Ce samedi est jour de la commémoration des tragiques événements du 11 septembre 2001 à New York ayant fait 2985 morts. Mais, 9 ans après, cette affaire n’est toujours pas élucidée. Certains parlent même d’un vaste complot d’une envergure jamais atteinte. Or si les enquêtes n’ont pas désigné ceux ou celui à qui ce crime profite, à l’évidence le gouvernement de GW Bush au pouvoir à l’époque est responsable pour n’avoir pas empêché leur commission .Des personnes relevant des services de renseignement étaient autant que d’autres de cette administration impliqués dans les attentats.
Pour le grand public, il n’ya que le souvenir des deux célèbres tours jumelles en feu. Et pourtant, ce mardi 11 septembre 2001, un troisième avion est venu après s’écraser sur le Pentagone, à Washington et un quatrième avion s’écrasera par la suite dans une zone boisée près de Pittsburgh, en Pennsylvanie. Il y a donc eu quatre avions en tout. Le détail du bilan se décompose comme suit : 265 passagers des quatre avions détournés, 125 civils et militaires au Pentagone, 343 pompiers de New York , 23 policiers, et des employés ou des visiteurs qui se trouvaient dans les tours. Ces événements signèrent le démarrage d’une forte mobilisation par les Etats-Unis pour la mondialisation de la lutte contre le terrorisme. C’était pratiquement la nouvelle croisade anti –islamiste sur un territoire très vaste que le sont les cinq continents. Avec ceci vint la chasse à Ben Laden qui fut cité comme la tête pensante de ce mouvement malfaisant cadré dans l’axe du Mal selon la formule de WB Bush.
La poursuite de la guerre d’Irak par Bush Jr parviendra malgré les réticences de certains pays membres de l’Onu à évincer Saddam Hussein. Une nouvelle aventure pour ce pays après un régime fort personnalisé. Depuis lors, le camp de Guantanamo n’avait pas arrêté de s’emplir. Désormais partout dans le monde c’est un règlement de compte par délégation des troupe armées . Dès lors nombreux sont ceux qui vouent une haine tenace contre les arabes et autres personnes originaires des pays dits musulmans. S’il est un fait que ces attentats n’ont jamais été totalement élucidés certains ont par leurs investigations parlé de complot. Ainsi que tente de le démontrer ,M. Rupper , Journaliste, ancien inspecteur au Los Angeles , une complicité de la part de l’Administration Bush dans les préparatifs des attentats du 11 septembre est maintenant irréfutable.
Sans entrer dans les détails de son investigation, bien avant les attentats du 11 septembre, écrit-il, les autorités américaines étaient en contact avec Ben Laden. Il avait rencontré le Chef de Station de local de la Cia alors qu’il suivait un traitement auprès d’un médecin pour infection chronique des reins. En juillet dernier, Oussama ben Laden rencontre un haut fonctionnaire de la C.I.A., vraisemblablement le Chef de Station local. Il se trouvait alors à l’hôpital américain de Dubaï où il était traité pour une infection chronique des reins. Et pourtant, en ce moment il était déjà recherché pour les attentats contre deux ambassades américaines et pour l’attaque menée l’année dernière contre l’USS Cole. La menace de l’exécuter pesait encore sur lui selon un rapport de l’année 2000 diffusé par le président Clinton.
Cependant le 14 juillet 2001, il quittera Dubaï sans être inquiété dans un avion de la US Navy Pour beaucoup d’événements, il apparaît à l’analyse – que gouvernement américain agit en étant informé d’avance. Les rapports de certains agents de l’époque (2001) mentionnent Oussama Ben Laden et mettent en garde contre la possibilité d’actes terroristes. [Source : "New-York Times", Le 14 mai 2002] Le 14 septembre un iranien avise la police américaine par téléphone pour les prévenir d’une attaque imminente contre le WTC la semaine du 9 septembre.
Malgré confirmation de ces appels par les services secrets allemands, rien ne sera fait pour arrêter quoi que ce soit. C’est ce laisser aller au plus haut niveau de la sécurité que l’on qualifiera de disfonctionnement des services au moment de l’enquête En été 2001, les services jordaniens de renseignement interceptent des communications si suspectes que le Roi Abdhullah en personne les transmet à Washington . Le message qu’ils contenaient était en ces termes : une attaque majeure qui devait est projetée à l’intérieur des Etats-Unis et un ou plusieurs avions seront utilisés. Le nom de code de l’opération est « le Grand Mariage. »
Quand le 2 juillet 2002 , Zacarias Moussaoui introduira une demande auprès de la cour fédérale pour témoigner devant un grand jury et le Congrès en affirmant qu’il avait des éléments démontrant que le gouvernement avait laissé faire cet attentat du 11 septembre, on ne sait plus qui dirige le pays en ce moment là . Il y a ainsi eu beaucoup d’occasions pendant les quelles la machine destructrice pouvait être arrêtée.
On pourrait ainsi poursuivre pour comprendre ce que les enquêtes ont démontré dans des piles de documents que quelque chose n’avait pas fonctionné pour arrêter la catastrophe. On se retrouve aujourd’hui avec pratiquement une situation analogue du moins en ce qui concerne ce fonds de mécontents qui déstabilisent le moral de la population. Plus près de nous l’affaire du site qui a publié à l’internet des milliers de documents secrets relatifs à la guerre d’Afghanistan et qui mettaient en cause les autorités pakistanaises. Quand plus récemment encore un projet de construction d’un centre culturel musulman à New York a réveillé les démons de la haine contre les musulmans que l’on confond désormais aux islamistes. Et pourtant le président Obama avait approuvé le projet.
Le projet du pasteur de tenir une journée pour bruler les corans ce 11 septembre interpelle le gouvernement et Obama le condamne après la dame Clinton.
Bolenge Ngbanzo
afriqueactu
Pour le grand public, il n’ya que le souvenir des deux célèbres tours jumelles en feu. Et pourtant, ce mardi 11 septembre 2001, un troisième avion est venu après s’écraser sur le Pentagone, à Washington et un quatrième avion s’écrasera par la suite dans une zone boisée près de Pittsburgh, en Pennsylvanie. Il y a donc eu quatre avions en tout. Le détail du bilan se décompose comme suit : 265 passagers des quatre avions détournés, 125 civils et militaires au Pentagone, 343 pompiers de New York , 23 policiers, et des employés ou des visiteurs qui se trouvaient dans les tours. Ces événements signèrent le démarrage d’une forte mobilisation par les Etats-Unis pour la mondialisation de la lutte contre le terrorisme. C’était pratiquement la nouvelle croisade anti –islamiste sur un territoire très vaste que le sont les cinq continents. Avec ceci vint la chasse à Ben Laden qui fut cité comme la tête pensante de ce mouvement malfaisant cadré dans l’axe du Mal selon la formule de WB Bush.
La poursuite de la guerre d’Irak par Bush Jr parviendra malgré les réticences de certains pays membres de l’Onu à évincer Saddam Hussein. Une nouvelle aventure pour ce pays après un régime fort personnalisé. Depuis lors, le camp de Guantanamo n’avait pas arrêté de s’emplir. Désormais partout dans le monde c’est un règlement de compte par délégation des troupe armées . Dès lors nombreux sont ceux qui vouent une haine tenace contre les arabes et autres personnes originaires des pays dits musulmans. S’il est un fait que ces attentats n’ont jamais été totalement élucidés certains ont par leurs investigations parlé de complot. Ainsi que tente de le démontrer ,M. Rupper , Journaliste, ancien inspecteur au Los Angeles , une complicité de la part de l’Administration Bush dans les préparatifs des attentats du 11 septembre est maintenant irréfutable.
Sans entrer dans les détails de son investigation, bien avant les attentats du 11 septembre, écrit-il, les autorités américaines étaient en contact avec Ben Laden. Il avait rencontré le Chef de Station de local de la Cia alors qu’il suivait un traitement auprès d’un médecin pour infection chronique des reins. En juillet dernier, Oussama ben Laden rencontre un haut fonctionnaire de la C.I.A., vraisemblablement le Chef de Station local. Il se trouvait alors à l’hôpital américain de Dubaï où il était traité pour une infection chronique des reins. Et pourtant, en ce moment il était déjà recherché pour les attentats contre deux ambassades américaines et pour l’attaque menée l’année dernière contre l’USS Cole. La menace de l’exécuter pesait encore sur lui selon un rapport de l’année 2000 diffusé par le président Clinton.
Cependant le 14 juillet 2001, il quittera Dubaï sans être inquiété dans un avion de la US Navy Pour beaucoup d’événements, il apparaît à l’analyse – que gouvernement américain agit en étant informé d’avance. Les rapports de certains agents de l’époque (2001) mentionnent Oussama Ben Laden et mettent en garde contre la possibilité d’actes terroristes. [Source : "New-York Times", Le 14 mai 2002] Le 14 septembre un iranien avise la police américaine par téléphone pour les prévenir d’une attaque imminente contre le WTC la semaine du 9 septembre.
Malgré confirmation de ces appels par les services secrets allemands, rien ne sera fait pour arrêter quoi que ce soit. C’est ce laisser aller au plus haut niveau de la sécurité que l’on qualifiera de disfonctionnement des services au moment de l’enquête En été 2001, les services jordaniens de renseignement interceptent des communications si suspectes que le Roi Abdhullah en personne les transmet à Washington . Le message qu’ils contenaient était en ces termes : une attaque majeure qui devait est projetée à l’intérieur des Etats-Unis et un ou plusieurs avions seront utilisés. Le nom de code de l’opération est « le Grand Mariage. »
Quand le 2 juillet 2002 , Zacarias Moussaoui introduira une demande auprès de la cour fédérale pour témoigner devant un grand jury et le Congrès en affirmant qu’il avait des éléments démontrant que le gouvernement avait laissé faire cet attentat du 11 septembre, on ne sait plus qui dirige le pays en ce moment là . Il y a ainsi eu beaucoup d’occasions pendant les quelles la machine destructrice pouvait être arrêtée.
On pourrait ainsi poursuivre pour comprendre ce que les enquêtes ont démontré dans des piles de documents que quelque chose n’avait pas fonctionné pour arrêter la catastrophe. On se retrouve aujourd’hui avec pratiquement une situation analogue du moins en ce qui concerne ce fonds de mécontents qui déstabilisent le moral de la population. Plus près de nous l’affaire du site qui a publié à l’internet des milliers de documents secrets relatifs à la guerre d’Afghanistan et qui mettaient en cause les autorités pakistanaises. Quand plus récemment encore un projet de construction d’un centre culturel musulman à New York a réveillé les démons de la haine contre les musulmans que l’on confond désormais aux islamistes. Et pourtant le président Obama avait approuvé le projet.
Le projet du pasteur de tenir une journée pour bruler les corans ce 11 septembre interpelle le gouvernement et Obama le condamne après la dame Clinton.
Bolenge Ngbanzo
afriqueactu
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