La situation en Libye a connu un rebondissement inattendu, avec l’annonce ce lundi 28 février par le Pentagone de l’envoi de forces armées dans la région. L’armée américaine a décidé de positionner des forces navales autour de la Libye, en proie à des affrontements depuis le 17 février. Des forces navales américaines sont présentes en Méditerranée et les Etats-Unis disposent de deux porte-avions dans le golfe arabo-persique.
Le ministère américain de la Défense n’a pas précisé dans quelles circonstances ces forces armées pourraient s'avérer utiles. La secrétaire d'Etat Hillary Clinton a indiqué lundi qu’aucune action militaire n'était prévue en Libye impliquant des forces américaines. Le porte-parole du ministère américain de la Défense a quant à lui déclaré que le Pentagone travaillait sur diverses options étant donné la poursuite des violences en Libye. Par ailleurs, la secrétaire d'Etat américaine Hillary Rodham Clinton a annoncé à Genève que son pays dépêchait des équipes aux frontières de la Libye avec l'Egypte et l'Algérie afin d'aider les réfugiés.
En fait, depuis le début du conflit, la perspective d’une intervention militaire étrangère a régulièrement été évoquée. Une perspective qui inquiète fortement le gouvernement algérien. Alger ne souhaite pas voir en effet des forces étrangères installées en permanence à sa frontière. Mais les Algériens n’ont pris aucune initiative diplomatique pour empêcher une telle éventualité.
TSA
Le ministère américain de la Défense n’a pas précisé dans quelles circonstances ces forces armées pourraient s'avérer utiles. La secrétaire d'Etat Hillary Clinton a indiqué lundi qu’aucune action militaire n'était prévue en Libye impliquant des forces américaines. Le porte-parole du ministère américain de la Défense a quant à lui déclaré que le Pentagone travaillait sur diverses options étant donné la poursuite des violences en Libye. Par ailleurs, la secrétaire d'Etat américaine Hillary Rodham Clinton a annoncé à Genève que son pays dépêchait des équipes aux frontières de la Libye avec l'Egypte et l'Algérie afin d'aider les réfugiés.
En fait, depuis le début du conflit, la perspective d’une intervention militaire étrangère a régulièrement été évoquée. Une perspective qui inquiète fortement le gouvernement algérien. Alger ne souhaite pas voir en effet des forces étrangères installées en permanence à sa frontière. Mais les Algériens n’ont pris aucune initiative diplomatique pour empêcher une telle éventualité.
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