représentations espagnoles et on y brandit les atouts classiques : on demanda aux autorités du pays de couper l’eau et l’électricité aux deux présides espagnoles alimentées effectivement par le Maroc.
Pis, on demanda au gouvernement marocain de libérer la route et de ne plus se mettre en travers des Subsahariens qui comptent rejoindre la terre espagnole.
Les Espagnols qui connaissent cette musique s’attellent à tempérer l’ardeur marocaine et lui tiennent à peu près les propos qu’on tiendrait à une maîtresse fâchée.
Avec nous, les Marocains nous disent que ça y est, ils ont avalé le Sahara occidental
et que maintenant, c’est au tour du Sahara oriental. Une mentalité pire que celle de leur allié Israël, des pensées qui démontrent qu’ils perdent le sens de la mesure et de la mémoire. Alors qu’il leur serait très bénéfique de toujours se rappeler que ce qu’ils appellent le Sahara oriental nous a coûté quelques années de guerre supplémentaires
une puissance qui se place aujourd’hui au Maroc comme le protecteur, le tuteur.
Aujourd’hui, ce que les Marocains appellent le Sahara oriental est un territoire tout à fait algérien, comme le prouve le test référendaire de 1962. Un test qu’on prévoit aussi au Sahara occidental, inch’Allah !
parfois la vérité choque mais reste toujours bénéfiquepeut être qu'elle vous guérira de la propagande du makhzen
que vous le vouliez ou nonDernière modification par kenzy, 13 août 2010, 18h24.
Commentaire
-
De toutes les façons, les plombes (sic) pètent tout le temps...
A lire les différents posts de ce topic, tous les "plombes" ont explosé
Et pas que de ce topic !
Mais soyons tolérants , les circonstances atténuantes ne manquent pas : canicule (la température a souvent frolé le 50° Celcius ces derniers temps dans notre région), le jeûne....
Commentaire
-
Et pas que de ce topic !
Mais soyons tolérants , les circonstances atténuantes ne manquent pas : canicule (la température a souvent frolé le 50° Celcius ces derniers temps dans notre région), le jeûne....Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay
Commentaire
-
Salam RoboCop et Bon Ramadan ,
Elle se situe à quel niveau ma "bourde" ?
Merci
La bourde c'est "moul ettopic" qui l'a commis dans le titre, ce n'est pas toi.Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay
Commentaire
-
revendications légitimes
En tant qu' Algerien je trouve que les revendications de nos amis Marocains sur Melila et Ceuta sont plus que légitime d'un point de vue historique et géographique surtout que ces deux port permettent aux espagnols de piller tranquillement la méditerranée au niveau pèche .
En effet a partir de ces ports "Espagnol" l'Espagne a un couloir de 12 milles (19 kilomètres ) d'eaux territoriale .
J'aimerai voir si nos pécheurs , Algériens ou Marocains , allait pécher au large des cotes Espagnol comment ils y seraient reçut s et pourtant , grâce a ces deux enclaves et a quelques ilots stratégique l'Espagne contrôle de large zone de pèche .
Je crois qu'il faut pas se tromper le retour de Melilia et Ceuta dans le giron Marocain c'est la fin du contrôle d'une partie des cotes maghrébine par les européens"tout a été dit , tout reste a penser"
Alain
Commentaire
-
En tant qu' Algerien je trouve que les revendications de nos amis Marocains sur Melila et Ceuta sont plus que légitime d'un point de vue historique et géographique surtout que ces deux port permettent aux espagnols de piller tranquillement la méditerranée au niveau pèche .
En effet a partir de ces ports "Espagnol" l'Espagne a un couloir de 12 milles (19 kilomètres ) d'eaux territoriale .
J'aimerai voir si nos pécheurs , Algériens ou Marocains , allait pécher au large des cotes Espagnol comment ils y seraient reçut s et pourtant , grâce a ces deux enclaves et a quelques ilots stratégique l'Espagne contrôle de large zone de pèche .
Je crois qu'il faut pas se tromper le retour de Melilia et Ceuta dans le giron Marocain c'est la fin du contrôle d'une partie des cotes maghrébine par les européens" Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm
Commentaire
-
le fait de vouloir récupérer ces deux villes. meme de pauvres marocains qui se font tabasser au poste frontiére deviennent des agents du makhzen ..? pas de cette façon
? y a moult procédure diplomatique pour arriver à resoudre ce problème d occupation ( 5 siecles )
A qui sait comprendre , peu de mots suffisent
Commentaire
-
Il est quand même incroyable qu'en 2010, Ceuta et Melilia n'aient toujours pas été rendus au Maroc. Ahurissant de voir que ces colonies existent encore.
Ces deux villes ainsi que l'îlot du persil doivent tout simplement être rendues au Maroc.
Commentaire
-
Rabat et Madrid se disputent un îlot désertique.
l'ilot de persil n'appartient pas à l'Espagne..................il est marocain de faite et tu peut y voir toujours des gendarmes et des pécheur marocain toute l'année.
L’information a été communiquée tard dans la soirée de jeudi par l’agence de presse officielle marocaine. La MAP, qui citait «un haut responsable du ministère des Affaires étrangères», affirmait en effet que le Maroc avait décidé d’installer «un poste de surveillance» sur l’îlot Leila, aussi appelé île du Persil, situé à une quarantaine de kilomètres de la ville de Tanger, «à l’intérieur des eaux territoriales du royaume». Les autorités marocaines, qui communiquent rarement sur leurs activités, ont même justifié une telle initiative en l’inscrivant dans «le cadre d’une campagne de lutte anti-terroriste et anti-émigration clandestine dans la zone du détroit de Gibraltar». Une douzaine de soldats marocains, sous la direction d’un commandant, avaient en effet débarqué jeudi après-midi sur cet îlot désertique d’une superficie de 13,5 hectares et habité par quelques chèvres. Ils y avaient dressé deux tentes et planté deux drapeaux marocains.
Dès jeudi soir, un bâtiment de la marine espagnole et une vedette de la guardia civil se sont approchés de l’îlot pour réclamer, en vain, le départ des militaires marocains. Sur le plan politique, le gouvernement de José Maria Aznar, dont les rapports avec les autorités marocaines sont tendus depuis plusieurs mois, a violemment condamné, vendredi matin, la présence de l’armée marocaine sur l’île du Persil et a exigé de Rabat de «prendre les mesures nécessaires pour un retour à la normale». Pour Madrid en effet, cette situation représente «une modification du statu quo actuel et ne correspond pas à la volonté de maintenir des relations amicales dans un esprit de coopération et de respect mutuel». Le nouveau chef de la diplomatie espagnole, Ana de Palacio, a par ailleurs vivement rejeté l’argument de Rabat sur la présence de soldats marocains sur l’île du Persil. «Qu’on m’explique en quoi la lutte anti-terroriste et anti-émigration clandestine a à voir avec l’installation d’une tente, d’un drapeau et de quelques membres de l’armée sur cet îlot», s’est-elle insurgée. Elle n’a d’ailleurs pas hésité à qualifier la situation d’«incident sérieux».
Cette position espagnole est largement partagée par la Commission européenne pour qui la présence de militaires marocains sur l’île du Persil est une «violation de l’intégrité territoriale espagnole». Bruxelles estime en effet qu’il s’agit d’une «question de souveraineté avant toute chose» et affirme que le problème a atteint «un stade délicat». Mais si elle a condamné l’initiative marocaine, Bruxelles s’est en revanche bien gardée de s’impliquer directement dans un différend qu’elle considère comme bilatéral. «C’est clairement un incident regrettable, a ainsi déclaré un porte-parole de la Commission européenne, mais il doit être réglé bilatéralement entre Rabat et Madrid». Le Maroc, malgré les appels de Madrid à «un retour à la normale», a affirmé qu’il ne retirerait pas ses militaires de l’île du Persil. Rabat estime, en effet, que cet îlot a été libéré en 1956, à l’occasion de la fin du protectorat espagnol sur le nord du pays.
Une situation tendue depuis des mois
L’occupation de l’île du Persil intervient une semaine après que le ministère marocain des Affaires étrangères a protesté auprès de Madrid à propos de la présence dans ses eaux territoriales de cinq navires de la marine espagnole. Rabat avait même convoqué l’ambassadeur espagnol qui avait justifié cette présence comme étant une simple excursion d’un groupe de jeunes lauréats de la marine espagnole. Les relations entre les deux pays n’ont cessé de se dégrader depuis notamment le rappel pour consultation, en octobre dernier, de l’ambassadeur du Maroc à Madrid. Officiellement Rabat entendait protester contre «l’accumulation de plusieurs incidents regrettables» et n’a depuis pas encore envoyé de représentant dans la capitale espagnole.
Les litiges entre les deux pays sont nombreux et concernent notamment l’émigration clandestine vers l’Espagne, à partir des côtes marocaines. Madrid estime en effet que le Maroc ne fait pas grand chose pour endiguer le flot croissant des clandestins et ne punit pas assez les mafias marocaines à l’origine de ce trafic. Ils concernent également le non renouvellement de l’accord de pêche qui liait le Maroc à l’Europe jusqu’en novembre 1999 et dont les pêcheurs andalous étaient les principaux bénéficiaires. Rabat accuse de plus Madrid de favoriser les thèses indépendantistes du Front Polisasio qui dispute au Maroc la souveraineté sur le Sahara occidental, une ancienne colonie espagnole.
Source RFI.Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay
Commentaire
Commentaire