Le président Barack Obama a justifié sa décision d'intervenir en Libye, affirmant qu'elle a "empêché un massacre". Il a en outre annoncé que l'OTAN prendra mercredi les commandes de l'ensemble des opération militaires de la coalition internationale en Libye.
"Ce soir, je suis en mesure de dire que nous avons stoppé la progression meurtrière de Kadhafi", a-t-il dit lundi durant une allocution télévisée en direct. Le dirigeant américain a reconnu qu'une transition démocratique en Libye serait une "tâche difficile" et mis en garde ses compatriotes contre une réédition des "erreurs" commises par son pays en Irak.
Barack Obama s'est exprimé plus d'un mois après le début de l'insurrection en Libye et au dixième jour de l'opération militaire de la coalition internationale à laquelle les Etats-Unis ont prêté leur puissance de feu. Le président a cherché à défendre le bien-fondé de cette nouvelle intervention au Moyen-Orient.
"Conscients des risques et des coûts d'une action militaire, nous sommes naturellement réticents à faire usage de la force pour résoudre les problèmes mondiaux. Mais quand nos intérêts et nos valeurs sont menacés, nous avons la responsabilité d'agir. C'est ce qui est arrivé en Libye", a déclaré M. Obama lors de son intervention depuis l'Université de Défense nationale à Washington.
Protéger les civils
"En tout juste un mois, les Etats-Unis et leurs partenaires internationaux ont mobilisé une large coalition, obtenu un mandat international pour protéger les civils, arrêté une armée en marche, empêché un massacre, établi une zone d'exclusion aérienne", a-t-il souligné.
"Certains pays peuvent faire la sourde oreille aux atrocités dans d'autres pays. Les Etats-Unis sont différents. En tant que président, j'ai refusé de voir des images de massacres et de charniers avant d'agir", a-t-il plaidé.
(ats / 29 mars 2011 07:16)
"Ce soir, je suis en mesure de dire que nous avons stoppé la progression meurtrière de Kadhafi", a-t-il dit lundi durant une allocution télévisée en direct. Le dirigeant américain a reconnu qu'une transition démocratique en Libye serait une "tâche difficile" et mis en garde ses compatriotes contre une réédition des "erreurs" commises par son pays en Irak.
Barack Obama s'est exprimé plus d'un mois après le début de l'insurrection en Libye et au dixième jour de l'opération militaire de la coalition internationale à laquelle les Etats-Unis ont prêté leur puissance de feu. Le président a cherché à défendre le bien-fondé de cette nouvelle intervention au Moyen-Orient.
"Conscients des risques et des coûts d'une action militaire, nous sommes naturellement réticents à faire usage de la force pour résoudre les problèmes mondiaux. Mais quand nos intérêts et nos valeurs sont menacés, nous avons la responsabilité d'agir. C'est ce qui est arrivé en Libye", a déclaré M. Obama lors de son intervention depuis l'Université de Défense nationale à Washington.
Protéger les civils
"En tout juste un mois, les Etats-Unis et leurs partenaires internationaux ont mobilisé une large coalition, obtenu un mandat international pour protéger les civils, arrêté une armée en marche, empêché un massacre, établi une zone d'exclusion aérienne", a-t-il souligné.
"Certains pays peuvent faire la sourde oreille aux atrocités dans d'autres pays. Les Etats-Unis sont différents. En tant que président, j'ai refusé de voir des images de massacres et de charniers avant d'agir", a-t-il plaidé.
(ats / 29 mars 2011 07:16)
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