C'est le clan d'Oujda. Ce sont les algériens nés ou qui ont vécu au Maroc avant l'indépendance en 1962.
Ce qui nous intéresse dans ce sujet ce sont les algériens nés au Maroc avant le déclenchement de la guerre de libération algérienne en 1954.
On les appellent au Maroc 2éme franciss ou Wastis.
Ce sont des enfants issus de la communauté de l'Emir Abdelkader qui est resté au royaume après la soumission de ce dernier à la France en 1848.
L'autre communauté est composée de la tribu de Ouled Sid Echiekh.
Après la défaite de leur chef Echiekh Bouamamama en 1908 contre la France le reste de sa communauté s'est réfugiée au Maroc. Elle s'est installées à Ain Bni Mathar , Taourirt et Guercif.
Une 3éme composante des algériens nés au Maroc est issus des algériens enrôlés dans l'armée française pour faire imposer le protectorat au sultanat en 1912.
Parmi ces militaires, on peut citer le cas du capitaine l'émir Khaled petit fils de l'Emir Abdelkader , le colonel Bendaoud , le Spahi Bencherif et si Kaddour Benghabrit l'ancien recteur de la mosquée de Paris dans les années 20.
Le 1ér de ces militaires algériens ayant trahi ses coreligionnaires marocains est l'Emir Khaled, le père du nationalisme algérien. Je cite son comportement pendant le débarquement à Casablanca en 1908 avec Lyautey: "Malgré sa fidélité, son loyalisme, les grands services qu'il a rendu, lui et sa famille en Algérie , au Maroc et en Syrie, il s'était trouvé, ( lui prince ) soumis à un règlement qui le rendait l'égal du fils d'un vulgaire colporteur.
Ainsi , tous ses efforts ne lui ont pas servi ; ni sa conduite au maroc , ou il a guerroyé pour la civilisation , en héros , contre les fréres musulmans , ou il se déguisait en montagnard pour se'introduire dans leurs ( les marocains ) milieux, au profit des conquérant , tout ce qu'il a pu faire pour la grandeur de la France et l'asservissement des ses compatriotes et coreligionnaires ne lui a pas été profitable. Peine inutile, espoir évasé comme une promesse d'un fonctionnaire bourgeois.
On les appelaient au Maroc 2 éme franciss ou Wastis.
Deuxième franciss parce que c'étaient des français de deuxième collège.
Puisqu’ ils rendaient à leurs maîtres colons des services en jouant le rôle de Wastis c'est à dire des interprètes entre les indigènes marocains et l'armée françaises.
Ne pas confondre ces algériens nés au Maroc avec les réfugiés de la guerre de libération.
Souvent la première à quitter l'Algérie avant 54 et pour des raisons souvent mercantiles. C'est une notabilité francophone et de nationalité française.
La deuxième a quitté l'Algérie après le déclenchement de la guerre en 1954 pour éviter les représailles de l'armée française. Elle a été parquées et contrôler par le FLN dans des camps de refugiés à Oujda , Ahfir et Nador .
C'étaient des apatrides . Leurs enfants ont suivi des études en Arabe avec les indigènes marocains.
En 1962 cette catégorie de refugiés arabophone à été écartée par le clan d'Oujda francophone.
Ces arabophones ont occupé souvent des postes dans l'enseignement primaire ou dans des tribunaux (service du statut personnel)
Par contre les francophones du MALG ont accaparé les ministères et la sécurité militaire et l'appareil du FLN .
Ce sont des hommes politiques issus souvent de l'ouest algérien en comparaison avec l'armée originaire de l'est.
Ils sont souvent des féodaux possédant des terres agricoles et des commerces. On peut citer la famille de Kasdi Merbeh qui est propriétaire des terres agricoles et une pharmacie à Meknes.
L'origine de ces actes de propriétés est plus que douteux. Généralement ce sont des algériens au sein en de l'armée française qui avaient bénéficie de privilèges de la part de la France pour service rendu à la mère patrie.
Pour cette raison à l'indépendance du Maroc en 1956, ces algériens ont été exproprié de leur terre .Ces derniers étaient naturalisés français. On les avaient considéré comme des colons.
Ces algériens du MALG en 1962, ont fait main basse sur le rouages de l'Etat. En s'octroyant les ministères , la sécurité militaire et le parti du FLN plus tard
Il étaient de l'ordre de 10 000 selon les affirmations du colonel Bencherif . Je cite " : « La première corruption est venue de ceux qui ont monnayé leur attestation de moudjahid et des dix mille Algériens qui travaillaient dans l’administration marocaine et qui étaient rentrés au pays en 1962 (...). »
SNP 1975
Ce qui nous intéresse dans ce sujet ce sont les algériens nés au Maroc avant le déclenchement de la guerre de libération algérienne en 1954.
On les appellent au Maroc 2éme franciss ou Wastis.
Ce sont des enfants issus de la communauté de l'Emir Abdelkader qui est resté au royaume après la soumission de ce dernier à la France en 1848.
L'autre communauté est composée de la tribu de Ouled Sid Echiekh.
Après la défaite de leur chef Echiekh Bouamamama en 1908 contre la France le reste de sa communauté s'est réfugiée au Maroc. Elle s'est installées à Ain Bni Mathar , Taourirt et Guercif.
Une 3éme composante des algériens nés au Maroc est issus des algériens enrôlés dans l'armée française pour faire imposer le protectorat au sultanat en 1912.
Parmi ces militaires, on peut citer le cas du capitaine l'émir Khaled petit fils de l'Emir Abdelkader , le colonel Bendaoud , le Spahi Bencherif et si Kaddour Benghabrit l'ancien recteur de la mosquée de Paris dans les années 20.
Le 1ér de ces militaires algériens ayant trahi ses coreligionnaires marocains est l'Emir Khaled, le père du nationalisme algérien. Je cite son comportement pendant le débarquement à Casablanca en 1908 avec Lyautey: "Malgré sa fidélité, son loyalisme, les grands services qu'il a rendu, lui et sa famille en Algérie , au Maroc et en Syrie, il s'était trouvé, ( lui prince ) soumis à un règlement qui le rendait l'égal du fils d'un vulgaire colporteur.
Ainsi , tous ses efforts ne lui ont pas servi ; ni sa conduite au maroc , ou il a guerroyé pour la civilisation , en héros , contre les fréres musulmans , ou il se déguisait en montagnard pour se'introduire dans leurs ( les marocains ) milieux, au profit des conquérant , tout ce qu'il a pu faire pour la grandeur de la France et l'asservissement des ses compatriotes et coreligionnaires ne lui a pas été profitable. Peine inutile, espoir évasé comme une promesse d'un fonctionnaire bourgeois.
On les appelaient au Maroc 2 éme franciss ou Wastis.
Deuxième franciss parce que c'étaient des français de deuxième collège.
Puisqu’ ils rendaient à leurs maîtres colons des services en jouant le rôle de Wastis c'est à dire des interprètes entre les indigènes marocains et l'armée françaises.
Ne pas confondre ces algériens nés au Maroc avec les réfugiés de la guerre de libération.
Souvent la première à quitter l'Algérie avant 54 et pour des raisons souvent mercantiles. C'est une notabilité francophone et de nationalité française.
La deuxième a quitté l'Algérie après le déclenchement de la guerre en 1954 pour éviter les représailles de l'armée française. Elle a été parquées et contrôler par le FLN dans des camps de refugiés à Oujda , Ahfir et Nador .
C'étaient des apatrides . Leurs enfants ont suivi des études en Arabe avec les indigènes marocains.
En 1962 cette catégorie de refugiés arabophone à été écartée par le clan d'Oujda francophone.
Ces arabophones ont occupé souvent des postes dans l'enseignement primaire ou dans des tribunaux (service du statut personnel)
Par contre les francophones du MALG ont accaparé les ministères et la sécurité militaire et l'appareil du FLN .
Ce sont des hommes politiques issus souvent de l'ouest algérien en comparaison avec l'armée originaire de l'est.
Ils sont souvent des féodaux possédant des terres agricoles et des commerces. On peut citer la famille de Kasdi Merbeh qui est propriétaire des terres agricoles et une pharmacie à Meknes.
L'origine de ces actes de propriétés est plus que douteux. Généralement ce sont des algériens au sein en de l'armée française qui avaient bénéficie de privilèges de la part de la France pour service rendu à la mère patrie.
Pour cette raison à l'indépendance du Maroc en 1956, ces algériens ont été exproprié de leur terre .Ces derniers étaient naturalisés français. On les avaient considéré comme des colons.
Ces algériens du MALG en 1962, ont fait main basse sur le rouages de l'Etat. En s'octroyant les ministères , la sécurité militaire et le parti du FLN plus tard
Il étaient de l'ordre de 10 000 selon les affirmations du colonel Bencherif . Je cite " : « La première corruption est venue de ceux qui ont monnayé leur attestation de moudjahid et des dix mille Algériens qui travaillaient dans l’administration marocaine et qui étaient rentrés au pays en 1962 (...). »
SNP 1975
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