Les autorités libyennes se sont déclarées prêtes à respecter la résolution de l'Onu à condition que l'Otan cesse ses frappes aériennes, a annoncé mardi Sergueï Lavrov.
Les autorités libyennes se sont déclarées prêtes à respecter la résolution du Conseil de sécurité de l'Onu à condition que l'Otan cesse ses frappes aériennes, a annoncé mardi à Moscou le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, lors d'une conférence de presse.
"La réponse que nous avons reçue (de la part des représentants des autorités libyennes) ne peut pas être qualifiée de négative. On nous a dit que Tripoli était prêt à examiner les approches basées sur la "feuille de route" de l'Union africaine et à respecter les exigences de la résolution 1973. La seule condition posée aujourd'hui par nos interlocuteurs, c'est que les rebelles entreprennent des démarches analogues et que l'Otan cesse ses bombardements", a indiqué le chef de la diplomatie russe.
"Nous ne jouons pas le rôle d'un médiateur entre le gouvernement de Tripoli et l'opposition, nous soutenons les efforts de médiation de l'Onu et l'initiative de l'Union africaine. Dans notre travail tant avec Tripoli qu'avec Benghazi nous prônons l'idée de la nécessité d'un règlement du conflit le plus rapidement possible", a expliqué le ministre.
RIA Novosti
Les autorités libyennes se sont déclarées prêtes à respecter la résolution du Conseil de sécurité de l'Onu à condition que l'Otan cesse ses frappes aériennes, a annoncé mardi à Moscou le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, lors d'une conférence de presse.
"La réponse que nous avons reçue (de la part des représentants des autorités libyennes) ne peut pas être qualifiée de négative. On nous a dit que Tripoli était prêt à examiner les approches basées sur la "feuille de route" de l'Union africaine et à respecter les exigences de la résolution 1973. La seule condition posée aujourd'hui par nos interlocuteurs, c'est que les rebelles entreprennent des démarches analogues et que l'Otan cesse ses bombardements", a indiqué le chef de la diplomatie russe.
"Nous ne jouons pas le rôle d'un médiateur entre le gouvernement de Tripoli et l'opposition, nous soutenons les efforts de médiation de l'Onu et l'initiative de l'Union africaine. Dans notre travail tant avec Tripoli qu'avec Benghazi nous prônons l'idée de la nécessité d'un règlement du conflit le plus rapidement possible", a expliqué le ministre.
RIA Novosti
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