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  • #31
    tu sais drizz , prends une carte et regardes la position du Maroc au lieu de debiter n'importe quoi.

    S'ill te plais ne cites plus les droits de l'homme , tu es en tant qu'algerien et ressortissant d'un Etat qui denie equité et justice à de larges franges de sa population et qui est pointé du doigt pat toutes les instances de protection des droits humains d&ns le monde.

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    • #32
      tu sais drizz , prends une carte et regardes la position du Maroc au lieu de debiter n'importe quoi.

      pourquoi au juste ? Pour voir quoi?
      je connais la région sans prendre une carte! que veux tu dire?

      S'ill te plais ne cites plus les droits de l'homme , tu es en tant qu'algerien et ressortissant d'un Etat qui denie equité et justice à de larges franges de sa population et qui est pointé du doigt pat toutes les instances de protection des droits humains d&ns le monde.

      si, je parle avec plaisir des DH, aucun pays n est parfait, en Algérie nous avancons avec des pays en avant avec difficulté et hésitations du côté du gouvernement, mais nous avoncons, pendant que le Maroc fait plein de pas en arriére, rien qu en matiére de liberté de presse, vous estes la risé dans la région!! et là je ne parle que de la presse nationale et non internationale comme ce vient d arriver aux journalistes empêchés d aller faire leur boulôt dans le SO
      Dernière modification par TAGHITI, 01 novembre 2010, 18h48.

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      • #33
        come l Algérie deviennent une destination incontournale!
        La blague de l'année, ...pitoyable

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        • #34
          La blague de l'année, ...pitoyable

          entre temps, d autres pays sont devenus la blague du moi, regardes autour de toi

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          • #35
            si, je parle avec plaisir des DH, aucun pays n est parfait, en Algérie nous avancons avec des pays en avant avec difficulté et hésitations du côté du gouvernement, mais nous avoncons, pendant que le Maroc fait plein de pas en arriére, rien qu en matiére de liberté de presse, vous estes la risé dans la région!! et là je ne parle que de la presse nationale et non internationale comme ce vient d arriver aux journalistes empêchés d aller faire leur boulôt dans le SO
            pourtant l algerie et le maroc sont dans le meme dernier wagon du classement RSF!
            mais drizz et l objectivité ca fait 2!
            "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

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            • #36
              pourtant l algerie et le maroc sont dans le meme dernier wagon du classement RSF!

              bah RSF, quand le Maroc, malgrés la ferméture de Nichane et autres organes marocains, et l interdiction d aljazeera, perd seulement 8 points, alors que l algérie n a fermé aucun journal national ni expulsé aucune chaîne etrangére ces derniéres années, elle reste au même niveau que le Maroc, je doute fort de la crédibilité de cett ONG!Si l algéria avait envoyé au Diable des journalistes algériens, fermé des journaux et interdit une chaine etrangére ces 12 dernier mois, RSF nous aurait classé les derniers sur la liste!
              Fermeture abusive des locaux de la chaîne satellitaire Al Jazeera


              Le ministère marocain de la Communication a annoncé le vendredi 29 octobre 2010, la fermeture du bureau de la chaîne satellitaire qatarie d’information en continue Al Jazeera, et le retrait des accréditations de ses journalistes.
              Reporters sans frontières condamne fermement cette décision. Rien ne saurait justifier une telle sanction contre un média étranger, en violation des règles de la procédure légale. Nous demandons l’arrêt de l’action engagée contre Al Jazeera. L’organisation rappelle que la liberté d’expression est garantie par la Constitution du Royaume.
              Cette décision intervient quelques jours après les tracas policiers infligés à sept journalistes espagnoles au Sahara occidental. Envoyés à Laayoune pour une enquête sur la mort d’un jeune homme, ils se sont vus interdire d’embarquer dans un avion de la Royal Air Maroc (RAM) le 25 octobre 2010. Une fois arrivés sur place, les autorités les ont empêchés d’effectuer librement leur travail.
              Accusée de manquer à la déontologie journalistique, et d’ « altérer sérieusement l’image du Maroc et de porter manifestement préjudice à ses intérêts supérieurs, à leur tête la question de l’intégrité territoriale », Al Jazeera s’est vu notifiée ce jour la fermeture sine die de ses locaux. La décision est purement discrétionnaire. Aucune procédure n’a été engagée contre la chaine au préalable.
              « Le bureau de la chaîne d’Al Jazeera au Maroc a toujours respecté ses engagements. Conformément au slogan de notre chaine, nous avons présenté l’avis des uns et des autres. Comment donner une vision objective de l’actualité sans inclure l’avis des autres parties ? Nous n’avons fait que notre travail de journalistes, » a déclaré à Reporters sans frontières le directeur du bureau d’Al Jazeera à Rabat, Abdelqader Kharroubi.
              Le royaume vient de perdre 8 places au classement mondial de Reporters sans frontières pour la liberté de la presse pour l’année 2010, se plaçant à la 135ème place sur 178 (http://fr.rsf.org/press-freedom-index-2010,1034.html).

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              • #37
                regardes Kaiser, lis le passage ci-dessous, tiré du site RSF, tout celá, et seulement moins 8 points dans le classement du Maroc par cette ONG, imagines si c était l Algérie:

                La liberté de la presse semble avoir perdu au cours de ces derniers mois le terrain difficilement gagné au début du règne de Mohammed VI.

                Certes, une presse indépendante existe, et le nombre de titres a considérablement augmenté au cours des dernières années, permettant l’émergence d’un certain pluralisme. Par ailleurs, un processus de libéralisation de l’audiovisuel est en cours depuis 2005, avec la création de la Haute Autorité de la communication audiovisuelle (HACA). Si les débuts ont suscité de nombreux espoirs, la deuxième vague de licences attribuées le 23 février 2009 a déçu en matière d’avancée du pluralisme de l’information audiovisuelle, tant le Conseil supérieur de la communication audiovisuelle (CSCA) s’est montré frileux. En effet, seules quatre nouvelles radios, multirégionales et thématiques, ont reçu leur autorisation. Aucune nouvelle radio généraliste et d’information, ou chaîne de télévision privée.

                Si les journalistes peuvent aller loin dans leurs critiques, les « lignes rouges » édictées par le Palais et connues de tous ne doivent être franchies : la religion, le roi et la monarchie, la patrie et l’intégrité territoriale ne sauraient être mis en cause. Par ailleurs, des peines de prison pour délit de presse existent toujours dans le code de la presse (article 41). Ce dernier, considéré comme vague et trop répressif, constitue une épée de Damoclès pour les journalistes. Le projet de réforme de ce code est en discussion depuis trois ans.

                Pendant les sept premiers mois de l’année 2009, les autorités marocaines ont fait de l’arme financière le moyen privilégié de représailles contre les médias les plus audacieux. La presse marocaine était alors davantage menacée par les amendes exorbitantes infligées aux rédactions que par les peines de prison. Mais la célébration du dixième anniversaire de l’arrivée sur le trône de Mohammed VI, en juillet, a consacré un changement d’attitude des autorités, qui se sont crispées sur les ’lignes rouges’, revenant à des méthodes de répression plus violentes, avec la multiplication des procès et des condamnations à des peines de prison. TelQuel, Nichane, Al-Jarida Al-Oula, Akhbar Al-Youm, Al-Michaal, Al-Massae, Le Journal hebdomadaire… ont tous fait les frais de ce revirement du Palais. Et pour la première fois depuis 2008, la justice marocaine a prononcé des peines de prison ferme à l’encontre de journalistes. Ainsi, Driss Chahtane, directeur de publication d’Al-Michaal a été condamné à un an de prison ferme en octobre 2009.

                Alors que la blogosphère marocaine est reconnue pour son dynamisme, 2008 avait vu la première condamnation d’un blogueur. Le 8 septembre, Mohamed Erraji avait en effet été condamné pour avoir publié un article sur le site hespress.com, intitulé “Le roi encourage le peuple à l’assistanat“, critiquant la politique sociale de Mohammed VI, avant d’être acquitté en appel pour “vice de forme“.

                Si, en 2008, les autorités avaient voulu faire de Mohamed Erraji un exemple pour dissuader les blogueurs de critiquer le roi sur la Toile, El Bachir Hazzam a été la principale victime de la répression en 2009. Ce blogueur a été condamné, le 15 décembre 2009, à quatre mois de prison ferme pour “diffusion de fausses informations portant atteinte à l’image du royaume concernant les droits de l’homme“, alors même qu’il s’est contenté de poster un communiqué, déjà public, sur la répression exercée par les forces de l’ordre lors de manifestations étudiantes dans le sud du Maroc. Au cours de ce procès, le propriétaire d’un cybercafé, Abdullah Boukfou, a quant à lui écopé d’un an de prison ferme pour avoir diffusé des informations relatives aux manifestations et pour "possession de publications incitant à la haine raciale".

                Quant aux journalistes étrangers, ils peuvent avoir des difficultés pour renouveler leur accréditation, notamment lorsqu’ils abordent le sujet du Sahara occidental. Ainsi le photojournaliste espagnol, Rafael Marchante, correspondant de l’agence Reuters au Maroc depuis 2006, s’est vu refuser son accréditation le 20 mars 2009, en raison d’un « comportement professionnel non conforme à la législation nationale en vigueur », pour reprendre les termes du ministère de la Communication. Les autorités marocaines sont revenues sur leur décision le 2 avril 2009.

                Enfin, les autorités marocaines s’arrogent le droit de censurer certaines publications étrangères si leur contenu vient à déplaire. Ainsi, le numéro du Monde daté du 4 août 2009, publiant le sondage sur le bilan des dix ans de règne de Mohammed VI (sondage qui avait causé l’interdiction de TelQuel et Nichane), a été interdit de distribution. Les autorités ont par la suite bloqué la distribution du numéro du Monde daté du 22 octobre 2009, dans lequel figurait une caricature de la famille royale jugée “irrespectueuse“. La distribution du quotidien espagnol El Pais, daté du 26 octobre, a également été bloquée.
                Pendant les sept premiers mois de l’année 2009, les autorités marocaines ont fait de l’arme financière le moyen privilégié de représailles contre les médias les plus audacieux. La presse marocaine était alors davantage menacée par les amendes exorbitantes infligées aux rédactions que par les peines de prison. Mais la célébration du dixième anniversaire de l’arrivée sur le trône de Mohammed VI, en juillet, a consacré un changement d’attitude des autorités, qui se sont crispées sur les ’lignes rouges’, revenant à des méthodes de répression plus violentes, avec la multiplication des procès et des condamnations à des peines de prison. TelQuel, Nichane, Al-Jarida Al-Oula, Akhbar Al-Youm, Al-Michaal, Al-Massae, Le Journal hebdomadaireDriss Chahtane, directeur de publication d’Al-Michaal a été condamné à un an de prison ferme en octobre 2009. ont tous fait les frais de ce revirement du Palais. Et pour la première fois depuis 2008, la justice marocaine a prononcé des peines de prison ferme à l’encontre de journalistes. Ainsi,

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                • #38
                  Maroc
                  Certes, une presse indépendante existe, et le nombre de titres a considérablement augmenté au cours des dernières années, permettant l’émergence d’un certain pluralisme.
                  vas lire comment cettre remarque est commentée sur le même site concernant l'ALgérie:
                  Algérie:
                  Si l’on se contente de regarder le nombre de titres dans les kiosques de la rue Didouche à Alger, on pourrait croire à un foisonnement de la presse et donc à une réelle liberté d’expression en Algérie. Les kiosques de la capitale regorgent de près de 80 titres de quotidiens, principalement arabophones. Le plus gros quotidien est aujourd’hui Ech-Chourouq, qui tire à plus de 800 000 exemplaires.

                  Or, la situation de la presse, des journalistes, de la liberté d’expression est loin d’être mesurable à l’aune du nombre de titres disponibles dans la rue. Une situation complexe, subtile.
                  toz sur la crédibilité et l impartialité de RSF
                  Dernière modification par TAGHITI, 02 novembre 2010, 18h27.

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