Une première en Tunisie. Un Libyen et un Algérien ont été arrêtés près de la localité de Ramada - dans le Sud de la Tunisie, près de la frontière avec la Libye - dans la nuit de samedi à dimanche, alors qu'ils portaient une ceinture d'explosifs et des grenades.
Fortement soupçonnés d'appartenir à Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), les deux hommes ont été interpellés par les forces de la garde nationale. L'agence Tunis Afrique presse (TAP) a indiqué que l'un des deux suspects aurait essayé de lancer une grenade sur l'un des gardes frontières tunisiens au moment de son arrestation mais que celle-ci ne se serait pas déclenchée. D'après le représentant de la sécurité, les deux individus étaient en possession de papiers d'identité afghans.
Des forces de la garde nationale ont arrêté un Algérien et un Libyen suspectés d'appartenir à l'organisation terroriste Aqmi, dans la nuit de samedi à dimanche. Les hommes étaient ceinturés d'explosifs et transportaient une bombe artisanale.
Le renforcement de la sécurité
Toujours selon la TAP, ces « terroristes » appartiendraient à la même unité que les deux Libyens qui ont été appréhendés dans la semaine. En provenance d'Algérie, deux jeunes hommes avaient en effet été arrêtés par les force de sécurité et l'armée tunisiennes à Tataouine, il y a quelques jours, alors qu'ils transportaient une grenade. Depuis le début du mouvement de contestation au régime de Kadhafi, des milliers de réfugiés libyens affluent par cette région, poussant la Tunisie à renforcer ses contrôles sur sa zone frontalière avec la Libye.
Des chars et des véhicules blindés ont été déployés samedi par l'armée tunisienne pour contrer d'éventuelles autres menaces terroristes. Des renfort en hommes et en matériels militaires ont également été acheminés. Les autorités tunisiennes ont par ailleurs lancé un appel à la population. Cette dernière est vivement invitée à signaler toute activité suspecte.
france soir
Fortement soupçonnés d'appartenir à Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), les deux hommes ont été interpellés par les forces de la garde nationale. L'agence Tunis Afrique presse (TAP) a indiqué que l'un des deux suspects aurait essayé de lancer une grenade sur l'un des gardes frontières tunisiens au moment de son arrestation mais que celle-ci ne se serait pas déclenchée. D'après le représentant de la sécurité, les deux individus étaient en possession de papiers d'identité afghans.
Des forces de la garde nationale ont arrêté un Algérien et un Libyen suspectés d'appartenir à l'organisation terroriste Aqmi, dans la nuit de samedi à dimanche. Les hommes étaient ceinturés d'explosifs et transportaient une bombe artisanale.
Le renforcement de la sécurité
Toujours selon la TAP, ces « terroristes » appartiendraient à la même unité que les deux Libyens qui ont été appréhendés dans la semaine. En provenance d'Algérie, deux jeunes hommes avaient en effet été arrêtés par les force de sécurité et l'armée tunisiennes à Tataouine, il y a quelques jours, alors qu'ils transportaient une grenade. Depuis le début du mouvement de contestation au régime de Kadhafi, des milliers de réfugiés libyens affluent par cette région, poussant la Tunisie à renforcer ses contrôles sur sa zone frontalière avec la Libye.
Des chars et des véhicules blindés ont été déployés samedi par l'armée tunisienne pour contrer d'éventuelles autres menaces terroristes. Des renfort en hommes et en matériels militaires ont également été acheminés. Les autorités tunisiennes ont par ailleurs lancé un appel à la population. Cette dernière est vivement invitée à signaler toute activité suspecte.
france soir