ça commence :
Ali Essaoui a été choisi samedi 5 mars pour diriger la diplomatie du “comité de crise” formé par le Conseil national libyen qui dirige l’insurrection, rapporte The Times of India. Le comité aura pour objectif d’accélérer le processus de décision de l’opposition alors que les rebelles continuent leur marche sur Tripoli.
Ancien ambassadeur en Inde, M. Essaoui avait été un des premiers diplomates à démissionner de son poste pour marquer son opposition au régime du colonel Kadhafi.
Il a appelé l’ONU à mettre en place une zone d’exclusion aérienne au-dessus de la Libye afin d’arrêter les bombardements des troupes fidèles à Mouammar Kadhafi. Les insurgés s’opposent en revanche à toute ingérence militaire étrangère sur le territoire libyen.
Dans le même temps, le ministre des Affaires étrangères indien a annoncé que deux tiers des ressortissants indiens présents en Libye avaient été rapatriés.
ActualitésGuerre
Ali Essaoui a été choisi samedi 5 mars pour diriger la diplomatie du “comité de crise” formé par le Conseil national libyen qui dirige l’insurrection, rapporte The Times of India. Le comité aura pour objectif d’accélérer le processus de décision de l’opposition alors que les rebelles continuent leur marche sur Tripoli.
Ancien ambassadeur en Inde, M. Essaoui avait été un des premiers diplomates à démissionner de son poste pour marquer son opposition au régime du colonel Kadhafi.
Il a appelé l’ONU à mettre en place une zone d’exclusion aérienne au-dessus de la Libye afin d’arrêter les bombardements des troupes fidèles à Mouammar Kadhafi. Les insurgés s’opposent en revanche à toute ingérence militaire étrangère sur le territoire libyen.
Dans le même temps, le ministre des Affaires étrangères indien a annoncé que deux tiers des ressortissants indiens présents en Libye avaient été rapatriés.
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jusqu'à présent ils sont contents que les forces de Kadhafi se paralisent petit à petit .
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