Le Maroc et l'Algérie sont deux cas particuliers par rapport au printemps arabe. Mis à part les émeutes du début de l'année en Algérie et l'attentat d'Argana à Marrakech, les deux pays semblent préservés de la violence insurrectionnelle. Sauf que la dynamique sociale y est à un stade critique. Pendant ce temps les deux pays se scrutent attendant et guettant les réactions de l'autre qu'elles soient au niveau interne ou externe. Cette situation nourrit les problèmes de fond des deux pays.
Entre l'Algérie et le Maroc il apparaît clair que le fond du problème réside en partie sur l'imperméabilité des frontières, qui ne le sont en réalité pas du tout. Pour le Maroc le printemps arabe se traduit concrètement par une totale rupture avec le statut quo hérité social de la marche verte. La dynamique sociale a été longtemps pondérée par la nécessité nationale. Le Maroc d'aujourd'hui est différent. Les priorités ne sont plus les mêmes, et il faut relever le défi du changement.
En Algérie les difficultés sociales se sont atténuées mais pas la corruption. Le pays n'arrive pas à sortir d'une vieille mécanique rodée depuis des décennies. La réalité est dure et amère dans un pays qui regorge de richesses et dans lequel un tiers de la population est composé de jeunes. Tout comme le Maroc.
L'ouverture des frontières créera une dynamique incontestable, excepté sur le terrain politique où les intérêts de certains divergent de ceux de la majorité écrasante. La majorité écrasante qui paie littéralement pour que d'autres s'enrichissent. Pourquoi priver LES peuples du Maghreb et leur faire subir ce qui s'appel désormais "le non Maghreb" si ce n'est pour que d'autres puissent profiter de la situation.
La question qu'il faut se poser c'est: à qui profite le crime? Qui a intérêt à maintenir fermée ces frontières et maintenir les pays en constante rivalité tout en mettant en vieil la dynamique sociale des pays?
Le seul moyen qu'on les algériens et les marocains de voire leur situation s'améliorer surement et le plus vite possible est le rapprochement entre ces deux pays. Cela permettra aux pays d'envisager l’étape suivante qui est la construction Maghrébine.
Il ne peut y'avoir de changement pacifique positif et progressiste en Algérie ou au Maroc que par un printemps maghrébin des peuples.
Entre l'Algérie et le Maroc il apparaît clair que le fond du problème réside en partie sur l'imperméabilité des frontières, qui ne le sont en réalité pas du tout. Pour le Maroc le printemps arabe se traduit concrètement par une totale rupture avec le statut quo hérité social de la marche verte. La dynamique sociale a été longtemps pondérée par la nécessité nationale. Le Maroc d'aujourd'hui est différent. Les priorités ne sont plus les mêmes, et il faut relever le défi du changement.
En Algérie les difficultés sociales se sont atténuées mais pas la corruption. Le pays n'arrive pas à sortir d'une vieille mécanique rodée depuis des décennies. La réalité est dure et amère dans un pays qui regorge de richesses et dans lequel un tiers de la population est composé de jeunes. Tout comme le Maroc.
L'ouverture des frontières créera une dynamique incontestable, excepté sur le terrain politique où les intérêts de certains divergent de ceux de la majorité écrasante. La majorité écrasante qui paie littéralement pour que d'autres s'enrichissent. Pourquoi priver LES peuples du Maghreb et leur faire subir ce qui s'appel désormais "le non Maghreb" si ce n'est pour que d'autres puissent profiter de la situation.
La question qu'il faut se poser c'est: à qui profite le crime? Qui a intérêt à maintenir fermée ces frontières et maintenir les pays en constante rivalité tout en mettant en vieil la dynamique sociale des pays?
Le seul moyen qu'on les algériens et les marocains de voire leur situation s'améliorer surement et le plus vite possible est le rapprochement entre ces deux pays. Cela permettra aux pays d'envisager l’étape suivante qui est la construction Maghrébine.
Il ne peut y'avoir de changement pacifique positif et progressiste en Algérie ou au Maroc que par un printemps maghrébin des peuples.
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