le constat réelle de la situation et un petit peu défférent du votre
tu sais il faut lire avant de faire des constat tirer par les cheveux comme ça,normalement c'est le principe
tu sais il faut lire avant de faire des constat tirer par les cheveux comme ça,normalement c'est le principe
Les médias internationaux, en revanche, ont très peu couvert l'affaire, alors que Mustapha Salma avait annoncé qu'il craignait pour sa vie. Que pensez-vous de cette timide couverture, comparée à l'affaire Aminatou Haidar, par exemple? Qu'aurait pu changer une plus grande couverture internationale?
- Entre l'affaire Aminatou et celle de Mustapha Salma il y a une grande différence. Le Maroc officiel a mal suivi cette affaire. D'abord sur le plan médiatique c'est le cafouillage total, trop de brouhaha. Le plan média rappelle l'ex-Urss ou la Chine communiste d'il y'a 20 ans : des officiels qui font des déclarations et communiqués dont ils ne mesurent pas la portée…
Et c’est tout à fait normal que ça n'a pas été suivi par la presse internationale, car nous n'avons pas su rendre le sujet attrayant aux yeux de la communauté internationale. Autre fait, Aminatou, grâce aux Algériens, a réussi à nous plomber malgré qu'elle n'est ni militante des droits de l'homme ni autre. Quant à Mustapha Salma, c’est un séparatiste sécuritaire inconnu, et du jour au lendemain il nous parle de projet d'autonomie... Ils ont mis des mois à préparer Aminatou, et il n'y avait que quelques jours pour mettre en avant un inconnu.
Je ne sais pas qui était derrière cette affaire Mustapha Salma, mais ce que je peux dire c'est que se sont de vrais amateurs.
- Pensez-vous qu'il y a un problème de cohérence dans la position du Maroc sur l'affaire Mustapha Salma, alors que 3 Marocains sahraouis sont en prison, en attendant un jugement pour espionnage?
- Avec l’affaire Mustapha Salma on aura l'effet boomerang, car le Maroc s'est mobilisé à clamer haut et fort que Salma devait être relâché par les séparatistes et le laisser défendre le projet d'autonomie dans les camps en toute liberté. Mais sans attendre, les Algériens ont invité 77 séparatistes d'intérieurs à Alger pour soi-disant participer à une conférence sur la résistance pacifique et maintenant ils sont de retour au pays. Nous sommes obligés de donner l'exemple et les laisser parler ainsi que manifester pacifiquement pour exprimer librement leurs opinions séparatistes dans les rues de nos provinces du sud. Et c'est là le piège.
- Entre l'affaire Aminatou et celle de Mustapha Salma il y a une grande différence. Le Maroc officiel a mal suivi cette affaire. D'abord sur le plan médiatique c'est le cafouillage total, trop de brouhaha. Le plan média rappelle l'ex-Urss ou la Chine communiste d'il y'a 20 ans : des officiels qui font des déclarations et communiqués dont ils ne mesurent pas la portée…
Et c’est tout à fait normal que ça n'a pas été suivi par la presse internationale, car nous n'avons pas su rendre le sujet attrayant aux yeux de la communauté internationale. Autre fait, Aminatou, grâce aux Algériens, a réussi à nous plomber malgré qu'elle n'est ni militante des droits de l'homme ni autre. Quant à Mustapha Salma, c’est un séparatiste sécuritaire inconnu, et du jour au lendemain il nous parle de projet d'autonomie... Ils ont mis des mois à préparer Aminatou, et il n'y avait que quelques jours pour mettre en avant un inconnu.
Je ne sais pas qui était derrière cette affaire Mustapha Salma, mais ce que je peux dire c'est que se sont de vrais amateurs.
- Pensez-vous qu'il y a un problème de cohérence dans la position du Maroc sur l'affaire Mustapha Salma, alors que 3 Marocains sahraouis sont en prison, en attendant un jugement pour espionnage?
- Avec l’affaire Mustapha Salma on aura l'effet boomerang, car le Maroc s'est mobilisé à clamer haut et fort que Salma devait être relâché par les séparatistes et le laisser défendre le projet d'autonomie dans les camps en toute liberté. Mais sans attendre, les Algériens ont invité 77 séparatistes d'intérieurs à Alger pour soi-disant participer à une conférence sur la résistance pacifique et maintenant ils sont de retour au pays. Nous sommes obligés de donner l'exemple et les laisser parler ainsi que manifester pacifiquement pour exprimer librement leurs opinions séparatistes dans les rues de nos provinces du sud. Et c'est là le piège.
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