M. Biadillah s'entretient avec une délégation de sénateurs français
Rabat- Le président de la Chambre des Conseillers, M. Mohamed Cheikh Biadillah s'est entretenu, mardi à Rabat, avec une délégation de sénateurs français, conduite par le président du groupe d'amitié France-Maroc au Sénat, M. Christian Cambon.
A l'issue de cet entretien, M. Cambon a déclaré à la presse que cette visite a pour objectif "de prendre connaissance des efforts qui ont été faits par le gouvernement marocain sous la conduite de SM le Roi pour faire en sorte que la proposition concrète d'autonomie sous souveraineté marocaine puisse avancer".
Dans ce sens, le responsable français a indiqué que son pays "souhaite tout faire pour accompagner l'initiative marocaine d'autonomie" afin de trouver une solution à ce conflit dont le non-règlement "laisse peser de lourdes menaces sur la région notamment le terrorisme".
Après avoir rappelé les anciennes propositions qui n'ont pas abouti, M. Cambon a souhaité que l'initiative marocaine d'autonomie "puisse progresser" pour le règlement de ce dossier.
M. Cambon a par ailleurs mis en exergue l'excellence des relations maroco-françaises ainsi que les liens d'amitié liant les institutions législatives dans les deux pays.
Cette rencontre, a-t-il ajouté, a été également l'occasion de faire le bilan de la coopération bilatérale qui est à son niveau le plus élevé surtout après la réunion récemment entre les Premiers ministres des deux pays, et de passer en revue d'autres sujets d'intérêt commun tels que la coopération décentralisée, la problématique de l'eau, le statut avancé et l'Union pour la Méditerranée.
De son côté, M. Biadillah a indiqué que ses entretiens avec la délégation française lui ont permis aussi de mettre en avant les mutations profondes que connaît le Maroc sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI.
Cette rencontre a été également une occasion d'évoquer l'initiative marocaine d'autonomie en tant que "solution juste où il n y a ni vainqueur, ni vaincu et qui permettra l'édification du grand Maghreb".
Cette initiative permettra également aux populations dans les camps de Tindouf de rallier la mère patrie et de contribuer à la gestion de leurs propres affaires, a-t-il ajouté.
Les entretiens avec les sénateurs français ont également porté sur l'examen de certains problématiques et défis à relever à l'avenir, notamment la question de l'immigration clandestine, de l'environnement et du développement durable, outre les relations avec les pays du Maghreb et la stabilité dans la région du Sahel.
Au programme de la visite de la délégation du sénat français au Maroc (13-17 septembre), qui intervient à l'invitation du groupe d'amitié Maroc-France à la Chambre des Conseillers, figurent des visites de terrain, notamment des projets d'infrastructures liés à la protection et à la valorisation des ressources en eau dans les provinces de Laâyoune et de Dakhla.
Les membres de la délégation du sénat français rencontreront également nombre de responsables locaux et d'élus dans les deux provinces pour réaffirmer le soutien de la France au projet d'autonomie marocain pour le Sahara.
Outre M. Cambon, la délégation comprend Jean-Pierre Chaveau, Alain Gournac et Jackie Pierre (UMP), Claude Jeannerot et Bariza Khiari (PS), Jean-Pierre Plancarde, (Rassemblement Démocratique et Social Européen-RDSE) et Catherine Morin-Desailly (Union centriste-UC).
Rabat- Le président de la Chambre des Conseillers, M. Mohamed Cheikh Biadillah s'est entretenu, mardi à Rabat, avec une délégation de sénateurs français, conduite par le président du groupe d'amitié France-Maroc au Sénat, M. Christian Cambon.

A l'issue de cet entretien, M. Cambon a déclaré à la presse que cette visite a pour objectif "de prendre connaissance des efforts qui ont été faits par le gouvernement marocain sous la conduite de SM le Roi pour faire en sorte que la proposition concrète d'autonomie sous souveraineté marocaine puisse avancer".
Dans ce sens, le responsable français a indiqué que son pays "souhaite tout faire pour accompagner l'initiative marocaine d'autonomie" afin de trouver une solution à ce conflit dont le non-règlement "laisse peser de lourdes menaces sur la région notamment le terrorisme".
Après avoir rappelé les anciennes propositions qui n'ont pas abouti, M. Cambon a souhaité que l'initiative marocaine d'autonomie "puisse progresser" pour le règlement de ce dossier.
M. Cambon a par ailleurs mis en exergue l'excellence des relations maroco-françaises ainsi que les liens d'amitié liant les institutions législatives dans les deux pays.
Cette rencontre, a-t-il ajouté, a été également l'occasion de faire le bilan de la coopération bilatérale qui est à son niveau le plus élevé surtout après la réunion récemment entre les Premiers ministres des deux pays, et de passer en revue d'autres sujets d'intérêt commun tels que la coopération décentralisée, la problématique de l'eau, le statut avancé et l'Union pour la Méditerranée.
De son côté, M. Biadillah a indiqué que ses entretiens avec la délégation française lui ont permis aussi de mettre en avant les mutations profondes que connaît le Maroc sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI.
Cette rencontre a été également une occasion d'évoquer l'initiative marocaine d'autonomie en tant que "solution juste où il n y a ni vainqueur, ni vaincu et qui permettra l'édification du grand Maghreb".
Cette initiative permettra également aux populations dans les camps de Tindouf de rallier la mère patrie et de contribuer à la gestion de leurs propres affaires, a-t-il ajouté.
Les entretiens avec les sénateurs français ont également porté sur l'examen de certains problématiques et défis à relever à l'avenir, notamment la question de l'immigration clandestine, de l'environnement et du développement durable, outre les relations avec les pays du Maghreb et la stabilité dans la région du Sahel.
Au programme de la visite de la délégation du sénat français au Maroc (13-17 septembre), qui intervient à l'invitation du groupe d'amitié Maroc-France à la Chambre des Conseillers, figurent des visites de terrain, notamment des projets d'infrastructures liés à la protection et à la valorisation des ressources en eau dans les provinces de Laâyoune et de Dakhla.
Les membres de la délégation du sénat français rencontreront également nombre de responsables locaux et d'élus dans les deux provinces pour réaffirmer le soutien de la France au projet d'autonomie marocain pour le Sahara.
Outre M. Cambon, la délégation comprend Jean-Pierre Chaveau, Alain Gournac et Jackie Pierre (UMP), Claude Jeannerot et Bariza Khiari (PS), Jean-Pierre Plancarde, (Rassemblement Démocratique et Social Européen-RDSE) et Catherine Morin-Desailly (Union centriste-UC).
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