On vient d'apprendre qu'un géologue d'origine marocaine, Abderazzak El Albani (à gauche), et ses collègues du laboratoire Hydrogéologie, argiles, sols et altérations de l'Université de Poitiers (http://hydrasa.labo.univ-poitiers.fr/) ont découvert au Gabon des fossiles datant de 2,1 milliards d’années (au centre). Cette trouvaille est considérée comme majeure : elle repousse de... 1,5 milliard d’années les limites de l’existence d’organismes pluricellulaires et remet donc en question nos connaissances sur l’apparition de la vie sur notre planète.
Les 250 spécimens mis au jour mesurent d'un à 12 centimètres (au centre) et ont un âge estimé à 2,1 milliards d’années, alors que les plus anciens fossiles connus datent de 600 millions d’années. L’équipe El Albani a utilisé de gros moyens techniques pour s’assurer qu’il s’agit bien de matière vivante fossilisée. Par chance faciles à extraire de l’argile, ces organismes ont pu être scannés et reconstitués en 3D, révélant leur organisation interne (à droite). Ils sont dotés d’un noyau contenant un ADN. Ils vivaient dans un milieu marin peu profond (20 à 30 mètres), soumis à l’influence des marées. Les milieux scientifiques souhaitent toutefois les étudier plus en détail encore, pour écarter définitivement l’hypothèse que ces formes aient pu être laissées par des colonies de bactéries.
sinon un deputé au canda , le maire de rotterdam , des deputes en belgique............
Les 250 spécimens mis au jour mesurent d'un à 12 centimètres (au centre) et ont un âge estimé à 2,1 milliards d’années, alors que les plus anciens fossiles connus datent de 600 millions d’années. L’équipe El Albani a utilisé de gros moyens techniques pour s’assurer qu’il s’agit bien de matière vivante fossilisée. Par chance faciles à extraire de l’argile, ces organismes ont pu être scannés et reconstitués en 3D, révélant leur organisation interne (à droite). Ils sont dotés d’un noyau contenant un ADN. Ils vivaient dans un milieu marin peu profond (20 à 30 mètres), soumis à l’influence des marées. Les milieux scientifiques souhaitent toutefois les étudier plus en détail encore, pour écarter définitivement l’hypothèse que ces formes aient pu être laissées par des colonies de bactéries.
Directeur de projets au sein de la NASA, Kamal Oudghiri est l'un de ces marocains qui hisse haut les couleurs du Maroc. Au niveau professionnel d'abord, en prouvant que les compétences marocaines peuvent accéder aux plus hautes fonctions dans des secteurs de pointes. Au niveau associatif et culturel ensuite, en promouvant l'histoire du Maroc aux Etats-Unis. Interview d'un Marocain, la tête dans les étoiles mais les pieds toujours sur terre...
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