APA- Rabat (Maroc) Les autorités marocaines ont annoncé mardi, avoir interpellé la veille 72 Subsahariens, dont 20 femmes et trois nourrissons, voyageant à bord d’un zodiac au sud ouest du pays alors qu’ils projetaient de gagner la rive espagnole.
Les nationalités des clandestins, arrêtés par la marine marocaine, n’ont pas été dévoilées par les autorités chérifiennes.
Cette interpellation a coïncidé avec la tenue à Rabat d’une réunion de travail entre les ministres Marocain et Espagnol de l’intérieur, la première depuis la dernière brouille diplomatique survenue sur fond d’ « actes racistes » au poste frontière de Mellila, au sud ouest du Maroc, commis par la garde civile espagnole.
Présidée par le ministre marocain de l’Intérieur , Taieb Cherqaoui, et son homologue espagnol, Alfredo Perez Rubalcaba, cette réunion a permis de rappeler « la qualité exceptionnelle de la coopération entre les services des ministères de l’intérieur des deux pays et les résultats probants auxquels elle a abouti », selon les termes d’un communiqué conjoint.
Concernant la gestion migratoire, les deux ministres ont réitéré leur engagement pour « une approche globale et intégrée, conformément à l’esprit de la conférence euro-africaine sur la migration et le développement », tenue à Rabat en juillet 2006.
Le Ministre espagnol a affirmé que le Maroc « demeure un allié stratégique, crédible et responsable, tout en le félicitant pour ses efforts importants en matière de lutte contre les réseaux de trafic des migrants et de traite des êtres humains, ce qui a permis de tarir les flux migratoires illégaux », lit-on dans le même texte.
D’accoutumée, les autorités chérifiennes font avorter chaque année plus de 10.000 tentatives de migration clandestine vers les côtes espagnoles. Des centaines de réseaux de trafic des migrants sont également démantelées.
APA
Les nationalités des clandestins, arrêtés par la marine marocaine, n’ont pas été dévoilées par les autorités chérifiennes.
Cette interpellation a coïncidé avec la tenue à Rabat d’une réunion de travail entre les ministres Marocain et Espagnol de l’intérieur, la première depuis la dernière brouille diplomatique survenue sur fond d’ « actes racistes » au poste frontière de Mellila, au sud ouest du Maroc, commis par la garde civile espagnole.
Présidée par le ministre marocain de l’Intérieur , Taieb Cherqaoui, et son homologue espagnol, Alfredo Perez Rubalcaba, cette réunion a permis de rappeler « la qualité exceptionnelle de la coopération entre les services des ministères de l’intérieur des deux pays et les résultats probants auxquels elle a abouti », selon les termes d’un communiqué conjoint.
Concernant la gestion migratoire, les deux ministres ont réitéré leur engagement pour « une approche globale et intégrée, conformément à l’esprit de la conférence euro-africaine sur la migration et le développement », tenue à Rabat en juillet 2006.
Le Ministre espagnol a affirmé que le Maroc « demeure un allié stratégique, crédible et responsable, tout en le félicitant pour ses efforts importants en matière de lutte contre les réseaux de trafic des migrants et de traite des êtres humains, ce qui a permis de tarir les flux migratoires illégaux », lit-on dans le même texte.
D’accoutumée, les autorités chérifiennes font avorter chaque année plus de 10.000 tentatives de migration clandestine vers les côtes espagnoles. Des centaines de réseaux de trafic des migrants sont également démantelées.
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