pour une année et non pour 4 ans comme tu essais de tromper les FAistes!
et encore!
et encore!
oui , l'accord c'est pour 4ans ,et le nouveau protocole pour un an
L'accord de pêche entre le Maroc et l'UE est reconduit pour une durée de 4 ans, selon la version marocaine. Les deux parties ont également paraphé le nouveau protocole de pêche lié à l'accord qu'ils reconduisent pour une année, dans les mêmes conditions que celui ayant expiré le 27 février 2011.
In extremis, le Maroc et L’Union Européenne ont finalement reconduit l’accord de pêche. Conformément à l’accord signé en 2006 et qui est arrivé à expiration dimanche 27 février 2011, les navires de la communauté européenne peuvent pêcher dans les eux marocaines pour une durée de quatre ans. Cette durée est «renouvelable pour la même période, sauf en cas de dénonciation de la part d’une des parties ». Aussi, les deux partenaires n’ont pas eu à renégocier l’accord. Ils l’ont laissé « courir » pour quatre autres années. De ce côté-là, il n’y a point de nouveauté.
En revanche, le protocole fixant la contrepartie financière, les catégories et les conditions des activités de pêche pour les navires Communautaires dans les zones de pêche marocaines, a été paraphé pour une durée d’une année. Or, le protocole qui a présidé à l’application de l’accord expirant la semaine dernière, avait une durée de vie de quatre ans. C’est ce document qui précise que la contrepartie financière que l’UE doit verser au Maroc est fixée à 36 millions d’euros par an. Une partie de cette manne financière doit, selon le protocole, contribuer, « à concurrence de € 13.500.000 par an au développement et à la mise en œuvre de la politique sectorielle de la pêche au Maroc en vue de l’instauration d’une pêche durable et responsable dans ses eaux ».
Le protocole précise aussi que cette contribution doit être distribuée à hauteur de 4,75 millions d’euros par an à la modernisation et à la mise à niveau de la flotte côtière. Un montant de 1,25 million d’euros par an est alloué au programme d’élimination des filets maillants dérivants. Le reste est affecté, selon le protocole, par le Maroc aux autres composantes de sa politique des pêches, notamment, la recherche scientifique, la restructuration de la pêche artisanale, la mise à niveau des circuits de commercialisation et la promotion de la consommation interne.
L’annonce de la reconduction de l’accord de pêche, tel que signé en 2006, dénote que le ministère de la pêche et l’Union Européenne n’ont pas l’intention de revoir les termes du partenariat. Ce qui laisse perplexe sachant les conditions difficiles que vit le secteur de pêche au Maroc, notamment à travers le surenchérissement énergétique, l’effet de la crise internationale sur l’offre exportable et enfin la situation des stocks des ressources dans les eux marocaines. Précisons que cette accord signé à l’époque de M’Hand Leanser, a soustrait les pêcheries de la poulpe et de la crevette du périmètre de l’accord.
A cela s’ajoute l’absence d’une position claire du Plan Halieutis concernant l’accès de la flotte étrangère à la ressource marocaine. Le plan ne présente aucune analyse sur l’impact de cet accord sur la ressource et l’intérêt du Maroc sur le plan sectoriel (pur) au sujet du maintient de l’accord dans l’état.
In extremis, le Maroc et L’Union Européenne ont finalement reconduit l’accord de pêche. Conformément à l’accord signé en 2006 et qui est arrivé à expiration dimanche 27 février 2011, les navires de la communauté européenne peuvent pêcher dans les eux marocaines pour une durée de quatre ans. Cette durée est «renouvelable pour la même période, sauf en cas de dénonciation de la part d’une des parties ». Aussi, les deux partenaires n’ont pas eu à renégocier l’accord. Ils l’ont laissé « courir » pour quatre autres années. De ce côté-là, il n’y a point de nouveauté.
En revanche, le protocole fixant la contrepartie financière, les catégories et les conditions des activités de pêche pour les navires Communautaires dans les zones de pêche marocaines, a été paraphé pour une durée d’une année. Or, le protocole qui a présidé à l’application de l’accord expirant la semaine dernière, avait une durée de vie de quatre ans. C’est ce document qui précise que la contrepartie financière que l’UE doit verser au Maroc est fixée à 36 millions d’euros par an. Une partie de cette manne financière doit, selon le protocole, contribuer, « à concurrence de € 13.500.000 par an au développement et à la mise en œuvre de la politique sectorielle de la pêche au Maroc en vue de l’instauration d’une pêche durable et responsable dans ses eaux ».
Le protocole précise aussi que cette contribution doit être distribuée à hauteur de 4,75 millions d’euros par an à la modernisation et à la mise à niveau de la flotte côtière. Un montant de 1,25 million d’euros par an est alloué au programme d’élimination des filets maillants dérivants. Le reste est affecté, selon le protocole, par le Maroc aux autres composantes de sa politique des pêches, notamment, la recherche scientifique, la restructuration de la pêche artisanale, la mise à niveau des circuits de commercialisation et la promotion de la consommation interne.
L’annonce de la reconduction de l’accord de pêche, tel que signé en 2006, dénote que le ministère de la pêche et l’Union Européenne n’ont pas l’intention de revoir les termes du partenariat. Ce qui laisse perplexe sachant les conditions difficiles que vit le secteur de pêche au Maroc, notamment à travers le surenchérissement énergétique, l’effet de la crise internationale sur l’offre exportable et enfin la situation des stocks des ressources dans les eux marocaines. Précisons que cette accord signé à l’époque de M’Hand Leanser, a soustrait les pêcheries de la poulpe et de la crevette du périmètre de l’accord.
A cela s’ajoute l’absence d’une position claire du Plan Halieutis concernant l’accès de la flotte étrangère à la ressource marocaine. Le plan ne présente aucune analyse sur l’impact de cet accord sur la ressource et l’intérêt du Maroc sur le plan sectoriel (pur) au sujet du maintient de l’accord dans l’état.
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